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Alizés Energie acquiert 6 nouveaux parcs éoliens en Nouvelle Calédonie

Alizés Energie acquiert 6 nouveaux parcs éoliens en Nouvelle CalédonieAlizés Energie (filiale à 100 % d’ENGIE) implantée dans le Pacifique, triple sa puissance installée en éolien terrestre en Nouvelle Calédonie grâce à l’acquisition d’une centaine d’éoliennes.

Alizés Energie, qui possédait déjà trois parcs éoliens d’une puissance de 13 MW, exploite désormais une puissance électrique et renouvelable installée totale de 38 MW.

Alizés Energie, groupe ENGIE, vient d’investir dans l’acquisition des six parcs éoliens du Groupe Quadran implantés dans le Pacifique, sur la Grande Terre et sur l’île de Lifou. Avec cet achat, Alizés Energie exploite la totalité des installations éoliennes sur le territoire de Nouvelle Calédonie, soit 143 éoliennes pour une puissance totale installée de 38 MW.

L’exploitation du vent – localement très abondant – permet de répondre à la demande d’électricité renouvelable dans une zone complexe et à forte contrainte météorologique. De ce fait, exposées à un risque cyclonique élevé, 80 % des éoliennes exploitées par Alizés Energie présentent la spécificité d’être «repliables » au sol, pouvant ainsi résister à des vents supérieurs à 300 km/h (cyclones de classe 5).

Précurseur dans le domaine des énergies renouvelables sur le territoire Pacifique (Nouvelle Calédonie, Wallis et Futuna et Vanuatu), Alizés Energie accompagne ses clients – collectivités et entreprises -dans leur besoin de sécurisation de leur approvisionnement énergétique, tout en réduisant la part des énergies traditionnelles émettrices de CO2.

Premiers concernés par le réchauffement climatique, les territoires insulaires, jusqu’alors largement dépendants des énergies fossiles, sont aujourd’hui pleinement engagés dans la transition énergétique.

( src – CP – Engie )

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EDF EN : Contrat de vente d’électricité pour un projet solaire

EDF EN : Contrat de vente d'électricité pour un projet solaireEDF Energies Nouvelles a annoncé jeudi la signature d’un contrat de fourniture d’électricité de long terme entre sa filiale nord-américaine, EDF Renewable Energy, et Southern California Edison, société d’électricité locale.

Ce contrat porte sur l’électricité générée par la future centrale solaire de Valentine, d’une puissance de 111,2 MW*, à construire en Californie.

Situé dans le désert de Mojave en Californie, le projet solaire de Valentine s’étend sur près de 510 hectares. Il est adjacent à la centrale photovoltaïque de Catalina (143 MWc), mise en service dans sa totalité en 2013 par le groupe EDF Energies Nouvelles.

La région est l’une des plus propices des Etats-Unis pour le développement de l’énergie solaire. Elle bénéficie de conditions naturelles favorables et de la volonté de l’Etat de Californie de revoir à la hausse ses ambitions en matière de développement d’énergie renouvelable.

La future installation solaire fait l’objet d’un PPA d’une durée de 15 ans, signé avec Southern California Edison.

A ce jour, EDF Energies Nouvelles exploite 917 MWc bruts de capacité solaire dans huit pays et a lancé la construction de deux autres centrales solaires d’envergure au Chili (projet de Laberinto de146 MWc) et en Inde (projet dans l’état de Telangana de 96 MWc).

* Le contrat porte précisément sur une puissance installée exprimée en MWac, une unité de mesure en courant alternatif : 111,2 MW équivaut à environ 115 MWc (courant continu).

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EDF Energies Nouvelles met en service le parc éolien de Joncels

EDF Energies Nouvelles met en service le parc éolien de JoncelsEDF Energies Nouvelles a annoncé avoir mis en service le parc éolien de Joncels d’une puissance installée de 11,9 MW dans la Région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, qui dispose d’un régime de vent de qualité.

Composé de 14 turbines, et d’une capacité installée de 11,9 MW, le parc éolien est construit sur le territoire de la commune de Joncels, dans le département de l’Hérault.

Par ailleurs, le groupe précise exploiter à ce jour 444,2 MW d’éolien, soit près de 45% des installations éoliennes locales.

La production annuelle de cette installation équivaut à la consommation électrique d’environ 13 500 habitants.

A propos d’EDF Energies Nouvelles

EDF Energies Nouvelles est un leader international de la production d’électricité verte avec une puissance installée de 9063 MW bruts dans le monde. Son développement est centré principalement sur l’éolien (terrestre et en mer) et le solaire photovoltaïque. Majoritairement présent en Europe et en Amérique du Nord, EDF Energies Nouvelles poursuit son développement dans des zones émergentes prometteuses en prenant position dans de nouveaux pays (Brésil, Afrique du Sud et Inde). La société est également présente sur d’autres filières d’énergies renouvelables : énergies marines, biomasse et énergies réparties. EDF Energies Nouvelles assure le développement et la construction de projets d’énergie renouvelable ainsi que leur exploitation-maintenance, pour compte propre et pour compte de tiers. EDF Energies Nouvelles est la filiale du groupe EDF dédiée aux énergies renouvelables

( src – CP – EF EN )

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Un candidat pour l’appel à projet “fermes pilotes éoliennes flottantes”

Un candidat pour l'appel à projet Un groupement de partenaires expérimentés dans les énergies marines se positionne en mer Méditerranée (Région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées), pour accompagner l’essor de la filière industrielle française de l’éolien flottant.

Ce projet, porteur d’activités pérennes, est ancré au sein de son territoire et conçu en pleine concertation avec les acteurs locaux. Appuyé sur une technologie innovante développée en France, le projet constituera une étape décisive pour le développement de cette énergie renouvelable marine au fort potentiel national et vecteur d’exportations.

ENGIE, EDP Renewables,Caisse des Dépôts et Eiffage ont remis lundi leur dossier de candidature à l’appel à projet « fermes pilotes éoliennes flottantes» de l’ADEME. Parmi les zones proposées, leur choix s’est porté sur la zone de Leucate en Méditerranée, 1er gisement éolien maritime français caractérisé par une ressource en vent exceptionnelle. Leur projet « Les éoliennes flottantes du golfe du Lion» est ancré dans le territoire et bénéficie de la solide expérience des partenaires dans les domaines des énergies renouvelables en mer
et des grands projets d’infrastructure.

Le parc comprendra 3 à 6 éoliennes de 6 MW minimum chacune
. Elles seront associées à une solution intégrée de flotteur semi-submersible proposée par Eiffage Métal. Le concept, développé par Principle Power dans son centre d’ingénierie d’Aix-en-Provence, est testé depuis 2011 au large du Portugal. Elle représente aujourd’hui la technologie la plus prometteuse du marché. Eiffage Métal assurera la fabrication et l’installation de ces flotteurs.

Doté d’innovations significatives, le projet constitue une étape décisive qui préfigure le développement industriel de la filière éolienne flottante en France et à l’international. L’éolien flottant, technologie d’avenir, présente en effet l’avantage de pouvoir être installé dans des zones très ventées, loin des côtes et profondes. Le littoral français méditerranéen est particulièrement propice au développement de cette énergie renouvelable en mer. Par cet appel à projet, la France rejoint le Japon, la Norvège, le Portugal ou bien encore le Royaume-Uni qui se sont déjà lancés dans cette technologie.

Le projet sera dès son lancement porteur d’activités pérennes. Le groupement fera appel à un réseau d’entreprises françaises de la façade méditerranéenne et notamment de la Région
Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, pour fournir les principaux composants du parc pré-commercial. Les infrastructures portuaires de la région seront utilisées pour les opérations d’assemblage et de maintenance.

L’objectif est d’acquérir à travers ce parc pré-commercial une expérience indispensable pour garantir le succès des futurs développements commerciaux, pour la filière industrielle mais aussi pour les nombreuses parties prenantes associées. Le développement du projet s’est fait et se poursuivra en pleine concertation avec l’ensemble des acteurs des territoires, collectivités locales, usagers de la mer, parc marin, associations et riverains du littoral. Les partenaires partagent la volonté de concevoir et réaliser un projet innovant et exemplaire d’un point de vue industriel, socio-économique et environnemental.

( src – CP via Eiffage )

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Lancement du 3ème appel d’offres sur l’éolien en mer au large de Dunkerque

Lancement du 3ème appel d'offres sur l'éolien en mer au large de DunkerqueSégolène Royal, Ministre de l’environnement, de l’énergie et de la mer, a annoncé lundi le lancement d’un troisième appel d’offre au large de Dunkerque, zone identifiée comme présentant des conditions favorables à l’implantation d’éoliennes en mer posées.

La Ministre a mandaté le Préfet maritime de la Manche et de la mer du Nord et le Préfet de la région Nord – Pas-de-Calais Picardie pour poursuivre les consultations, en accompagnement du lancement de l’appel d’offres.

Cette démarche s’inscrit dans le cadre de la poursuite du développement de l’éolien en mer posé, qui contribue à l’atteinte de l’objectif de 40 % d’électricité renouvelable à l’horizon 2030, fixé par la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte.

Par ailleurs, Ségolène Royal a annoncé que cette démarche se caractérisera par plusieurs nouveautés, visant à réduire les coûts et à simplifier les procédures, dans le cadre d’une ordonnance et d’un décret publiés prochainement, après examen du Conseil d’Etat :

• Une nouvelle procédure, dite de « dialogue concurrentiel », qui sera adaptée aux spécificités de l’éolien en mer : elle permettra d’échanger avec les candidats afin de préciser le cahier des charges et de leur donner la possibilité d’améliorer leurs offres au cours de la procédure.

• Des études de levée des risques liés au vent, à la houle, à la profondeur et à la composition des sols seront réalisées par des établissements publics avant la remise définitive des offres, afin que les industriels puissent affiner leurs propositions et prendre en compte ces risques à leur juste niveau ;

• Diverses mesures de simplification visant à faciliter l’obtention des autorisations sont également prévues. En particulier, la concession d’occupation du domaine public maritime sera attribuée au lauréat en même temps que l’appel d’offres.

A travers le Syndicat des Energies Renouvelables (SER), les professionnels saluent le maintien d’une dynamique de projet pour la filière mais rappellent que la baisse des coûts passe par des volumes plus ambitieux.

La France détient tous les atouts pour devenir un grand marché de l’éolien offshore et profiter de la baisse des coûts de cette technologie constatée en Europe. Les annonces de la ministre ce jour ne sont qu’une première étape pour parvenir à la compétitivité et à la structuration industrielle. Nous demandons que le lancement de nouveaux projets soit décidé et qu’ils fassent l’objet d’une programmation d’appels d’offres à l’instar des autres filières comme le photovoltaïque” ont déclaré Jean-Louis BAL, Président du SER, et Jean-Baptiste SEJOURNE, vice-Président du SER et Président de la commission éolienne du SER.

( src – CP – MEEM – SER )

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Repowering photovoltaïque : SUNiBRAIN lève 1,3 ME

Repowering photovoltaïque : SUNiBRAIN lève 1,3 MESUNiBRAIN a annoncé récemment dans un communiqué avoir lèvé 1,3 millions d’euros confirmant ainsi l’intérêt des investisseurs pour le photovoltaïque grâce à sa capacité d’en modifier le modèle économique.

Ce tour de table voit entrer au capital de nouveaux investisseurs privés tels que Galia Gestion et Wiseed, SUNiBRAIN est par ailleurs accompagné par les institutions locales telles que BPI France et la Région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées. Cette levée de fonds permet à la pépite toulousaine d’accélérer son développement à l’international et son programme de R&D « IA oriented », mais aussi de renforcer son réseau de distributeurs et d’installateurs.

Le succès de cette levée de fonds valide la pertinence de la feuille de route annoncée fin 2015 par SUNiBRAIN qui ambitionne d’organiser un nouveau tour de financements. Dans la dynamique des résultats de la COP 21, elle confirme aussi l’intérêt des investisseurs pour les solutions de repowering intelligentes capables de booster les performances et la durabilité des parcs photovoltaïques, existants età venir.

Repowering : plus, mieux et plus longtemps

Chaque année, l’électricité solaire photovoltaïque produit plus d’un milliard de kWh dans le monde. Si une solution permettait de booster cette production de 6%, cela reviendraità créer ex nihilo 65 milliards de kWh. De quoi, sans installer le moindre nouveau panneau, répondre aux besoins annuels d’un pays comme la Suisse. Imaginez maintenant que, grâce à l’intelligence artificielle, ce gain de productivité augmente encore significativement grâce à des capacités prédictives améliorées. C’est le champ des possibles qu’ouvre aujourd’hui SUNiBRAIN, premier acteur au monde de repowering photovoltaïque, qui retient l’attention des investisseurs.

Un nouveau champ des possibles pour la rentabilité photovoltaïque

Les panneaux photovoltaïques (PV) voient leur rendement chuter fortement lorsqu’ils travaillent dans un spectrede température trop élevé ou que leur surface s’encrasse. Pour y remédier, la solution intelligente développée par SUNiBRAIN collecte et stocke les eaux de pluie, puis les pulvérise tout au long de l’année afin de réguler la température du Silicium et éviter l’encrassementde manière automatique des panneaux.

Un premier niveau d’optimisation du rendementest ainsi atteint (mesuréà 25% en crête, 6-8% annualisé). Pour en franchir un second en maximisant les capacités prédictives de son calculateur et mutualiser les gains énergétiques en milieu rural, SUNiBRAIN varecourir à l’intelligence artificielle avec son programme SuniAgri mené avec le laboratoire public IRIT (Institut de Recherche en Informatique de Toulouse), acteur spécialisé dans la recherche de solutions d’intelligence artificielle.

«Nous sommes pionnier dans l’exploitation d’une nouvelle génération d’énergie : l’énergie digitale.Nous exploitons les statistiques, définissons des probabilités de prédiction et augmentons la valeur de l’énergie. Le défi de demain n’est plus simplement de produire de l’énergie, mais de la produire mieux et de manière prédictible.» a déclaré NicolasCristi, Président de SUNiBRAIN.

Pierre Arnaud, Chargé d’Affaires chez GALIA Gestion a ajouté : «Après une croissance presque anarchique, la filière PV a connu une secousse très violente au début des années 2010. Sur ce marché en pleine recomposition nous avons trouvé une approche réellement innovante de la part deSuniBrain et nous avons été séduits par une équipe à la fois complémentaire et expérimentée emmenée par Nicolas Cristi et André Macq. Nous sommes convaincus du potentiel de SuniBrain sur son marché actuel et sommesconfiants quant à sa capacitéà apporter de nouvelles avancées significatives sur le marché des centrales PV. »

À propos de SUNiBRAIN

SUNiBRAIN a été fondée en 2011, à Toulouse, par Nicolas Cristi – ingénieur fort de 12 ans d’expérience dans le renouvelable industriel à travers l’Europe, dont 7 dans la conception et la réalisation de projetsPV – et André Macq. La start-up toulousaine a breveté une solution intelligente de refroidissement des panneaux photovoltaïques pour en optimi ser la performance et en augmenter la durée de vie. Cette solution, qui intégrera bientôt l’intelligence artificielle pour optimiser ses capacités prédictives, redéfinit la rentabilité et, donc, le modèle économique de la filière. Fruit de 4 ans de R&D menés avec l’appui de partenaires spécialisés, la solution SUNiBRAIN est entièrement fabriquée en France.

La société compte aujourd’hui 6 collaborateurs pour des ventes de 350 000 € en 2015. Prévisionnel 2016 : plus de 1 000 000 €.

Pour plus d‘information : www.sunibrain.com

( src – CP – Sunibrain )

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La Caisse des Dépôts prend une participation de 49,9% dans Aalto Power

La Caisse des Dépôts prend une participation de 49,9% dans Aalto PowerLa Caisse des Dépôts et Infravia Capital, fonds d’investissement spécialisé dans les infrastructures, ont signé le closing d’acquisition d’un portefeuille d’actifs correspondant à la cession par Infravia Capital de ses parts dans Aalto Power SAS.

La Caisse des Dépôts détient désormais 49,9% de cette société aux côtés d’Aïolos, la société regroupant les actionnaires historiques d’Aalto Power et contrôlée par le groupe Prométhée.

Cette société détient des parcs éoliens terrestresen France. Son portefeuille total, suite à l’intégration d’un nouveau parc, s’élève à 99 MW répartis en 9 parcs.
Tous ces parcs ont été mis en service entre 2007 et 2012 et se répartissent sur le territoire de la manière suivante :

- 3 parcs éoliens en Nord-Pas-de-Calais Picardie pour une puissance totale de 34 MW ;

- 4 parcs éoliens en Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne pour une puissance totale de 36 MW ;

- 2 parcs éoliens en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes pour une puissance totale de 29 MW.

Aïolos et la Caisse des Dépôts se sont fixés commeobjectif d’utiliser cette plateforme pour continuer d’investir dans de nouveaux parcs éoliensen France et ainsi doubler la puissance
totale de la plateforme à moyen terme.


A propos d’InfraVia Capital Partners

InfraVia Capital Partners est une société de gestion spécialisée sur le secteur des infrastructures. InfraVia gère trois fonds d’infrastructure, positionnés comme des investisseurs de long-terme et dédiés aux secteurs de l’énergie et des infrastructures en Europe. InfraVia est Affilié au Groupe OFI. Adosséà deux grands groupes institutionnels, la Macif et la Matmut, OFI Asset Management met ses compétences en matière de gestion d’actifs au service d’investisseurs tiers. Avec 65 milliards d’euros d’actifs sous gestion à fin 2015,OFI Asset Management propose un ensemble de produits et services aux investisseurs institutionnels européens.

( src – CP – CD )

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Porto Rico : des batteries li-ion pour stabiliser la production PV

Porto Rico : des batteries li-ion pour stabiliser la production PVLe groupe Saft a annoncé mercredi la signature d’un contrat avec la société Windmar pour la fourniture de trois systèmes batteries lithium-ion (Li-ion) Intensium(r) Max 20P de forte puissance.

Ces systèmes de stockage conteneurisés assureront la régulation du taux de fluctuation et la réponse en fréquence d’une installation photovoltaïque (PV) de 10 MW située à Porto Rico. Les solutions de batteries proposées par Saft garantissent plus de 10 années de fiabilité et permettront de stabiliser le réseau de l’île de Porto Rico tandis que le déploiement des sources d’énergies renouvelables se poursuit.

En 2013, 1 % seulement de l’électricité consommée par l’île provenait de sources renouvelables. Selon la norme RPS (Renewable Portfolio Standard) de l’île, 20 % de l’électricité fournie par PREPA (Puerto Rico Electric Power Authority), la compagnie électrique nationale, devront être issus de sources renouvelables à l’horizon 2035. Windmar a été la première entreprise portoricaine à fournir de l’énergie solaire à PREPA. À ce jour, ses installations produisent plus de 15 MW d’énergie solaire dans toute l’île.

Le partenariat conclu entre Saft et Windmar permettra à Porto Rico d’intégrer une plus grande quantité d’énergie photovoltaïque renouvelable dans son réseau électrique. Windmar pourra ainsi satisfaire aux exigences techniques minimales (MTR) de PREPA, à savoir fournir une puissance de pointe de 4,5 MW pour la régulation du taux de fluctuation et 1 MW pour la réponse en fréquence, en utilisant des batteries Saft. Les conteneurs Intensium(r) Max entièrement intégrés se caractérisent par une architecture de batteries modulaire, des dispositifs de gestion de batteries et de refroidissement actif, ainsi qu’un système d’extinction d’incendie et des interfaces de communications et d’alimentation.

«Dans les régions isolées et sur les îles, nos batteries doivent être capables de gérer des flux d’énergie quotidiens substantiels et des niveaux de puissance de sortie élevés pour stabiliser la production des centrales photovoltaïques», a déclaré Jim McDowall, Directeur du Développement Commercial de Saft. «En contribuant à la production locale d’énergie solaire, nous permettons non seulement à Porto Rico d’atteindre ses objectifs RPS en matière d’énergies renouvelables, mais également de créer des emplois. Notre solution dote la centrale photovoltaïque de Coto Laurel d’une puissance maximale en conteneurs entièrement assemblés de 6,1 mètres (20 pieds) avec une grande flexibilité en termes d’installation sur site. »

Les pointes et les creux de production importants des énergies renouvelables compliquent l’intégration de ces énergies dans les réseaux électriques de l’île. Grâce aux systèmes de stockage d’énergie (SSE) de Saft, la production intermittente est lissée et les taux de fluctuation réduits. La technologie Saft autorise aussi des modes d’utilisation extrêmement variés. Le temps de réponse rapide et l’excellente capacité de cyclage de cette technologie garantissent à l’installation photovoltaïque la stabilité et la fiabilité indispensables pour produire de l’énergie et réduire les coûts.

«La technologie de pointe de Saft favorise notre programme de développement des énergies renouvelables tout en contribuant à la création de nouveaux emplois», a déclaré Victor Gonzalez de Windmar. «Les sources d’énergies renouvelables de Porto Rico sont désormais gérées localement, ce qui correspond à notre politique d’augmentation de la production d’énergie locale. »

Parallèlement aux contributions de Saft à ce projet, Ingeteam fournit les onduleurs photovoltaïques et les convertisseurs de puissance destinés aux systèmes de stockage d’énergie (SSE).

Pour sa part, SolarWorld fournit à Windmar des panneaux photovoltaïques, ainsi que des services d’ingénierie. Cette collaboration avec Windmar confirme la position de Saft en tant que fournisseur privilégié de systèmes batteries permettant de respecter le cahier des charges techniques minimum de PREPA.

( Src – CP – photo – Saft )

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GE : 2 étapes majeures pour ses projets d’éoliennes offshore

GE : 2 étapes majeures pour ses projets d’éoliennes offshoreLa première éolienne Haliade produite par GE a récemment quitté l’usine de Saint-Nazaire pour être expédiée au Danemark, où elle sera installée sur le site d’Osterild pour le compte d’EDF Energies Nouvelles.

Inaugurée fin 2014, l’usine GE de Saint-Nazaire assure la fabrication des nacelles et des alternateurs de l’Haliade 150-6 MW et emploie actuellement 170 personnes.

La première Haliade fabriquée par GE est destinée à EDF Energies Nouvelles pour qui GE installera 238 éoliennes dans les trois parcs éoliens français de Saint-Nazaire, Courseulles-sur-Mer et Fécamp. Par ailleurs, l’usine de Saint-Nazaire fournira 5 Haliade au parc éolien de Block Island aux États-Unis d’ici à juin 2016, ainsi que 66 Haliade pour le projet Merkur en Allemagne.

Aux Etats-Unis, GE a aussi annoncé aujourd’hui la fin de l’installation des plateformes situées à la base des tours d’éoliennes destinées au parc de Block Island, le premier parc éolien offshore des États-Unis, dont la construction devrait s’achever fin 2016.

Cinq éoliennes Haliade GE de 6 MW construites à Saint-Nazaire composeront le parc éolien de Block Island et permettront de produire 30 MW d’énergie, soit suffisamment pour générer environ 125 000 MWh d’électricité et répondre à 90 % des besoins en électricité de Block Island. Les Haliade, qui seront installées à environ cinq kilomètres au large de Block Island, figureront parmi les plus grandes éoliennes au monde. Dotées d’une capacité de 6 MW, elles sont à même d’alimenter l’équivalent de 5 000 foyers par an et permettent d’économiser plus de 21 000 tonnes de CO2 chaque année tout au long de la durée de vie d’une éolienne [1]. Leur rotor d’un diamètre de 150 mètres balaie une surface pouvant quasiment contenir quatre Airbus A380.

Conduit par Deepwater Wind, ce projet a franchi plusieurs jalons importants avec le montage du premier alternateur à aimant permanent et entraînement direct sur la ligne de montage des nacelles à Saint-Nazaire et la réalisation de la première section des tours dans le port de Providence. Les autres composants des éoliennes (tours, pales et nacelles) seront expédiés par bateau depuis l’Europe et assemblés sur place, le début de l’exploitation commerciale devant intervenir au quatrième trimestre 2016.

Le parc de Block Island constitue le premier parc éolien offshore de GE depuis le rachat d’Alstom Power et Grid et la création du pôle GE Renewable Energy. Ce projet démontre la capacité du nouveau secteur à tirer parti à la fois de l’expérience en matière des projets de grande échelle GE, d’une technologie avancée dans le domaine de l’éolien et d’une chaîne logistique mondiale. Ainsi, l’éolienne Haliade comprend un alternateur à aimant permanent de GE Energy Connection et la technologie Pure Torque de GE Wind.

Jérôme Pécresse, CEO de GE Renewable Energy, a déclaré : « Ces six dernières années, l’industrie des énergies renouvelables a permis de faire baisser le coût de l’électricité produit par les fermes éoliennes onshore d’environ 60% [2], faisant de l’éolien une source d’énergie compétitive. Nos efforts portent désormais sur l’offshore, avec pour objectif d’obtenir les mêmes résultats. Le projet Block Island de Deepwater, premier parc éolien offshore des Etats-Unis, constitue une étape cruciale pour permettre une exploitation des ressources abondantes du pays. Chez GE, nous croyons que notre mission est de rendre les énergies renouvelables abordables, accessibles et fiables, afin de soutenir la transition énergétique à travers le monde. Nous sommes fiers de participer au projet de Block Island, tout en renforçant notre partenariat de longue date avec DE Shaw et en apportant notre expertise à Deepwater Wind, l’un des leaders de l’industrie éolienne offshore».

[1] Données provenant des sources internes GE, fondées sur la consommation moyenne d’électricité par foyer en Europe.
[2] Source : estimations Lazard.

( src – CP – GE Alstom )

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Panasonic a fait don de plus de 50.000 lanternes solaires

Panasonic a fait don de plus de 50.000 lanternes solairesLe « Projet des 100 mille lanternes solaires » de Panasonic Corporation a dépassé son échéance de mi-parcours, le nombre cumulatif de lanternes solaires données ayant dépassé les 50 000 le 10 mars 2016.

Ce projet a été lancé en février 2013 avec un don de 3.000 unités en Birmanie, d’autres dons ont ensuite été effectués dans d’autres régions d’Asie et d’Afrique sans accès à l’électricité.

Le nombre de lanternes solaires données était de 10.000 pour 3 pays au cours de l’exercice 2013, 14 114 pour 10 pays au cours de l’exercice 2014 et 20.364 pour 11 pays au cours de l’exercice 2015. Au cours de l’exercice 2016, Panasonic poursuit ses dons de lanternes solaires, et, le 10 mars 2016, 702 unités ont été données à la province de Yen Bai au Vietnam.

Le nombre total de lanternes solaires données a alors dépassé les 50.000. Ensuite, à la mi-mars 2016, Panasonic a fait don de 2 400 unités au Cambodge et de 760 unités au Bangladesh. Qui plus est, des dons seront faits à l’Indonésie, à l’Inde, et à la République démocratique du Congo d’ici fin mars 2016, portant le total à plus de 60.000 unités.

Le « Projet des 100 mille lanternes solaires » est l’une des activités de citoyenneté d’entreprise de Panasonic (activités de contribution sociale) utilisant les « produits » fabriqués par la société.

Plus de 1,2 milliard de personnes* vivent encore sans accès à l’électricité dans le monde. Le manque d’éclairage électrique exerce un impact considérable sur la santé, l’éducation, la génération de revenus et la sécurité la nuit. Panasonic espère pouvoir atténuer les défis sociaux qu’affrontent les habitants de pays en développement et émergents qui vivent sans accès au réseau. La société espère également apporter des changements positifs à leur vie en faisant don de petits dispositifs d’éclairage alimentés par l’énergie solaire. Panasonic a également fait don de lanternes solaires pour aider des communautés affligées par des catastrophes naturelles à grande échelle ou par des épidémies.

Panasonic souhaite faire don de 100.000 lanternes solaires dans le cadre de ce projet d’ici 2018. En principe, les destinataires sont des organisations à but non lucratif, non gouvernementales, humanitaires et internationales. À ce jour, 80 organisations de 16 pays ont reçu ces lanternes solaires.

Les rapports de ces organisations ont indiqué que ces lanternes solaires ont été employées de façon efficace pour diverses activités couvrant les études des enfants, l’alphabétisation des adultes, des accouchements et un traitement médical plus sécurisés, ainsi que la génération de revenus, et ont permis d’améliorer la qualité de vie des habitants de zones rurales non reliées au réseau électrique.

Panasonic indique vouloir continuer à accélérer ses efforts dans le cadre du Projet des 100 mille lanternes solaires dans le but de faire don de 100 000 unités d’ici 2018, son 100e anniversaire, et renforcer ses efforts pour contribuer à la réalisation des «Objectifs de développement durable (ODD) » adopté par des leaders mondiaux aux Nations-Unies en septembre 2015.

*Source : International Energy Agency (IEA), World Energy Outlook 2015 .

( src – CP – Panasonic )

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