Archives: February 2012

Éclairage public : l’État soutient les collectivités dans la réduction de leur consommation et leur facture d’énergie

François Loos, Président de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME), s’est vu confier, la mission d’aider les communes de moins de 2000 habitants à rénover leur éclairage public, par Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement.



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Les 58 réacteurs français seraient aussi fragiles que ceux de Fukushima

Le 20 février dernier, Greenpeace a publié un rapport critique sur les évaluations complémentaires de sûreté, communément appelées « stress-tests », des installations nucléaires françaises, demandées par le gouvernement à EDF et Areva et analysées par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN).



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Appels d’offres solaires : la technologie CPV de Soitec retenue

Appels d'offres solaires : la technologie CPV de Soitec retenueSoitec a annoncé hier que sa technologie solaire à concentration (CPV) avait été retenue par des développeurs de renoms, candidats au récent appel d’offre de la Commission de régulation de l’énergie (CRE).

L’appel d’offre de la CRE porte sur la réalisation et l’exploitation d’installations de production d’électricitéà partir de l’énergie solaire d’une puissance supérieure à 250 kWc. Les dossiers déposés représentent un total cumulé de 115 MW, dont 72 MW exclusivement produits avec des systèmes CPV de Soitec.

Les développeurs auraient choisi la technologie photovoltaïque à concentration de Soitec pour ses caractéristiques et son innovation de rupture permettant un rendement énergétique des modules de l’ordre de 30%. Sa technologie CPV a déjàété retenue par de grands acteurs internationaux, tels que la société pétrolière Chevron, ou encore San Diego Gas & Electric, l’un des principaux fournisseurs d’électricité de Californie, et également le ministère de l’Énergie d’Afrique du Sud.

Soitec se félicite de contribuer au développement de la filière photovoltaïque française, qui associe de “nombreux partenaires français“, et à la “compétitivité de cette filière au niveau international“. Le plan d’action français en faveur des énergies renouvelables prévoit de porter à au moins 23% la part des énergies renouvelables dans la consommation d’énergie à l’horizon 2020, grâce à une augmentation de 20 millions de tonnes équivalent pétrole (Mtep) de la production annuelle d’énergie renouvelable.

L’objectif en matière de développement de l’électricité d’origine solaire a été fixé dans la programmation pluriannuelle des investissements de production d’électricité et prévoit que 5400 MW soit raccordés en 2020.

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Le groupe Vergnet mis en difficultéà cause d’une contradiction

Le groupe Vergnet mis en difficultéà cause d'une contradictionDans le cadre de l’appel d’offres du gouvernement portant sur les installations éoliennes terrestres en Corse et dans les territoires d’outre mer, sept projets concernant les DOM cycloniques ont été attribués à différents développeurs de centrales éoliennes.

Le groupe Vergnet est l’un d’entre eux. Il reste positionné comme le fournisseur de 3 projets (2 en Guadeloupe et 1 à la Martinique) portant au total sur l’installation de 17 éoliennes GEV HP de 1 MW et 9 GEV MP de 275 kW, soit 19,5 MW sur les 45 MW attendus.

Cependant, une contradiction non anticipée par le gouvernement entre les lois Littoral et Grenelle 2 va mettre la société Vergnet en difficulté.

La loi Littoral (janvier 1986), qui vise à encadrer l’aménagement de la côte, précise que toute construction en zone littorale (y compris dans les Départements et territoires d’Outre Mer qui constituent le marché historique du Groupe Vergnet) doit s’effectuer «en continuité avec les agglomérations et villages existants», alors que la loi Grenelle 2 (Juillet 2010) prévoit que toute installation éolienne doit se trouver à 500 mètres minimum des zones urbaines d’habitation.

Dans leur communiqué du 17 février, les Ministres chargés de l’attribution des lots de l’appel d’offres précisent «qu’une mission a été confiée le 9 février au Conseil général de
l’Environnement et du Développement durable et au Conseil général de l’Industrie, de l’Energie et des Technologies pour préciser les contraintes d’implantation des éoliennes dans ces territoires [d'Outre Mer] et étudier la nécessité de modifications du cadre législatif et réglementaire
. »

En effet, la réalisation effective des projets sélectionnés dans le cadre de l’appel d’offres est subordonnée au respect des lois Littoral et Grenelle 2 qui présentent une incompatibilité juridique, la première imposant une distance minimum de 500 mètres entre les installations et les habitations, la seconde imposant au contraire une continuité urbanistique.

Le délai de mise en conformité du cadre législatif, qui s’ajouterait donc au retard de plus d’un an déjà pris par rapport au planning initial de l’appel d’offres, place la société Vergnet en difficulté.

Bien qu’ayant investi près de 20 ME en R&D (hors investissements industriels) pour mettre au point une éolienne anticyclonique et un système de stockage/prévision innovants, permettant « une intégration accrue de l’énergie éolienne dans les réseaux des zones dites «noninterconnectées», Vergnet n’a pas vendu ces machines dans les DOM depuis 4 ans et n’escompte plus en vendre en 2012, compte tenu de cette incompatibilité règlementaire qui n’avait pas été anticipée.

Le retard de sortie des résultats de l’appel d’offres avait déjà contraint Vergnet à prendre des mesures de réductions de coûts dès 2011. Ce nouveau retard place le Groupe dans une situation difficile.

En conclusion, Vergnet étudie actuellement les conséquences de cette situation imprévue et communiquera les premiers résultats de son analyse au marchéà l’occasion de la publication de son chiffre d’affaires annuel 2011, le 1er mars prochain après Bourse.

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Technologies solaires : Cofely entre au capital de SAED

Technologies solaires : Cofely entre au capital de SAEDCofely, filiale de GDF SUEZ est devenu actionnaire à hauteur de 10% environ de la société SAED (Sophia Antipolis Energie Développement) à l’occasion de l’augmentation du capital de la start up française, fournisseur de technologies dans le domaine du solaire thermique industriel.

Fondée à Sophia-Antipolis en 2008, SAED a développé une technologie permettant la réalisation de champs de capteurs solaires de grandes dimensions destinés à produire de l’énergie thermique «haute température» (de 80° C à 130° C) avec une possibilité de stockage.

Avec ces capteurs de nouvelle génération, Cofely, l’un des premiers opérateurs de réseaux de chaleur urbains en France, a conçu Degrés d’or(r), une solution de mix énergétique qui, combinant biomasse et solaire, permet de couvrir par des énergies renouvelables plus de 80 % des besoins en chauffage et eau chaude sanitaire d’un bâtiment ou d’un quartier. Appliquée à l’éco-quartier de Balma-Toulouse, cette solution a reçu le Prix de l’innovation de l’Association des Maires de France (AMF) en 2011.

Confortée par cette première étape, SAED souhaite maintenant compléter son tour de table avec des investisseurs aux profils complémentaires.

** SAED et ses actionnaires sont accompagnés par Hera Finance dans ces opérations.

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Le Gard choisit deux entreprises pour la couverture de 200 000 m2

Deux entreprises ont été choisies par l’assemblée départementale du Gard, pour la couverture des toitures de 93 sites départementaux par des panneaux solaires.



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REpower fournira 250 MW de turbines éoliennes en France

REpower fournira 250 MW de turbines éoliennes en FranceL’allemand REpower Systems a annoncé la signature avec Maïa Eolis**, un contrat-cadre portant sur la fourniture de turbines allant jusqu’à 250 mégawatts (MW) pour des projets éoliens terrestres en France.

Les turbines REpower de type MM et 3.XM seront livrées pour la période allant de 2012 à 2015. “Cet accord renforce l’alliance stratégique initiée par le premier contrat signé en 2004” ont indiqué les 2 entités dans un communiqué commun.

Le contrat comprend des turbines MM82 et MM92, les turbines les plus vendues par REpower à ce jour et d’une puissance nominale de 2 mégawatts. Les REpower 3.4 M104 et les 3.2 M114, respectivement de puissance nominale de 3,4 et 3,2 MW, font également partie de cet accord. La gamme de 3 MW est le plus récent développement de la gamme terrestre de la société destinée aux sites faiblement à moyennement ventés.

«Nous sommes ravis que Maïa Eolis ait confirmé son choix pour REpower en tant que fournisseur stratégique pour les turbines éoliennes dans les prochaines années. Cet accord marque l’arrivée de la gamme 3.XM de REpower sur le marché français, après un lancement réussi dans d’autres pays en Europe. De plus, notre gamme 3.XM est idéalement adaptée aux conditions de vent du marché français» a déclaré après la signature, Andreas Nauen, directeur executif chez REpower.

La série 3.XM dispose d’une génératrice convertisseur de fréquence et d’un calage électrique individuel de pales. Avec une surface balayée par le rotor de 8.495 mètres carrés et des hauteurs de moyeu de 78 à 128 mètres, la 3.XM est conçue pour une utilisation dans des régions medium and très ventées.

REpower fournira 250 MW de turbines éoliennes en France

Pour Christian Broy, Directeur Général de Maïa Eolis : « Cet accord est la suite logique de nos efforts de développement et permettra à Maïa Eolis de rester parmi les premiers producteurs d’électricité d’origine éolienne en France.»

Photo : une chaufferie à granulés de bois de 10 MW dans la laiterie de Davidstow en Angleterre[Dalkia]

** filiale commune du Groupe MAÏA (51%) et de GDF Suez (49%)

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De l’énergie solaire bon marché grâce à des nanocristaux

De l'énergie solaire bon marché grâce à des nanocristauxUn jour viendra où il n’y aura plus de pétrole. Ce jour-là, si nous avons sous la main des panneaux solaires performants et pas trop chers, il faudra peut-être dire merci à Dongling Ma, professeure au Centre Énergie Matériaux Télécommunications de l’INRS (Québec). Dans son laboratoire, elle fabrique des nanomatériaux qui pourraient rendre l’énergie solaire accessible à tous.

Les panneaux solaires actuels, faits de silicium, sont onéreux. En plus, ils ont un gros défaut : ils ne transforment en électricité que la lumière visible du Soleil, pas les rayons infrarouges. Or, ces rayons chauds et invisibles représentent près de la moitié de l’énergie solaire qui atteint la Terre. Quel gaspillage ! Des scientifiques de partout dans le monde tentent donc de créer des panneaux capables d’absorber les infrarouges. Dongling Ma vient de surmonter le défi grâce à des nanomatériaux créés de toutes pièces dans son laboratoire !

Les nanomatériaux sont construits avec des «briques » infiniment petites, qui leur donnent des propriétés fabuleuses. Dongling Ma est tombée sous leur charme pendant son doctorat aux États-Unis : «Ces matériaux sont tellement fascinants ! Ils permettent de faire des choses incroyables ! ». À partir de sulfure de plomb — un minerai très abondant — la chercheure a fabriqué de minuscules cristaux qui ne renferment que quelques centaines d’atomes. À cette échelle, on entre dans un nouveau monde qui ne répond plus aux lois de la physique classique. Ici, c’est la physique quantique qui règne en maître.

Mais pour comprendre comment ce monde diffère de celui qu’on connaît, il faut d’abord rappeler le principe de base de l’énergie solaire. En gros, lorsqu’une particule de lumière ou photon frappe le matériau, elle arrache un électron à un atome. C’est ce flux d’électrons qui crée un courant électrique.

Des boîtes qui changent de couleur

Dans notre monde, pour le sulfure de plomb par exemple, ce phénomène n’est possible que pour la lumière d’une certaine « couleur ». Mais à l’échelle nanométrique, le sulfure de plomb devient changeant. Plus on rapetisse la taille du cristal — qu’on appelle «boîte quantique»— plus la lumière qu’il absorbe tire vers le bleu. Au contraire, plus le cristal grossit, plus il « boit » de la lumière rouge. Attention : les rayons ne sont vraiment ni rouges ni bleus puisque nous sommes dans l’infrarouge et non le visible. Mais le principe est le même… Dongling Ma a créé un nanocristal capable d’absorber des rayons solaires de différentes fréquences simplement en changeant sa taille. Comme si le cristal était le bouton d’un poste de radio permettant de syntoniser différentes fréquences !

Dans son laboratoire, Dongling Ma montre la «boîte à gants» dans laquelle elle fabrique ses petites merveilles. Cet instrument très populaire chez les chimistes est une enceinte vitrée percée de deux trous dans lesquels passent deux longs gants caoutchoutés. Les scientifiques manipulent avec ces gants des cristaux d’une pureté extrême. Pour éviter toute contamination, l’air de l’enceinte a été remplacé par un gaz inerte : l’azote ! Dongling Ma explique qu’en empilant des boîtes quantiques de différentes tailles les unes sur les autres, on obtient un matériau capable d’absorber toute une gamme de rayons infrarouges. Fini le gaspillage !

Des spaghettis nanométriques

Mais quelques nanocristaux ne suffisent pas pour avoir une cellule solaire. Il reste encore à acheminer les électrons arrachés jusqu’à une électrode… Pour y arriver, Dongling a collé ses cristaux sur des nanotubes de carbone, les structures-vedettes de la nanotechnologie. Ces longs spaghettis vides à l’intérieur agissent ici comme des mini fils électriques qui aspirent les électrons libérés et les envoient vers une des électrodes de la cellule solaire, créant ainsi le courant électrique tant recherché.

Dongling Ma est bien fière de ses cellules solaires qui absorbent les rayons infrarouges. Pour l’instant, il ne s’agit que d’un prototype dont les performances ne sont pas encore optimisées. Mais quand elles le seront, ses cellules solaires pourraient devenir une alternative intéressante aux panneaux de silicium. Bien qu’elles ne convertiront pas autant d’énergie solaire en électricité que ces derniers — qui sont difficiles à battre avec leur taux de conversion de 15 à 20 % — leur bas prix jouerait en leur faveur. Autre avantage : alors que les panneaux de silicium sont rigides, ceux faits de ces nanomatériaux seraient flexibles. On pourrait donc les utiliser sur toutes sortes de surfaces : carrosserie de voiture, vêtements, lampadaires, toiture, etc.

Chimie verte et virus

Mais les nanomatériaux de la chercheure venue de Chine ont bien d’autres tours dans leur sac. Ils lui ont aussi permis de faire avancer un nouveau domaine : celui de la chimie verte —une nouvelle façon de faire de la chimie qui utilise moins d’énergie et génère moins de polluants. Son équipe a conçu un nouveau catalyseur, c’est-à-dire une solution qui accélère la réaction entre deux substances. Traditionnellement, on utilise pour ce faire des métaux lourds, des polluants difficiles à récupérer à la fin de la réaction. Mais les nanoparticules de l’INRS sont magnétisées ; elles attirent les substances près d’elles, ce qui augmente les chances d’interaction, mais elles peuvent aussi être récupérées à la fin avec un simple aimant ! Ce nouveau catalyseur peut donc être réutilisé autant de fois qu’on le veut ! Plus de pertes, ni de déchets toxiques !

Ses nanocristaux pourraient aussi s’avérer utiles dans le domaine biomédical ; par exemple, pour suivre le mouvement d’un virus dans une cellule. «Ça pourrait nous aider à comprendre comment les virus nous infectent », dit-elle. Donc peut-être à les stopper avant que la maladie ne s’installe…

Chose certaine : les nanomatériaux livrent leurs promesses. Et l’émerveillement de Dongling Ma à leur égard n’en est que plus grand, de jour en jour… ?

(c) Institut national de la recherche scientifique, 2012 / Tous droits réservés / Photos (c) Christian Fleury

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Aérowatt : stockage d’énergie et prévision de production au menu

Aérowatt : stockage d'énergie et prévision de production au menuAérowatt a été désigné pour la construction de 3 des 9 projets, à l’issue de l’appel d’offres lancé par le Gouvernement français en 2010 pour le développement de l’éolien terrestre dans les départements d’outre-mer et en Corse.

Les centrales développées par Aérowatt, situées en Guadeloupe (Dadoud et Petite Place) et en Martinique (Dehaumont), représentent une puissance cumulée totale d’environ 20 MW.

Selon l’industriel français, la construction devrait débuter d’ici à la fin de l’année, une fois obtenus les autorisations administratives (permis de construire, dossier ICPE) et les financements nécessaires (agrément fiscal et crédit bancaire), pour une livraison et une mise en service dans un délai maximum de 24 mois.

Par ailleurs, on apprend qu’Aérowatt mettra en oeuvre sur ces centrales ses technologies de stockage d’énergie (le procédé par batterie a été retenu) ainsi que la prévision de production (logiciel développé avec METNEXT, filiale de Météo France et de la Caisse des Dépôts). En effet, ces deux dispositifs étaient inscrits dans le cahier des charges de l’appel d’offres dans l’objectif de faciliter l’augmentation progressive de la part des énergies renouvelables dans le réseau électrique sans en remettre en cause la stabilité.

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Exosun, impliqué dans le projet solaire thermodynamique Microsol

Exosun, impliqué dans le projet solaire thermodynamique MicrosolLe premier projet de recherche et développement (R&D), nommé MICROSOL, auquel participe Exosun vient d’être validé par l’ADEME dans le cadre de l’Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) pour le solaire thermodynamique.

Le projet MICST / MICROSOL, porté par le groupe français Schneider-Electric, a démarré en Janvier 2010. Ce dernier a réuni un consortium d’industriels français capable d’apporter une solution solaire thermodynamique pour la production d’électricité locale de faible puissance (10 kW).

Cette démarche semble particulièrement adaptée à la cible envisagée : “typiquement un village rural dans un pays en voie de développement.

La première phase du projet, appelée MICST et terminée fin 2011, a permis à EXOSUN de modéliser et de concevoir un champ de concentrateurs cylindro-paraboliques. La seconde phase, appelée MICROSOL, a été présentée à l’AMI solaire 2011 puis validée par l’ADEME. Elle permettra la réalisation courant 2012 d’un prototype à Cadarache sur le site du CEA (le LETH/CEA est le partenaire scientifique sur ce projet) et d’une unité en fonctionnement réelle au Burkina Faso.

** Exosun conçoit des systèmes de suivi et de concentration solaire, et réalise des parcs photovoltaïques au sol équipés de trackers (suiveurs solaires) développés et brevetés par la société. Elle maîtrise tout le processus de mise en oeuvre des parcs : conception, construction et maintenance. L’objectif d’Exosun : réduire le coût du kWh solaire par une forte valeur ajoutée technologique.

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