Archives: Actualités solaire

Union Européenne : Plus de voitures électriques et hybrides sont nécessaires

Afin d’atteindre ses objectifs en matière de réduction d’émissions de dioxyde de carbone, l’Union Européenne doit stimuler les ventes de voitures électriques et de voitures hybrides d’ici 2020.



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Théolia double sa capacité installée dans l’éolien

Théolia double sa capacité installée dans l'éolienLundi, la société Theolia a annoncé la conclusion d’un accord concernant la prise de contrôle de Breeze Two Energy, une société allemande qui détient et exploite pour son propre compte des parcs éoliens pour un total de 337 MW, dont 311 MW situés en Allemagne et 26 MW situés en France.

Ces parcs ont été, pour la presque totalité, mis en service entre 2006 et 2008 et bénéficient tous d’un contrat de rachat de l’électricité produite sur le long terme (20 ans en Allemagne et 15 ans en France).

Cette opération s’inscrit dans la stratégie mise en œuvre par Theolia depuis plus de deux ans, visant à renforcer son activité ‘Vente d’électricité‘ pour compte propre. Ces efforts de rationalisation et d’optimisation ont surtout permis à Theolia de constituer une plate-forme industrielle.

En prenant le contrôle de nouveaux parcs éoliens en exploitation en Allemagne et en France, Theolia entend consolider ses positions opérationnelles dans ses 2 pays historiques. “La soliditééconomique de l’Allemagne, qui a décidé de sortir du nucléaire et qui est résolument orientée en faveur des énergies renouvelables, permet de développer une stratégie de long terme” a indiqué la société dans un communiqué.

En 2011, Breeze Two Energy a réalisé un chiffre d’affaires de 47 millions d’euros issu en totalité de la vente d’électricité.

La capacité installée exploitée par le Groupe Theolia pour son propre compte passera de 297 MW à 634 MW, tandis que le chiffre d’affaires consolidé annuel dépassera les 100 millions d’euros.

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SER : L’éolien terrestre en chute libre

757 mégawatts (MW) seulement ont été raccordés au réseau électrique dans le courant de l’année 2012, soit une baisse de 19 % par rapport au nombre de mégawatts raccordés en 2011, considérée elle-même comme une année particulièrement difficile avec 928 MW installés contre 1 190 installés en 2010.

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Solaire : “sécuriser juridiquement les prochains appels d’offres”

Solaire : Le 17 janvier dernier, lors de la séance de questions à la chambre haute du Parlement français, le sénateur – MoDem – de la somme, Marcel Deneux a interpellé la Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie, Delphine Batho pour obtenir des précisions sur l’objectif à 2020 de la filière photovoltaïque française.

Madame la ministre, vous avez annoncé, le 7 janvier dernier, des mesures d’urgence pour la relance de la filière photovoltaïque française, afin d’atteindre un objectif annuel de développement de projets solaires pour une puissance d’au moins 1 000 mégawatts en France en 2013” a tout d’abord indiqué Marcel Deneux.

Et d’ajouter ensuite : “Cet objectif est très ambitieux en comparaison du précédent, fixéà 500 mégawatts. Sur le fond, je ne peux que souscrire à l’impulsion que vous souhaitez donner à la filière. La transition énergétique ne se fera que par le développement de tous les types d’énergie renouvelable : le solaire sous toutes ses formes, l’éolien, la biomasse, la géothermie, sans oublier l’hydraulique.”

Avec ce plan, vous proposez notamment de revaloriser de 5 % le tarif d’achat pour les installations d’une puissance inférieure à 100 kilowatts en intégration simplifiée au bâti, de bonifier les tarifs en fonction du lieu de fabrication des modules – jusqu’à 10 % si ces derniers sont d’origine européenne – et de lancer de nouveaux appels d’offres pour les grandes installations d’une puissance supérieure à 250 kilowatts.”

À la fin du mois de septembre 2012, la puissance raccordée au réseau était de l’ordre de 4 000 mégawatts. Or l’actuel objectif de la programmation pluriannuelle des investissements – PPI – pour le photovoltaïque est de 5 400 mégawatts. Cette puissance sera vite atteinte, peut-être même dès l’année prochaine. Selon le code de l’énergie, l’autorité administrative ne peut lancer des procédures d’appel d’offres que si les capacités de production installées ne répondent pas encore aux objectifs de la PPI.

Pour progresser, il me semble donc important de sécuriser juridiquement les prochains appels d’offres. Aussi, madame la ministre, comment comptez-vous réviser, dans la PPI, l’objectif pour 2020 en matière de photovoltaïque ? Enfin, pouvez-vous nous préciser si ces mesures sont compatibles avec nos engagements européens et comment elles s’inscrivent dans l’objectif européen « 3 x 20 en 2020 » ?

La réponse intégrale de Delphine Batho a été la suivante :

Monsieur le sénateur, le Gouvernement a en effet pris des mesures d’urgence pour soutenir la filière photovoltaïque française, dans le contexte du débat national sur la transition énergétique dont résulteront un certain nombre de mesures destinées à nous permettre d’atteindre l’objectif fixé par le Président de la République, à savoir que la moitié de la production d’électricité soit obtenue à partir d’énergies renouvelables à l’horizon 2025.”

Le débat national devra déboucher sur une loi de programmation qui permettra de réviser la PPI pour l’ensemble des énergies renouvelables, afin d’atteindre cet objectif et de donner aux entreprises le cadre stable, durable et prévisible dont elles ont besoin.

Dans ce cadre, sans attendre les résultats du débat et au regard de la situation de nos entreprises, nous avons pris trois mesures.

Tout d’abord, nous avons lancé un appel d’offres – parfaitement sécurisé sur le plan juridique, monsieur le sénateur – portant sur les technologies de pointe des grandes installations photovoltaïques, domaine dans lequel les entreprises françaises disposent d’une avance technologique. Ensuite, nous avons relancé des appels d’offres automatiques pour les moyennes installations, avec un cahier des charges révisé qui intègre, notamment, le bilan carbone des panneaux photovoltaïques. Enfin, nous avons prévu l’évolution des tarifs de rachat pour les petites installations : celles d’entre elles qui respectent un ou deux critères européens liés à la production ou à l’assemblage bénéficient d’un système de bonification.”

Ces textes sont parfaitement conformes au code de l’énergie, qui prévoit des systèmes de primes au tarif de rachat lorsque cela correspond aux objectifs de la politique de l’énergie en matière soit de lutte contre l’effet de serre, soit de technologie et de compétitivitééconomique. Tel est bien l’objectif des mesures prises par le Gouvernement : soutenir à la fois le développement de l’énergie photovoltaïque, qui est une énergie renouvelable, nos entreprises ainsi que les créations d’emploi dans cette filière, et ce sans attendre l’adoption de la prochaine loi de programmation, qui répondra à vos préoccupations en matière de programmation pluriannuelle des investissements.”

La réplique de Marcel Deneux a été la suivante :

Je vous remercie de votre réponse, madame la ministre ; elle éclaire quelque peu ce dossier.

J’étais rapporteur, il y a trois ans, du paquet énergie-climat, qui s’est traduit par une directive européenne. Je veillerai donc tout particulièrement à ce que la politique française en ce domaine reste bien «dans les clous », de manière que notre pays soit crédible lorsqu’il s’agira de se doter, enfin, d’une véritable politique énergétique européenne.”

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La chaleur perdue des grandes villes a une influence sur des milliers de kilomètres

La chaleur gaspillée et générée par les grandes villes, du fait de la combustion de carburants fossiles, a une influence sur les températures de régions situées à plusieurs milliers de kilomètres de distance.



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Année 2012 : trou d’air dans l’éolien français

Année 2012 : trou d'air dans l'éolien françaisSuite au bilan électrique 2012 publié récemment par le gestionnaire du Réseau de Transport d’Électricité), les craintes des professionnels de la filière éolienne française se confirme car 757 mégawatts (MW) ‘seulement’ ont été raccordés au réseau électrique dans le courant de l’année 2012

C’est une baisse de 19 % par rapport au nombre de mégawatts raccordés en 2011, qui avait déjàété une année particulièrement difficile avec 928 MW installés contre 1 190 installés en 2010” a déploré le SER dans un communiqué. Aujourd’hui, le parc éolien s’élève à 7.449 MW, alors que l’objectif a atteindre d’ici 2020 est de 19.000 MW.

Pour le SER, ce chiffre jugé inquiétant éloigne “encore un peu plus notre pays” de la trajectoire lui permettant de respecter ses objectifs en matière d’énergie renouvelable puisque le rythme de raccordements nécessaires pour les atteindre s’élève à plus de 1.400 MW par an.

Nous sommes à 54 % du rythme annuel qui nous permettrait de respecter les engagements que nous avons pris concernant le développement du parc éolien terrestre français qui doit atteindre 19 000 MW en 2020” a précisé Jean-Louis BAL, Président du Syndicat des énergies renouvelables, “la filière éolienne ne peut attendre les conclusions du débat lancé par le Gouvernement. Les mesures d’urgence annoncées doivent être mises en œuvre très vite si nous voulons encore disposer des outils industriels et des compétences pour diversifier notre mix électrique à l’issue du débat sur la transition énergétique“.

Les raisons de ce ralentissement sont connues : “la complexification du cadre réglementaire mis en place en 2010, les difficultés de raccordement au réseau électrique et l’incertitude sur l’avenir d’achat du kWh éolien. Les professionnels de la filière, réunis au sein du SER, appellent à la mise en œuvre urgente d’une simplification du cadre réglementaire, devenu incompatible avec le développement de l’énergie éolienne.”

Tenir les engagements pour l’éolien terrestre est d’autant plus impératif que le calendrier des appels d’offres de l’éolien maritime nous conduit bien au-delà de 2020 pour la mise en exploitation des 6 000 MW offshore prévus par le Grenelle de l’environnement“, a rappelé Jean-Louis BAL.

France Energie Eolienne (FEE), s’interroge quant à elle sur la faisabilité d’atteindre l’objectif de 10% du mix électrique d’origine éolienne en 2020 contre 3% aujourd’hui ? Cette dernière avait soulignéà plusieurs reprises les risques de retard, aujourd’hui bel et bien confirmés. “L’épisode que nous vivons actuellement met en danger la filière éolienne et ses 11.000 emplois directs, avec des risques de licenciements portant sur 1.000 postes durant le second semestre 2013, si rien n’est fait immédiatement.

Selon Nicolas Wolff, Président de FEE, “Le bilan 2012 démontre la pertinence des mesures annoncées par Delphine Batho : la sécurisation du tarif d’achat éolien en collaboration avec la Commission européenne et les mesures d’allégement bientôt en discussion au Sénat, mais le temps est compté !“.

L’énergie éolienne est entrée dans une phase industrielle marquée une croissance mondiale de près de 30 % en 10 ans. En Europe, malgré la crise, en 2011, les installations éoliennes ont représenté plus de 21 % de nouvelle capacitéélectrique installée. Aujourd’hui, la filière emploie 200 000 personnes en Europe**.

** src : EWEA European Wind Energy Association

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Lac de Neuchâtel (Suisse) : 3 îles couvertes de panneaux solaires

Lac de Neuchâtel (Suisse) : 3 îles couvertes de panneaux solairesDeux compagnies ont annoncé jeudi dernier vouloir implanter sur le plus grand lac suisse – lac de Neuchâtel – trois îles couvertes de panneaux solaires photovoltaïques et cela dans le cadre d’un projet de recherche.

Viteos, une sociétéénergétique suisse et son compatriote Nolaris se sont en effet associés pour réaliser de véritables laboratoires flottants, le but premier n’étant pas de produire de l’électricitéà grande échelle. Ces plateformes flotteront au large de la station d’épuration (STEP), à proximité des centres de recherche et de formation neuchâtelois.

A l’aide d’un investissement évaluéà plus de 100 millions de francs suisses (soit 80 ME), Viteos vise plusieurs objectifs :

- augmenter sa propre production de plus de 80 millions de kilowattheures en 10 ans,

- privilégier les énergies renouvelables primaires (eau, soleil et vent),

- réaliser des unités de production régionales.

Afin d’y parvenir, Viteos a défini plusieurs projets innovants, portant sur la production, mais aussi sur l’utilisation plus rationnelle et l’économie des énergies. Les investissements consentis par Viteos devraient permettre d’augmenter sa production d’électricitéà partir de renouvelables de plus de 150% sur 10 ans.

L’objectif particulier de Viteos dans le projet des îles solaires consiste prioritairement à tester de nouvelles manières de produire du courant par effet photovoltaïque. “Il s’agit aussi d’améliorer les solutions mécaniques, de tester les effets de l’humidité, de l’érosion, du vent, des vagues et même de la neige et du gel sur ce type de construction” a précisé Philippe Burri, directeur technique de Viteos.

Lac de Neuchâtel (Suisse) : 3 îles couvertes de panneaux solaires

Véritable banc de test multidisciplinaire pour l’ensemble des milieux techniques et universitaires du canton de Neuchâtel, cet ensemble évolutif permettra de démontrer l’efficacité de ce principe, qui pourra être adaptéà d’autres technologies solaires (photovoltaïque concentré, avec ou sans cogénération électricité-chaleur, entre autres), en différents endroits (bassins dans des stations d’épuration [STEP], réservoirs, par exemple). L’objectif n’est donc pas de produire des kilowattheures en masse ou au meilleur prix, mais de chercher des alternatives originales et innovantes au déploiement de panneaux solaires.

Objectifs et particularités de l’innovation

Le projet consiste à placer sur le lac de Neuchâtel 3 plateformes (îles) de 25 mètres de diamètre et portant 100 capteurs photovoltaïques chacune. Elles sont dotées d’un mécanisme leur permettant de suivre le mouvement du soleil (l’île tourne de 220° dans le sens du soleil dans la journée et retourne en position initiale pendant la nuit). Elles doivent être implantées obligatoirement sur une surface d’eau, afin d’augmenter l’efficacité de leur mécanisme de rotation en fonction de la moindre résistance offerte par l’eau.

Lac de Neuchâtel (Suisse) : 3 îles couvertes de panneaux solaires

Les plateformes sont posées sur un support en PVC-PU (PVC – polyuréthane) entouré d’un boudin gonfléà l’air comprimé, lequel est composé de plusieurs compartiments indépendants les uns des autres. 100 panneaux solaires seront adossés l’un à l’autre à 45° d’inclinaison en lignes successives sur chaque plateforme et fixés solidement à une armature en fibre de verre, elle-même stabilisée sur un support en néoprène. La plateforme tournante de l’île est posée sur une membrane étanche reposant sur un coussin d’air en légère surpression. Pour des questions de réduction de coûts, de facilité et de rapidité de montage, et aussi de recyclage et/ou d’élimination en fin de vie, une structure gonflable plutôt qu’une structure rigide a été choisie. Nettement plus légère, la structure gonflable présente un impact écologique moindre (plus faible quantité de matière à produire, à transporter, à recycler ou àéliminer).

Des mesures particulières de sécurité des installations ont été prévues, telles que arrêt automatique des moteurs de rotation en cas de mauvais temps, résistance à un surpoids dûà une couverture de glace, illumination durant la nuit ou en cas de brume, entre autres.

Les îles seront installées devant la sortie de la STEP de Neuchâtel, dans la zone riveraine intérieure de 150 m depuis la rive. Cette zone est interdite à la navigation, ce qui évitera tout contact avec les bateaux. Les îles seront arrimées à des corps morts (blocs de béton posés au fond du lac) par des câbles. Elles seront aussi reliées à la rive par des câbles, puis raccordées au réseau de distribution électrique de Viteos par des onduleurs.

Lac de Neuchâtel (Suisse) : 3 îles couvertes de panneaux solaires

Etant donné la proximité des centres neuchâtelois de formation et de recherche (EPFL/IMT, CPLN/ET, etc.), le projet vise également à développer un pôle de compétence dans la technicité de la mécanique, des tests d’érosion et de mise en situation naturelle (vent, pluie, givre, etc.) et des essais de production d’énergie photovoltaïque. Chacune des îles est indépendante et peut fonctionner et produire de l’électricité sans les deux autres (condition nécessaire en cas de réparation ou de maintenance, voire de test de deux scénarios différents en parallèle). Un grand nombre de récepteurs solaires différents peuvent être installés sur les îles solaires. Le professeur Baillif de l’Institut de Microtechnique de l’EPFL est déjà intéresséàéquiper l’une des plateformes avec des cellules solaires de nouvelle génération, dont certaines sont mises au point par son laboratoire de Neuchâtel.

Lac de Neuchâtel (Suisse) : 3 îles couvertes de panneaux solaires

Les trois îles seront montées dans le port de Neuchâtel entre mai et août 2013, puis halées à leur emplacement final devant la STEP, pour être mises en exploitation entre fin 2013 et début 2014. Elles devraient rester en activité durant 25 ans, puis seront démontées.

Intégration des îles solaires dans l’environnement

Le quartier où elles seront installées abrite déjà une douzaine d’autres projets d’énergie renouvelable. Ces îles participeront donc aussi à la carte de visite du canton de Neuchâtel, centre de recherche et d’application des technologies vertes.

Selon l’étude d’impact, ce projet n’a pas d’incidence sur les caractéristiques physiques, géologiques et les courants du lac vu la faible surface occupée par les trois îles. Il n’induit pas de changement de température significatif, ni de diminution de la population planctonique. Seule l’ombre projetée sur l’eau pourrait avoir une influence, insignifiante toutefois vu la très faible surface occupée. Il n’a pas non plus d’influence négative sur les poissons ou leurs conditions de frai et par conséquent, sur la pêche.

Les îles solaires ne produisent pas de poussière ou d’autre substance organique, inorganique ou cancérigène. Le système utilise de l’air comprimé qui, même en cas d’échappement, ne produit pas de substance polluante. Il n’y a pas de production directe de CO2 et de gaz à effet de serre, ni d’atteinte à la couche d’ozone.

Le choix de leur emplacement est basé sur différents critères :

- proximité du pôle d’énergie solaire (EPFL/IMT, CPLN/ET, etc.) et des grandes centrales de production d’énergie d’origine renouvelable

- embouchure de la STEP (lieu peu propice à la baignade ou à la pêche)

- dans une zone interdite à la navigation

- dans un quartier d’installations techniques (zone portuaire, STEP, installations sportives)

Par ailleurs, la consommation d’électricité du projet «freecooling » mené en parallèle par Viteos afin d’assurer le refroidissement d’installations techniques et de bâtiments (hôpital Pourtalès, CSEM, Microcity, CPLN) par l’eau du lac sera couverte à 49% par la production des trois îles solaires.

Dans 25 ans, les îles seront démontées. Grâce au choix de matériaux recyclables, une grande partie des éléments les composant seront retraités (panneaux solaires, structure, notamment). Le site reprendra son aspect original dès que les îles auront été retirées.

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PV : “malgré les difficultés la filière n’a pas dit son dernier mot”

PV : “40% de puissance en plus pour le photovoltaïque en France en 2012. L’effort de la filière toute entière a été payant”. Telle est la réaction de Michaël Seys, Responsable du développement produit chez Panasonic Solar suite à la publication du bilan électrique de RTE pour 2012.

Ce chiffre est la meilleure récompense que nous tous, représentants de la filière photovoltaïque en France, pouvions espérer“, a t-il ajouté.

Certes le rythme est légèrement inférieur à celui de 2011 mais le parc photovoltaïque ne cesse de croître et franchit les 3.500 MW installés fin 2012.

Le bilan est plutôt positif et représente également une reconnaissance au regard des efforts que les acteurs du secteur ont fourni en continu pour sensibiliser l’opinion publique, mais aussi pour assainir la filière et renforcer nos processus de qualité, de la fabrication à l’installation des panneaux” a encore indiqué Michaël Seys.

Et de conclure, “malgré l’impression globale d’un ralentissement, ces résultats encourageants sont aujourd’hui la preuve que le solaire continue de convaincre les Français. Un fait qui vient confirmer leur préférence croissante pour les énergies renouvelables.

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Infographie : la production d’énergie solaire par habitant en Europe

Infographie : la production d'énergie solaire par habitant en EuropeAvec toutes les problématiques actuelles résultant du développement durable, l’énergie solaire a pris une place importante en France ces dernières années ; Mais comment se positionne l’hexagone par rapport à ses voisins européens ?

Une infographie a réussi à schématiser l’installation de panneaux solaires en Europe. Il devient alors aisé de comparer l’implication de chaque pays dans ce domaine pour l’année 2011.

Les données utilisées ne se basent pas sur la production totale d’énergie solaire, mais sur la puissance totale du pays rapportée à chaque habitant. La capacité photovoltaïque installée de chaque pays est donc divisée par sa population et sa superficie en km2.

Sur cette infographie, on peut remarquer que la France se positionne en 10ème position européenne, bien loin derrière l’Allemagne, l’Italie ou encore la république Tchèque.

En 2011, notre pays a en effet développé 43,5 Watts / hab, contre 304,3 Watts / hab pour l’Allemagne, leader incontesté en europe.

Infographie : la production d'énergie solaire par habitant en Europe

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A noter que cette infographie ne prend en compte que la puissance électrique solaire par habitant et non la production électrique totale du pays..

Ces 2 dernières années ont été plutôt difficiles pour le secteur avec des prix de rachat par EDF qui ont fortement diminué et une filière photovoltaïque qui a perdu plus de 15.000 emplois en France. De nouvelles perspectives devraient s’ouvrir en 2013 puisque la France entend doubler sa production d’énergie solaire et encourager à nouveau l’installation de panneaux en augmentant les prix de rachat de l’électricité.

[ Infographie : expertmarket.fr ]

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Deuxième interruption totale de l’énergie nucléaire au Japon depuis Fukushima

Le Japon pourrait bien connaître la seconde interruption totale de sa production d’énergie nucléaire depuis la catastrophe de Fukushima en 2011, alors que ses deux seuls réacteurs actuellement en fonctionnement devraient être à nouveau coupés cet été.



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