Archives: March 2013

La Roumanie réduit son soutien aux énergies renouvelables

La Roumanie a réduit le soutien qu’elle accorde aux énergies renouvelables, en réduisant les incitations financières et fiscales qui avaient attiré de nombreux investisseurs depuis un an.



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JinkoSolar installe son premier système de toitures photovoltaïques

JinkoSolar installe son premier système de toitures photovoltaïquesJinkoSolar, fabricant de produits photovoltaïques, a annoncé le raccordement au réseau chinois (Shenzhen) de son premier système distribué pour toitures photovoltaïques de 100 kWp.

JinkoSolar a fourni et installé 400 panneaux solaires sur le toit de l’usine de Santak Electronic, un projet dirigé par Eaton Electric. Le système couvre une surface d’environ 1.500 m2 et devrait produire annuellement 100.000 kWh, tout en réduisant les émissions de dioxyde de carbone d’approximativement 90.000 tonnes par an.

En plus de fournir les modules photovoltaïques, JinkoSolar a pris en charge l’installation avec pour mission d’en optimiser la capacité et d’en réduire le temps, tout en assurant la protection de la structure existante.

Selon JinkoSolar, la structure en alliage d’aluminium a été spécialement conçue pour des installations en régions côtières où les systèmes sont souvent exposés à une humidité extrême et à des conditions environnementales difficiles. Par ailleurs, le système de contrôle sur-mesure permet d’offrir aux utilisateurs diverses méthodes pour superviser le fonctionnement et la maintenance du système photovoltaïque.

Nous sommes très heureux d’avoir développé un partenariat avec Eaton pour fournir et installer ce système pour toitures photovoltaïques” a confirmé Kangping Chen, PDG de JinkoSolar. “Ce projet va être un modèle pour les futures solutions PV commerciales en Chine. En plus d’être très attractif sur des projets de grande ampleur, JinkoSolar continue à promouvoir le développement de projets solaires de petite et moyenne taille.”

Nous sommes ravis d’être partenaires de l’un des leaders de l’industrie PV sur ce projet majeur” a confié Monsieur Wu, chef de projet chez Eaton Electric. Et de poursuivre : “Accroître sans cesse la part des énergies renouvelables, et notamment du photovoltaïque, est du devoir de l’ensemble des professionnels de l’industrie. Eaton salue les efforts des ingénieurs de JinkoSolar. Nous attendons avec impatience de poursuivre notre partenariat avec JinkoSolar par le développement de projets PV.”

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Photovoltaïque : “l’objectif des 1.000 MW en 2013 semble hors de portée”

Photovoltaïque: Il y a six mois, à l’occasion de la conférence environnementale, le gouvernement s’était engagéà mettre en œuvre, très rapidement, des mesures d’urgence pour sauver une filière photovoltaïque en grand danger.

Force est de constater que le bilan de ces mesures est particulièrement décevant et compromet à court terme l’avenir de la filière” a déploré la branche solaire du Syndicat des énergies renouvelables (SER-SOLER) en faisant référence à l’annonce du Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, le 26 mars dernier, sur la refonte du cadre de l’appel d’offres simplifié.

Ce dernier rappelle que les chiffres de raccordement du photovoltaïque se sont effondrés, passant de 241 MW au troisième trimestre 2012 à 75 MW au quatrième trimestre, “ce qui constituait une sérieuse alerte sur le niveau d’activité de la filière“.

C’est la raison pour laquelle les professionnels attendaient avec impatience la concrétisation des mesures d’urgence promises pour assurer la survie de la filière jusqu’à l’adoption de la loi de programmation sur l’énergie” a indiqué le SER-SOLER

Et d’ajouter : “Contre toute attente, et malgré les engagements des pouvoirs publics, l’annonce le 26 mars 2013 d’un nouvel appel d’offres simplifié concernant les installations de 100 à 250 kW, et de l’arrêt prématuré de l’ancienne procédure qui devait assurer la continuité de l’activité des entreprises, se traduit en réalité par, au mieux, 13 mois de suspension d’activité pour les acteurs sur ce segment de marché.

Déjà, l’appel d’offres de 400 MW pour des installations de puissance supérieure à 250 kW, lancé le 13 mars dernier, n’a pas rassuré les professionnels.

En effet, selon les professionnels du secteur, les critères de sélection choisis et le mode de notation proposé ne permettent pas d’assurer le niveau de visibilité nécessaire pour envisager des investissements industriels pour les fabricants implantés en France, et d’assurer la qualité des projets développés.

“Ainsi, ces décisions sont de nature à déclencher la disparition de la majorité des milliers d’emplois qui subsistaient dans la filière. Dans un tel contexte, l’objectif gouvernemental de développer 1 000 MW en 2013 semble hors de portée” a affirmé avec force le SER-SOLER.

Etant donnée la situation de crise que connait la filière photovoltaïque, et l’inadéquation des mesures décidées, nous demandons àêtre reçus par la ministre pour revoir sans délai l’ensemble des dispositions concernant les installations photovoltaïques de puissances supérieures à 100 kW” ont conclu Jean-Louis BAL, Président du SER, et Arnaud MINE, Président de SOLER et Vice-président du SER.

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Installations photovoltaïques – taille moyenne : l’appel d’offres publié

Installations photovoltaïques - taille moyenne : l'appel d'offres publiéLe cahier des charges de l’appel d’offres pour les installations photovoltaïques de taille moyenne (puissance entre 100 et 250 kilowatts) a été publié au Journal Officiel de l’Union européenne le 22 mars 2013.

L’appel d’offres porte sur la construction d’ici 2015 de 120 mégawatts (MW) de projets photovoltaïques situés sur des bâtiments non résidentiels, couvrant une surface de toiture comprise entre environ 700 m2 et 2.000 m2.

Cette appel d’offre devrait selon le gouvernement génèrer des investissements cumulés de l’ordre de 250 millions d’euros.

Afin d’améliorer le coût, la qualité et les retombées industrielles des projets lauréats, le cahier des charges prévoit les nouveautés suivantes par rapport aux appels d’offres précédents :

- la fréquence des appels d’offres a été réduite avec à présent 3 tranches de 40 MW sur un an (au lieu de 4 tranches de 30 MW) pour permettre l’amélioration des projets d’une tranche à l’autre ;

- un critère d’évaluation carbone a été introduit pour un tiers de la notation globale afin de valoriser la contribution des projets à la protection du climat.

La date limite de remise des offres a été fixée au 31 octobre 2013 pour la première période de candidature. La désignation des lauréats pourrait ensuite avoir lieu début 2014 pour une mise en service des projets lauréats mi 2015.

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DisaSolar lauréat du Prix de l’innovation industrielle en Limousin

DisaSolar lauréat du Prix de l'innovation industrielle en LimousinDisaSolar, PME française implantée à Limoges et spécialiste du photovoltaïque de 3ème génération – ou photovoltaïque organique – a reçu le 18 mars 2013 le Prix de la PME industrielle innovante pour la région Limousin.

Organisé dans chaque région par Oséo et le Ministère du Redressement productif dans le cadre de la Semaine de l’Industrie, ce prix récompense les PME porteuses des innovations les plus prometteuses dans les territoires.

Pionnière dans le secteur du photovoltaïque organique sur mesure (organic photovoltaics) ou OPV en France et dans le monde, DisaSolar est récompensée pour l’ambition industrielle qu’elle porte depuis sa création en 2010. A travers l’OPV, DisaSolar développe une innovation de rupture en faveur du développement durable, qui recèle également un fort potentiel en termes de développement industriel.

Issu des technologies de l’électronique imprimée, le photovoltaïque organique ne requiert en effet plus la fabrication de panneaux tels que nous les connaissons mais consiste à déposer des couches d’encres organiques sur une pellicule plastique souple permettant ainsi de disposer de modules photovoltaïques producteurs d’énergie bon marché, écologiques et «sur mesure». Ces modules souples autorisent pour la première fois des applications sur mesure, capables de rendre les objets les plus complexes autonomes en énergie.

DisaSolar est également souvent cité comme un modèle de recherche partenariale public privé puisque pour parvenir à son objectif, l’entreprise s’est placée au cœur d’un écosystème de R&D
regroupant de prestigieux laboratoires de recherche français et étrangers ainsi que d’autres entreprises françaises, dont les travaux déboucheront sur la création d’une usine de 150 salariés à Limoges en 2016.

«Nous sommes très heureux et très honorés de cette distinction. Elle conforte un peu plus l’ambition qui est la notre : opérer une rupture technologique dans le secteur des énergies renouvelables qui, si elle débouche sur la création d’une véritable filière industrielle en France, permettra la création de nombreux emplois et l’apparition de nouveaux produits pour la mobilité, l’électronique grand public ou le bâtiment, qui pourront eux mêmes déboucher sur des services innovants liés, par exemple, à la sécurité, la traçabilité ou le confort. Cette distinction arrive à point nommé puisque nous sommes actuellement en train de boucler une levée de fonds de 5 millions d’euros qui permettra de financer la réalisation de la ligne de production industrielle consacrée à l’OPV en Limousin et déjà soutenu financièrement par Oséo dans le cadre des programmes ISI» a déclaré Stéphane Poughon, président de DisaSolar.

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Des neutrons sur des films capteurs solaires auto-assemblés !

Des neutrons sur des films capteurs solaires auto-assemblés !Au cours de travaux réalisés à l’Institut Laue-Langevin, des scientifiques de l’Imperial College London ont présenté une nouvelle manière de positionner les nanoparticules dans les plastiques, avec des applications importantes dans la production de revêtements et de matériaux photovoltaïques qui captent l’énergie solaire.

L’étude, présentée dans le journal Advanced Materials, a utilisé les neutrons pour comprendre le rôle que joue la lumière – même la lumière ambiante – dans la stabilisation de ces films minces qui sont notoirement instables.

Comme preuve de concept, l’équipe a montré comment la combinaison de chaleur, de basse intensité visible et de lumière UV pourrait, dans le futur, être utilisée comme un outil précis et bon marché pour l’impression 3D de circuits à couches minces auto-assemblées sur ces films.

Les constats

Les films minces, composés de longues chaines de molécules organiques appelées polymères et fullerènes, de grandes molécules en forme de ballon de football et entièrement composées de carbone, sont principalement utilisés dans les cellules solaires en polymère où ils émettent des électrons lorsqu’ils sont exposés à des rayons solaires visibles ou ultraviolets. Ces matériaux photovoltaïques peuvent générer de l’énergie électrique en convertissant les rayons solaires en courant électrique direct.

Des neutrons sur des films capteurs solaires auto-assemblés !

Les cellules solaires en polymère sont d’un intérêt particulier pour l’électronique de faible puissance comme les réseaux de capteurs sans fil autonomes qui permettent de tout surveiller, de la température des océans jusqu’aux contraintes dans un moteur de voiture. Ces mélanges de fullerènes/polymères revêtent un intérêt particulier car ils sont légers, peu coûteux à fabriquer, flexibles, personnalisables au niveau moléculaire et relativement respectueux de l’environnement.

Cependant, les cellules solaires actuelles en polymère n’offrent qu’un tiers de l’efficacité des autres matériaux capteurs d’énergie et sont très instables.

La méthode utilisée

Afin d’améliorer la compréhension de la science de la dynamique de ces systèmes et donc leur performance opérationnelle, l’équipe a effectué des expériences de réflectométrie neutronique à l’ILL, le centre phare en science neutronique, sur un simple film-type composé de fullerène pur avec un polymère flexible. La réflectométrie neutronique est une technique non-destructive qui permet d’enlever des couches de ces films minces pour voir ce qui arrive séparément au fullerène et aux polymères, à résolution atomique, sur toute leur profondeur.

Les résultats de l’étude

Alors que les théories précédentes suggéraient que la stabilisation des films minces était liée à la formation d’une couche de particules de fullerènes expulsés à la surface du substrat, les expériences de réflectométrie neutronique ont montré que les “ballons de football” restaient uniformément répartis à travers la couche. L’équipe a montré que la stabilisation des films était causée par une forme de photo-réticulation des fullerènes. Le processus donne une plus grande intégrité structurelle aux films, ce qui signifie que les films (jusqu’à 10 000 fois plus petits qu’un cheveu humain) deviennent facilement stables avec des quantités infimes de fullerène.

Les implications de cette découverte sont importantes, en particulier en raison du potentiel de création de dispositifs en plastique beaucoup plus minces (par conséquent utilisant de plus petites quantités de matériel ce qui minimise leur impact environnemental) qui restent stables, avec une augmentation de leur efficacité et de leur durée de vie.

La photosensibilité suggère également un outil unique et simple pour l’introduction de modèles et de schémas dans ces films notoirement instables. Comme preuve de concept, l’équipe a utilisé un photomasque pour contrôler dans l’espace la répartition de la lumière et de la chaleur ajoutée. La combinaison entraîne l’auto-assemblage des fullerènes en schémas connectés bien définis et en schémas déconnectés, à la demande, simplement en chauffant le film jusqu’à ce qu’il commence à ramollir. Il en résulte une topographie spontanée et cela pourrait former la base d’un outil peu coûteux pour l’impression 3D de circuits à films minces. D’autres applications potentielles pourraient inclure la schématisation de capteurs ou d’échafaudages biomédicaux.

En utilisant simplement la lumière, nous pouvons demander à des parties spécifiques du film de se séparer ou de se connecter, de se stabiliser et de fonctionner à des fins photovoltaïques. Ensuite, il n’est pas difficile de créer, à la demande, des schémas complexes d’auto-assemblage sur ces films en ajoutant simplement de la chaleur. Répliqué pour des compositions plus complexes, cela représenterait une avancée majeure dans leurs applications commerciales en électronique comme dans le captage d’énergie de sources de faible puissance” a déclaré Le Dr Joao Cabral, de l’Imperial College London.

Dans le futur, l’équipe de chercheurs cherchera à transposer les résultats à des polymères conjugués et à des dérivés de fullerènes, plus communs dans les films commerciaux et les revêtements en couches minces industriels.

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“Le potentiel de l’éolien offshore en France est une réalité”

Eolien en mer : l'objectif La planification de l’espace maritime devient indispensable si l’on veut tirer parti du gisement exceptionnel de l’éolien offshore français dans les meilleures conditions et atteindre 15 GW en 2030.

Cette déclaration de France Energie Eolienne (FEE), fait suite aux diverses annonces dévoilées récemment. Le 13 mars 2013, la Commission européenne a déposé une proposition de directive de PSM au Conseil européen, avec une entrée en vigueur possible à partir de 2014. Le 18 mars, le gouvernement français a publié le cahier des charges du 2ème appel d’offres sur l’éolien en mer. Ce dernier se révèle sans surprise que ce soit pour les zones déjà identifiées, les puissances retenues et les conditions de candidature.

Cependant, avec une mise en service programmée entre 2021 et 2023, France Energie Eolienne déplore que l’engagement initial de l’Etat français de 6 GW d’éolien offshore en 2020 ne soit pas tenu.

A l’occasion du Grand débat sur la transition énergétique, France Energie Eolienne propose pour la filière offshore la mise en œuvre d’une planification de l’espace maritime identifiant d’une manière concertée les zones de développement potentiel, la mise en place d’un cadre administratif et réglementaire plus adapté, et des mesures de réduction des coûts et des risques.

La carte des zones techniquement favorables révèle un potentiel de 80 GW pour l’éolien offshore posé. Si les conditions précédentes sont enfin réunies, FEE estime réaliste de mettre en service 15 GW en France, à l’horizon 2030.

Le potentiel de l’éolien offshore en France est aujourd’hui une réalité. Nos voisins européens, l’Allemagne et le Royaume-Uni l’ont déjà compris en adoptant une planification depuis quelques années, qui leur permet d’exploiter leur potentiel beaucoup plus rapidement et dans la conciliation des différents usages de l’espace maritime. La France doit à son tour suivre cette voie” a indiqué Philippe Gouverneur, Président de la Commission Offshore de FEE.

** Planification Spatiale Maritime (PSM)

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Yingli Solar : Impact carbone des modules inférieur de 40% à la moyenne

Yingli Solar : Impact carbone des modules inférieur de 40% à la moyenneYingli Green Energy France a annoncé hier avoir fait réaliser l’évaluation carbone simplifiée de ses modules par un organisme indépendant dont le résultat affiche un bilan carbone simplifié inférieur de 40% au bilan carbone moyen d’un panneau photovoltaïque, toutes origines confondues.

Le cabinet Solstyce, bureau d’étude technique spécialisé dans l’énergie solaire photovoltaïque (PV), a remis fin février l’Évaluation Carbone Simplifiée (ECS) des modules Yingli Solar. Au terme de l’évaluation, les modules polycristallins 60 cellules Yingli Solar (YLxxxP-29b) présentent un bilan de 600 kg de CO2 émis par kilowatt-crête (kWc) pour les modules 250Wc et 577 kgCO2/kWc pour les 260Wc. Ce bilan est inférieur de 11% à la moyenne des modules PV européens et de 54% à la moyenne des modules PV importés*.

«L’évaluation carbone simplifiée nous est apparue indispensable. Elle nous permet de nous positionner par rapport à nos concurrents en valorisant nos efforts pour une production économe en carbone et de mieux accompagner nos clients dans leurs réponses aux appels d’offres » a expliqué Arnaud Catrice, Directeur de Yingli France.

Ce bilan carbone faible s’explique notamment par les efforts réalisés par Yingli à toutes les étapes de son processus de production et dans le choix de ses fournisseurs. Pour ses ressources énergétiques, Yingli s’appuie sur une combinaison d’énergies : “électricité (dont 20 MW d’énergie solaire), gaz naturel, chaleur et eau. Côté consommation, l’entreprise se fixe également des objectifs annuels ambitieux de réduction de sa consommation d’énergie.

Yingli Solar : Impact carbone des modules inférieur de 40% à la moyenne

«Nous avions déjà réalisé des études poussées, notamment une Analyse du Cycle Vie de nos modules avec le laboratoire ECN, mais l’intérêt de réaliser une ECS est de proposer à nos clients une mesure franco-française qui fasse foi sur le marché hexagonal » a précisé Mickaël Chabot, responsable technique de Yingli France.

La production de Yingli est verticalement intégrée. Cette centralisation permet au final de réduire significativement l’impact environnemental lié aux transports, aux bris et à l’emballage. Une fois produite, l’énergie solaire PV n’émet plus de GES.

Par ailleurs, Yingli Green Energy a été la première entreprise chinoise à adhérer en 2009 au dispositif européen PV Cycle qui assure la collecte et le recyclage de 100% de ses modules en fin de vie. Début 2013, Yingli a rejoint le programme Climate Savers de l’organisation mondiale de protection de l’environnement World Wild Fund (WWF), s’engageant à réduire d’ici 2015 de 13% supplémentaires ses émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) par mégawatt produit, liées à ses processus de production, aux transports ou encore à la sélection de ses fournisseurs.

L’Évaluation Carbone Simplifiée

Concernée par l’impact environnemental de ses installations solaires, la France a innové en étant la première à mettre en place un calcul précis et simplifié de l’impact environnemental des installations photovoltaïques, mesurant entre autres leur impact carbone avec l’ECS. Une méthode de calcul commune qui permet notamment d’évaluer et de comparer les émissions carbone des modules PV. Cette valeur est prise en compte dans l’évaluation des projets présentés pour les appels d’offre de plus de 250 kWc et favorise ainsi les projets les plus sobres en matière d’émissions carbone.

* D’après les données communiquées par le Ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie – Janvier 2013

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Feldheim, un village d’Allemagne auto-suffisant en production d’énergie

Feldheim, un village d’Allemagne de 125 habitants, est devenu auto-suffisant en production d’énergie grâce notamment à l’énergie éolienne et à une centrale au biogaz.



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Le futur Lycée public Sud Loire (44) s’équipe en éoliennes

Le futur Lycée public Sud Loire (44) s'équipe en éoliennesLe fabricant français de petit éolien, EOLYS, a annonce lundi avoir été choisi par une filiale de Bouygues Construction**, pour le compte de la Région des Pays de la Loire afin d’installer 2 éoliennes sur le site du futur lycée public Sud Loire, baséà Clisson (44).

“Le lycée de Clisson sera le lycée du futur, au service de la réussite des jeunes. Il est exemplaire à plus d’un titre et d’abord parce qu’il sera d’un niveau global de performances et d’exigences encore jamais atteint en France, grâce à une démarche de certification HQE, BBC (bâtiment basse consommation) et àénergie positive. Cet établissement constituera un formidable support pédagogique pour les formations en éco-construction qui y seront dispensées” a déclaré Matthieu Orphelin, Vice-président de la Région des Pays de la Loire, président de la Commission éducation et apprentissage.

Dans le cadre de son appel d’offres relatif à l’installation de sources d’énergie renouvelables sur le site, le Conseil régional des Pays de la Loire a sélectionné la société vendéenne EOLYS ressources et énergies pour l’implantation de deux éoliennes. Celles-ci devraient être installées début avril et raccordées au réseau ERDF à la mi-avril. Ces deux éoliennes, qui peuvent produire jusqu’à10 kW avec 11m/s de vent, alimenteront principalement les cuisines et le réfectoire du lycée.

Le futur Lycée public Sud Loire (44) s'équipe en éoliennes

Les principaux critères retenus en faveur de la société EOLYS ont été : “son positionnement haut de gamme, son savoir-faire en matière de technologies de pointe innovantes, la qualité de son suivi de performance des éoliennes à distance et également sa situation géographique qui en fait un fer de lance industriel dans la région.”

Notre investissement dans ce projet confirme notre volonté de faire de l’éolienne un outil pédagogique, de sensibilisation aux énergies renouvelables. Au-delà des bénéfices énergétiques pour l’établissement, les futurs lycéens pourront s’approprier l’outil de manière ludique au cours de leurs TP par exemple et comprendre de visu en quoi les énergies renouvelables sont les énergies de demain. En somme, EOLYS les encouragera à devenir des éco-citoyens” a expliqué pour sa part Jérôme Bousquet, Directeur général d’EOLYS ressources&énergies.

** Quille Construction

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