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Togo : premier parc éolien d’Afrique de l’Ouest avec 25,2 MWe

Togo : premier parc éolien d'Afrique de l'Ouest avec 25,2 MWeLe développeur indépendant de fermes solaires et éoliennes, Eco Delta a annoncé la semaine dernière l’obtention d’une concession pour la construction et l’exploitation d’une centrale éolienne de 25,2 MWe à Lomé, la capitale du Togo.

Ce sera le premier parc éolien d’Afrique de l’Ouest.

Suite à un appel d’offre international, le Gouvernement du Togo a signé au profit de Delta Wind Togo** une convention de concession pour la construction et l’exploitation de cette centrale. La concession est conclue pour une durée de 22 ans, dont 2 ans consacrés au montage du financement, à la construction et à la mise en service des installations.

Aux côtés d’un partenaire local, Delta Wind Togo a mené trois ans d’études pour concrétiser ce projet qui a, dès son lancement, reçu un bon accueil du Gouvernement Togolais. Par ailleurs, dans une démarche de durabilité environnementale et agricole, la centrale sera installée sur 40 km2 d’une friche naturelle impropre à la culture, les marécages du fleuve Zio, au lieu-dit “zone marécageuse de Kagomé“. Elle sera équipée de 11 à 14 aérogénérateurs pour un investissement total d’environ 45 million d’euros (30 Md FCFA).

Nous remercions le Gouvernement Togolais d’accorder sa confiance au groupe Eco Delta en lui donnant ainsi l’opportunité de participer au déploiement de sa stratégie d’électrification du pays. Après un appel d’offre pour la construction et l’équipement du parc, nous prévoyons de lancer le chantier d’ici quelques mois. Le raccordement au réseau de la Communauté Electrique du Bénin, la société de distribution de l’électricité commune au Togo et au Bénin, devrait avoir lieu au plus tard dans 2 ans“, a déclaré Ronald Knoche, président du directoire du groupe Eco Delta.

La centrale fournira de l’ordre de 5 à 7 % de la production électrique du pays, contribuant ainsi à l’effort national mis en œuvre par le Gouvernement pour approvisionner la population. Après la mise en service il y a deux ans d’une centrale thermique au gaz/fioul de 100 MWe, le parc éolien de Kagomé permettra d’augmenter la quote-part de l’électricité d’origine renouvelable dans le bouquet énergétique du pays et de soutenir sa stratégie d’indépendance en matière d’énergie.

En 2008, le Togo a consommé 672 millions de kWh, dont 515 millions étaient importés du Ghana et de Côte d’Ivoire (1).

** Filiale à 85 % du groupe Eco Delta

(1) Dernières estimations publiées par le CIA World Factbook

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La transition énergétique est le meilleur moyen de répondre aux enjeux climatiques

Le 12 septembre, plusieurs ONG de protection de l’environnement ont décidé de fixer les cadres du débat de la Conférence environnementale, tant sur le fond que sur sa forme.

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Le Japon renonce au nucléaire

Le 14 Septembre à 10h, à quelques minutes de l’ouverture de la conférence environnementale, le gouvernement japonais a annoncé la sortie du nucléaire dans le cadre de la présentation de sa nouvelle politique énergétique.



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La plus grande centrale solaire photovoltaïque industrielle du Chili

La plus grande centrale solaire photovoltaïque industrielle du ChiliÀ partir de fin août 2012, la centrale de La Huayca, située à environ 85 kilomètres d’Iquique, a commencéà fournir à l’industrie minière et aux autres industries lourdes de la région une puissance maximale de 1,4 mégawatt (MW) d’électricité d’origine solaire.

Grâce à un ensoleillement exceptionnel, le désert d’Atacama au nord du Chili est idéal pour la production d’électricité solaire photovoltaïque (PV). La puissance de la centrale de La Huayca pourra être portée jusqu’à 25 MW lors d’extensions prévues au cours des prochaines années.

La centrale solaire photovoltaïque est détenue et exploitée par une coentreprise formée par Saferay GmbH, le spécialiste allemand des centrales solaires, et SELTEC Ingeniería, une société d’ingénierie et de construction chilienne.

L’américain GE Energy Management a fourni 2 onduleurs PV** d’extérieur de pointe optimisés pour satisfaire les demandes spécifiques de Saferay et pour résister aux conditions ambiantes qui règnent dans la région. GE a fourni également d’autres équipements électriques, dont des dispositifs de coupure et de commutation ainsi que des transformateurs moyenne tension.

Le gouvernement chilien souhaite que, d’ici 2020, l’industrie tire au moins 20% de l’énergie consommée de sources d’énergie renouvelable. Faute de quoi, des sanctions financières seront appliquées,” a déclaré Juan Fernández, responsable de la gestion de projet chez Saferay. “Cette centrale devra fonctionner de manière fiable et efficace à long terme. C’est pourquoi nous avons fait appel à GE dont la technologie, l’expérience, les ressources et la présence mondiale contribueront à assurer le succès de cette centrale. Pour notre part, nous espérons que ce succès stimulera l’industrie du PV solaire dans l’ensemble de la région.

Ce projet pionnier amorce une tendance vers le développement industriel de l’électricité solaire dans toute l’Amérique latine.

** GE a acquis Power Conversion (alors connu sous le nom de Converteam) en septembre 2011. La filiale Power Conversion de GE Energy Management utilise la technologie et les systèmes de conversion de courant pour aider à soutenir la transformation électrique de l’infrastructure énergétique dans le monde.

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Eolien : l’Europe va aider le danois Vestas à reclasser 720 salariés

Eolien : l'Europe va aider le danois Vestas à reclasser 720 salariésLa fabrication d’éoliennes dans l’Union européenne a fortement souffert des changements dans la structure des échanges mondiaux, qui ont entraîné une réduction importante de la part des fabricants de l’Union sur le marché mondial des éoliennes (tombée de 65,5 % en 2006 à 43,7 % en 2010).

Si la production d’éoliennes en Europe a augmenté au cours des dernières années, le marché mondial a connu une expansion encore plus rapide, notamment en Asie et en Amérique du Nord. Pour la première fois en 2010, plus de la moitié des capacités nouvelles de production d’énergie éolienne ont été créées hors des marchés traditionnels d’Europe et d’Amérique du Nord. Cette évolution est principalement due à la poursuite de l’essor économique en Chine, qui concentre la moitié des installations éoliennes nouvelles à l’échelle mondiale.

Les éoliennes sont de plus en plus souvent produites là où elles sont achetées. En 2011 déjà, 80 à 90 % des éoliennes étaient fabriquées dans la région où elles devaient être installées.

Les licenciements au sein du fabricant d’éoliennes Vestas ont touché cinq municipalités situées dans les régions adjacentes de Midtjylland (Randers, Favrskov, Aarhus et Ringkøbing-Skjern) et Syddanmark (Varde). Toutes ces municipalités ont connu une augmentation rapide du chômage (notamment de longue durée) et une forte baisse des offres d’emplois (en particulier dans l’industrie et la production). De plus, les municipalités concernées ont indiqué qu’il n’y avait pas de possibilités d’emploi correspondant au profil des travailleurs licenciés par le groupe Vestas. Par conséquent, les travailleurs hautement qualifiés qui ont été licenciés pourraient être contraints de quitter la région pour retrouver un emploi.

En conséquence, la Commission européenne a proposé jeudi d’accorder au Danemark une enveloppe de 7,4 millions d’euros au titre du Fonds européen d’ajustement à la mondialisation (FEM) pour aider 720 travailleurs licenciés par le groupe Vestas. Ce montant contribuerait au financement d’un train de mesures visant à aider ces travailleurs à retrouver un emploi.

« Les 7,4 millions d’euros que nous proposons aideraient ces travailleurs licenciés à se préparer pour trouver un nouvel emploi » a déclaré Le commissaire européen à l’emploi, aux affaires sociales et à l’inclusion, M. László Andor.

Le Danemark a demandé l’intervention du FEM pour venir en aide à 720 travailleurs licenciés par le groupe Vestas. Les mesures cofinancées par le FEM devraient être proposées à tous les travailleurs concernés. Le dispositif vise à aider ceux-ci en leur offrant un encadrement et un accompagnement, une aide à la réinsertion, une formation portant sur des compétences générales et des formations ciblées individualisées, une aide à la création d’entreprise, des indemnités journalières et des bourses d’études.

Le coût total du dispositif est estiméà environ 15 millions d’euros, dont près de la moitié (7,4 millions d’euros) serait prise en charge par le FEM.

La proposition va maintenant être soumise à l’approbation du Parlement européen et du Conseil des ministres de l’Union européenne.

** Depuis sa création, en 2007, le FEM a fait l’objet de 101 demandes d’intervention pour un montant total de quelque 442,2 millions d’euros en faveur d’environ 91 000 travailleurs. Ces demandes proviennent d’un nombre croissant de secteurs et d’États membres. L’ouverture des échanges commerciaux avec le reste du monde a, globalement, des effets positifs sur la croissance et l’emploi, mais elle peut aussi provoquer la perte d’emplois, en particulier dans des secteurs vulnérables et au détriment de travailleurs peu qualifiés.

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EDF EN installe un nouveau parc éolien de 140 MW aux USA

EDF EN installe un nouveau parc éolien de 140 MW aux USALa filiale américaine d’EDF Energies Nouvelles a annoncé mercredi la mise en service du parc éolien Pacific Wind, d’une puissance de 140 MW, dans l’Etat de Californie.

Développé, construit et détenu par EDF Renewable Energy, le projet Pacific Wind est situé dans le comté de Kern, en Californie. EDF Renewable Services en assurera également l’exploitation et la maintenance.

EDF EN précise dans son communiqué que l’électricité produite par les 70 turbines du fabricant REpower sera vendue à la compagnie d’électricité américaine San Diego Gas & Electric (SDG&E) dans le cadre d’un contrat de vente d’électricité (PPA) d’une durée de 20 ans. Le parc éolien fournira de l’électricité de source renouvelable équivalente à la consommation électrique annuelle d’environ 56.000 personnes.

Vingtième projet éolien détenu par EDF Energies Nouvelles en Californie, le parc éolien Pacific Wind porte sa capacité installée dans le pays à 1.467 MW bruts.

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Une centrale solaire thermodynamique dans les Pyrénées-Orientales

Une centrale solaire thermodynamique dans les Pyrénées-OrientalesLe ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, vient de donner son feu vert à CNIM pour son projet de construction et d’exploitation, pour une durée de vingt ans, d’une centrale solaire thermodynamique à concentration située à Llo dans les Pyrénées Orientales.

Cette centrale solaire implantée sur un terrain d’une vingtaine d’hectares est le déploiement à l’échelle industrielle du pilote conçu et installé par CNIM sur son site de la Seyne-sur-Mer. Ce prototype en technologie de miroirs de Fresnel est en fonctionnement continu depuis plus de deux ans.

Ce projet de centrale solaire thermodynamique a été présenté dans le cadre de l’appel d’offres de la Commission de Régulation Energétique (CRE) portant sur la réalisation et l’exploitation d’installations de production d’électricitéà partir de l’énergie solaire d’une puissance supérieure à 250 kWc. Cet appel d’offres s’inscrit dans le programme gouvernemental de développement des énergies renouvelables et de transition énergétique.

La future centrale solaire** de Llo marque ainsi l’aboutissement de la stratégie de recherche et d’investissement de CNIM dans le solaire thermodynamique, dont les grandes étapes furent la conception et la fabrication du prototype de la Seyne-sur-Mer en 2010 et la validation de son concept par l’ADEME en avril 2012, avec le financement du démonstrateur pré-industriel e-Care (voir encadré ci-dessous).

La centrale de CNIM à Llo, d’une puissance de 9 mégawatts avec stockage de l’énergie thermique, ce qui représente la consommation en électricité de plus de 6.000 ménages, produira de l’électricité exportée sur le réseau électrique. Elle utilisera la technologie des « miroirs de Fresnel ». Cette technologie s’appuie sur la récupération de l’énergie thermique au travers de miroirs manœuvrés mécaniquement, et qui renvoient le rayonnement solaire sur un récepteur, la chaudière solaire. Cette énergie thermique peut être stockée ou convertie en électricité au travers d’un cycle de production de vapeur.

« Par sa décision, le Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie récompense l’investissement de long terme consenti par le Groupe CNIM pour promouvoir le solaire thermodynamique, et marque son soutien au développement d’une filière française créatrice d’emplois dans nos territoires et exportatrice de savoir-faire technologiques innovants. CNIM se réjouit de cette reconnaissance du solaire thermodynamique comme énergie renouvelable stockable, facilitant l’intégration au réseau électrique. La centrale de Llo sera construite sur un territoire pionnier du solaire à concentration, à quelques kilomètres du four solaire du CNRS d’Odeillo et de la centrale Thémis de Targassonne, dont CNIM avait construit la chaudière solaire dans les années 1980» a expliqué Roger Pujol, Directeur Général de la Division Energie Solaire du Groupe CNIM.

Démonstrateur eCare :

eCare est un démonstrateur pré-industriel de centrale solaire thermodynamique pour la production décentralisée d’électricité, accompagné d’une méthode de prédiction de la ressource solaire. Le montant total du projet s’élève à 10 M€.

Le projet eCare fait suite au pilote en technologie de Fresnel conçu par CNIM et installé sur son site de la Seyne-sur-Mer. Inauguré en juillet 2010 par le Ministre de l’Industrie, ce prototype est le seul pilote en technologie solaire concentré, opérationnel depuis deux ans sur le territoire français.

Les mises au point, essais et mesures effectués depuis deux ans ont confirmé les performances attendues par le calcul et démontré la fiabilité des solutions technologiques retenues.

eCare utilise la technologie CNIM des miroirs de Fresnel. Il fonctionne en eau pressurisée et est coupléà un stockage adapté et à une turbine ORC (Organic Rankine Cycle).

Le démonstrateur sera installé en conditions réelles dans un pays d’Afrique du Nord ou du Moyen Orient.

eCare est particulièrement adapté aux pays émergents à la recherche d’une plus grande autonomie énergétique. Créateur d’emplois localement, eCare a également pour objectif la création et le développement d’une filière industrielle française exportatrice.

Dans le cadre du projet eCare, CNIM est en groupement avec Bertin Technologies, Armines et Transvalor pour le développement d’une algorithmique complète de correction et d’étalonnage des estimations ou historique long-terme du rayonnement solaire ; le développement d’une méthodologie de mesure de la ressource solaire ; le développement d’un capteur de mesure automatique in-situ de l’empoussièrement d’un site.

** La Caisse des Dépôts et Consignations est partenaire de ce projet.

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“La filière photovoltaïque doit sortir de la pénombre” pour l’APESI

Alors que la conférence environnementale s’ouvre aujourd’hui, David Guinard, membre du bureau et Trésorier de l’association APESI**, souhaite porter la voix des PME de la filière photovoltaïque qui ne semble pas être entendues par le gouvernement.

«Dans le contexte de la prochaine conférence environnementale, il nous semble que le photovoltaïque s’efface une nouvelle fois des préoccupations gouvernementales et que la filière, notamment les PME, va de nouveau pâtir d’un manque de compréhension des enjeux et des acteurs de la part des pouvoirs publics.

La sortie en catimini, au milieu de l’été, des Appels d’Offres concernant les installations photovoltaïques, se place sur la lancée de la politique des ministères Besson et Kosciusko-Morizet.

La procédure d’Appel d’Offre que le ministère semble vouloir reconduire, a pour conséquence de léser trois acteurs majeurs dans l’énergie :

-les Collectivités : dans le cadre rigide d’un appel d’offre, il est impossible à la Collectivité d’anticiper les éventuels baisses des coûts de construction. Avec la baisse de 15% depuis janvier 2012 du prix des panneaux, nous, PME, sommes capables de produire de l’électricitéà un prix de rachat de 14c€ alors que les projets attribués vendront la leur entre 15 et 18c€ (engendrant ainsi un surcoût à l’Etat de plus de 18 M€/an pendant 20 ans),

-les Régions : les 3/4 des projets lauréats sont situés dans les 3 régions Sud (Paca, Languedoc-Roussillon et Aquitaine) au détriment d’un équilibre énergétique et financier sur le territoire,

-les PME : acteurs importants de la production d’électricité, sont fortement fragilisées par un système coûteux et peu adapté (le coût de réponse au premier appel d’offre correspond à environ 20 000€ principalement liés aux garanties bancaires nécessaires, soit l’équivalent d’un demi-salaire).

Ces vices inhérents à cette procédure d’appel d’offre avaient d’ailleurs été soulevés par l’actuelle Ministre, Mme Batho, le 26 juillet 2011 à l’Assemblée Nationale.

Cette décision, qui nous paraît donc injuste et inefficace, est le symbole du désintérêt du gouvernement actuel pour une industrie photovoltaïque qui pourrait pourtant créer des milliers d’emplois. Elle apparaît, enfin, à contre-courant des ambitions affichées lors de la campagne présidentielle.

D’autres solutions existent, moins coûteuses et plus équitables pour les territoires et les PME, comme celles présentées par des entrepreneurs du secteur (communiqué de presse APESI en pièce jointe). Ces solutions ne semblent même pas être étudiées par le ministère.»

** L’APESI (Association des Professionnels de l’Electricité Indépendante) est une association ouverte largement aux professionnels et acteurs de la filière.

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Le secteur nucléaire doit regagner la confiance de la population après Fukushima

L’industrie du nucléaire doit faire un effort collectif pour regagner la confiance de la population dans le monde après la terrible catastrophe de Fukushima qui a affecté le Japon en Mars 2011.



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Eolien : Areva Wind inaugure son nouveau vaisseau auto-élévateur

Eolien : Areva Wind inaugure son vaisseau auto-élévateur INNOVATIONÉgalement présent dans le domaine des énergies renouvelables, le groupe français du nucléaire Areva, a annoncé le 3 septembre dernier l’inauguration du nouveau vaisseau auto-élévateur ‘INNOVATION’ qui sera utilisé pour les prochaines installations en mer des éoliennes M5000.

Conçu spécialement pour les installations d’éoliennes en mer, ce navire va permettre d’une part à la filiale (Areva Wind) de proposer une offre toujours plus complète et au groupe de renforcer la compétitivité de son business model offshore, d’autre part.

Le vaisseau a été construit par HGO InfraSea solutions, une société commune de Hochtief Solutions et de GeoSea (une société du groupe belge DEME). Avec 147 mètres de long, il peut accueillir jusqu’à 180 personnes et atteindre 12 nœuds (22 kilomètres heures). D’une capacité de chargement de 8.000 tonnes, sa grue lui permet de lever jusqu’à 1.500 tonnes tandis qu’il peut opérer par des profondeurs allant jusqu’à 65 mètres.

«Grâce à ce puissant nouveau vaisseau, nous allons pouvoir offrir à nos clients des solutions logistiques optimisées, permettant une installation facilitée, dans des délais réduits. INNOVATION est un composant clé de notre offre, soulignant l’importance de partenariats forts dans le domaine de l’éolien offshore. Nous sommes particulièrement fiers d’être associés à des entreprises à l’expérience offshore reconnue, telles que Hochtief et DEME» a déclaré Louis-François Durret, directeur du Business Group Énergies Renouvelables d’Areva.

INNOVATION permettra le transport rapide et compétitif de 80 éoliennes Areva M5000 pour le prochain projet de Global Tech I.

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