Archives: Actualités solaire

Le premier parc solaire de Haute Loire (10 MWc) a été inauguré

Le premier parc solaire de Haute Loire (10 MWc) a été inauguréLa préfecture de Haute-Loire, la Communauté de communes du Pays de Paulhaguet, la commune de Couteuges et Solairedirect ont annoncé vendredi dernier la mise en exploitation du Parc solaire de Couteuges, premier parc solaire de Haute-Loire.

Initiée par les élus, cette installation démontre que le niveau d’ensoleillement de l’Auvergne lui permet de figurer en tête des territoires de production d’électricité solaire. Le projet est né de la volonté de la communauté de communes du Pays de Paulhaguet de favoriser sur son territoire un moyen de production d’électricité renouvelable. Un partenariat entre les élus et la société Solairedirect a été réalisé dès Janvier 2009.

Le site d’accueil du parc solaire, d’une superficie de 22 Ha et situé au lieu-dit Amblard, a été choisi pour sa proximité au réseau électrique, ses caractéristiques physiques (surface plane), ainsi que sa compatibilité avec le maintien d’une activité agricole.

Avec ses 42 000 panneaux installés et sa puissance de 10 MWc, le parc solaire de Couteuges produira chaque année l’équivalent de la consommation en électricité de 7 300 habitants, soit quasiment le double que n’en compte la communauté de communes du Pays de Paulhaguet.

Le chantier s’est déroulé d’avril à décembre 2011. L’hiver a été consacré aux travaux de raccordement au réseau électrique pour une mise en service prévue au début du printemps 2012.

L’ensemble des travaux a été accompagné d’un suivi environnemental strict caractérisé par la mise en place d’un système de management environnemental (selon la norme internationale ISO 14001), permettant de respecter l’ensemble des engagements pris dans le permis de construire et les choix constructifs de Solairedirect (absence de béton, intégration paysagère).

Durant sa période d’exploitation, une des innovations majeures de ce site sera sa triple vocation. A la production d’électricité solaire vient s’ajouter un volet agricole fort composé, d’une part de la mise à disposition de surfaces pour le pacage d’ovins de l’exploitation voisine et d’autre part de la mise en culture d’une partie du site en maraichage biologique en partenariat avec le Jardin des Estreys, association de réinsertion professionnelle.

Le chantier a mobilisé l’équivalent de 10.000 jours-hommes, avec de nombreux lots dont plusieurs ont été attribués à des entreprises locales (clôtures, lot électrique, gardiennage, gestion des déchets…).

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Assises de Nancy sur l’efficacité énergétique : l’heure du Bilan a sonné

Les premières Assises régionales sur l’efficacité énergétique se sont déroulées le 02 Mars dernier, à Nancy.



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Soitec finalise l’acquisition de l’ex Concentrix Solar GmbH

Soitec finalise l'acquisition de l'ex Concentrix Solar GmbHConformément aux termes de l’accord signé en décembre 2009, Soitec, fabricant de matériaux semi-conducteurs a annoncé la finalisation de l’acquisition à 100% de Soitec Solar GmbH (ex Concentrix Solar GmbH).

Selon l’industriel français, cette annonce confirme la pertinence de l’initiative stratégique menée par le groupe sur le marché des centrales solaires. Elle marque également la confiance de Soitec dans les fondateurs et les équipes de Soitec Solar GmbH ainsi qu’à l’égard de ses différents partenaires, qui sont totalement associés aux premiers succès du Groupe dans cette nouvelle activité.

Après plus de 2 années de collaboration dans le cadre de leur alliance technologique portant sur le développement des cellules solaires et des systèmes CPV, Soitec et l’institut de recherche allemand ‘Fraunhofer ISE’ ont développé une nouvelle génération de cellules photovoltaïques, la “Smart Cell“.

« A l’issue de l’intégration pleinement réussie de cette nouvelle activité, nous confirmons notre stratégie de leadership sur le marché du CPV. Soitec Solar GmbH nous permet d’utiliser notre expertise d’ingénierie des matériaux pour développer des systèmes photovoltaïques performants à un coût compétitif. De plus, les synergies que nous avons avec le Fraunhofer ISE et le CEA-Léti dans ce domaine contribuent au déploiement rapide de nos innovations. Ce partenariat démontre l’intérêt d’une collaboration recherche privée-publique pour valoriser le plus rapidement possible des innovations au travers de leur industrialisation», explique André-Jacques Auberton-Hervé, Président-directeur général de Soitec.

«Nous nous réjouissons des opportunités stratégiques et techniques qui ont résulté de notre rapprochement avec Soitec, notamment grâce au partage des compétences et technologies entre les équipes. La capacité de Soitec à industrialiser une technologie de rupture et à obtenir des coûts compétitifs sur nos systèmes CPV a permis d’accélérer la croissance des activités solaires à l’international» conclut Hansjoerg Lerchenmueller, Directeur Général et fondateur de Concentrix Solar Gmbh.

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AIEA : L’énergie nucléaire connaît une croissance « significative » malgré Fukushima

L’énergie nucléaire connaît une croissance significative malgré la catastrophe de Fukushima Daiichi au Japon l’an dernier, d’après un rapport de l’Agence Internationale pour l’Energie Atomique (AIEA).



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USA : niveau record de la capacité solaire installée en 2011

USA : niveau record de la capacité solaire installée en 2011Malgré plusieurs faillites constatées en 2011 chez plusieurs fabricants américains de modules solaires, dont l’industriel Solyndra qui était soutenu par le gouvernement US, le développement des énergies renouvelables continuent sa progression face à un contexte pourtant assez défavorable.

Selon l’association américaine des industries de l’énergie solaire (SEIA), la capacité installée de panneaux solaires en 2011 a vu une hausse de 109% par rapport à 2010, ce qui correspond à un niveau record de 1.855 mégawatts. Il faut noter que le secteur a largement bénéficié de la chute des prix du photovoltaïque.

Le marché de l’énergie solaire photovoltaïque a représenté plus de 8,4 milliards de dollars en 2011. La SEIA explique cet engouement par la conjonction de la baisse des prix des installations photovoltaïques (- 20%) avec de meilleurs financements, une demande en installations plus importantes en taille, ainsi que l’expiration de subventions gouvernementales au 31 décembre 2011.

Les Etats-Unis reste le moteur de l’innovation dans l’industrie mondiale de l’énergie solaire” a expliqué Rhone Resch, président de la SEIA. “Même si les panneaux solaires sont de plus en plus produits à l’étranger, les Etats-Unis conçoivent des composants solaires avancés et continuent d’afficher une croissance annuel à deux chiffres.” Il s’attend d’ailleurs à ce que l’énergie solaire, qui compte désormais pour moins de 1% de l’électricité produite aux États-Unis, passe à 10% d’ici à 2020.

Il n’y a pas de bulle dans le secteur des technologies propres, prête àéclater” a t-il précisé, même si, prévient-il, plus d’entreprises sont susceptibles d’échouer face à une industrie devenue mature et à des subventions gouvernementales en constante diminution.

La capacité installée de l’énergie éolienne a augmenté elle aussi, de 31% l’année dernière, d’après les derniers chiffres de l’AWEA.

Enfin, le montant injecté dans les technologies dites ‘propres’ est passé de 3,8 milliards de dollars en 2010 à 4,3 milliards de dollars l’an dernier, selon les chiffres fournis par le représentant des investisseurs (National Venture Capital Association).

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La production de modules photovoltaïques a démarréà Vénissieux

La production de modules photovoltaïques a démarréà VénissieuxLa nouvelle unité de fabrication de modules photovoltaïques cristallins de la Division Bosch Solar Energy, qui emploiera jusqu’à 200 personnes, vient de démarrer sur le site français de Vénissieux, près de Lyon.

Il n’aura fallu que 8 mois pour installer cette unité de production d’une capacité de 150 mégawatts crête. “Il s’agit de l’unité de fabrication de modules la plus grande et la plus moderne de France” s’est félicité Bosch dans un communiqué.

Lorsqu’elle atteindra sa pleine capacité– prévue d’ici juillet prochain – elle produira plus de 2.000 modules par jour, ce qui correspond à un volume annuel de plus de 600.000 modules, soit l’équivalent de la consommation électrique de 51 000 foyers français.

De par sa situation géographique, la France bénéficie d’un bon ensoleillement, particulièrement dans le Sud du pays. Bosch est une marque forte et la présence d’un site de fabrication de modules photovoltaïques sur le sol français constitue un atout supplémentaire pour compter parmi les leaders du marché national” a déclaré Guy Maugis, Président de Robert Bosch France.

Grâce à cette nouvelle unité de production, Bosch est parvenu à préserver 200 emplois sur son site diesel de Vénissieux, qui avait dû l’an dernier, face à la chute de la demande, arrêter la fabrication d’une pompe d’injection diesel Common Rail. Avec cette solution de substitution, un nouvel avenir se dessine pour le site : “Le succès de la transformation de Vénissieux est le fruit d’un dialogue social exemplaire et inédit“, a souligné Guy Maugis.

Bosch précise que le site et tous ses emplois ont pu être préservés par la volonté et la mobilisation de l’ensemble des salariés, de la direction de l’usine, de la direction de Bosch France, des responsables du Groupe en Allemagne et de l’ensemble des représentants du personnel, en collaboration avec un expert économique, l’Agence de Développement Economique de la Région Lyonnaise (Aderly) et des élus locaux.

Grâce au site de production de Vénissieux, nous sommes plus proches de nos clients français, du Sud de l’Europe et du Nord de l’Afrique, ce qui permet une prise en compte plus rapide et plus efficace de leurs exigences” a ajouté Jürgen Pressl, Membre du Directoire de Bosch Solar Energy et responsable de la production.

Les lignes équipant la nouvelle usine offrent une grande flexibilité. Vénissieux pourra ainsi produire 5 types différents de modules photovoltaïques Bosch, monocristallins mais aussi polycristallins. “Dès le lancement de la production, ce site Bosch a pu mettre à profit la richesse de l’expérience acquise par le passé dans le secteur automobile. Je ne doute pas que nos clients seront convaincus par la qualité de notre production et de nos produits“, a expliqué Jürgen Pressl.

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Un guide complet pour les études de potentiel EnR !

Un guide pour les études de potentiel EnRDepuis mi-2009, une étude de faisabilité sur le potentiel de développement en énergies renouvelables doit être jointe à l’étude d’impact de tout projet d’aménagement.

Obligatoire mais sans contenu défini, cette étude peut ainsi être vue, selon la collectivité concernée, comme un document administratif de plus (sans valeur ajoutée technique) ou comme la génèse d’une véritable stratégie énergétique à l’échelle urbaine. C’est pour lever cette ambiguité que le CETE de l’Ouest propose un guide de mise en oeuvre d’une telle étude.

Applicable depuis juillet 2009 et l’adoption de la première loi issue du Grenelle de l’Environnement, dite loi «Grenelle I», l’article 8 de cette loi prévoit que :

« Toute action ou opération d’aménagement telle que définie à l’article L. 300-1 et faisant l’objet d’une étude d’impact doit faire l’objet d’une étude de faisabilité sur le potentiel de développement en énergies renouvelables de la zone, en particulier sur l’opportunité de la création ou du raccordement à un réseau de chaleur ou de froid ayant recours aux énergies renouvelables et de récupération. »

Cette exigence présente l’intérêt d’intégrer dans chaque nouvelle opération d’aménagement l’analyse des opportunités de raccordement un réseau de chaleur ou de froid, mais également d’étudier l’intégration des énergies renouvelables ou de récupération (EnRR) dans le mix énergétique du territoire concerné.

Si la présence de ce document est aujourd’hui systématiquement vérifiée par l’Autorité Environnementale (AE), son contenu demeurait jusqu’à présent assez flou. Cette étude pouvait ainsi aller du simple passage en revue des technologies d’énergies renouvelables existantes, à une véritable étude technico-économique analysant différents scénarios d’intégration d’EnRR.

Afin d’uniformiser la qualité ces études, le CETE Ouest vient de publier un guide (téléchargeable ICI) à destination des collectivités et des bureaux d’études proposant notamment des points de méthodologie, d’organisation et de vigilance pour la réalisation de ces études d’opportunités en énergies renouvelables.

Pour rappel, le Centre d’Etudes Techniques de l’Equipement (CETE) est un service déconcentré du Ministère de l’écologie, du développement durable, des Transports et du Logement (MEDDTL). Il constitue ainsi un interlocuteur privilégié pour la mise en œuvre des politiques publiques, au service des acteurs de l’aménagement et du développement durables des territoires.

En particulier, le CETE Ouest recommande à travers ce guide le découpage en deux phases de ces études de faisabilité sur le potentiel de développement en énergies renouvelables :

1ère phase : située au niveau des études préalables d’aménagement, elle consiste en un état des lieux des gisements (incluant leur pérennité, qui peut avoir déjàétéétudiée dans le cadre d’un SRCAE, d’un PCET ou d’autres réflexions menées sur le territoire concerné) et un premier tri des solutions qui, en fonction du contexte local et des objectifs, peuvent présenter un potentiel intéressant. Les conclusions de cette 1ère phase peuvent conduire à orienter certaines caractéristiques de l’aménagement (densification par exemple).

2nde phase
: située au niveau des études de réalisation, elle permet de comparer la faisabilité technico-économique des différentes solutions, sur la base des données relatives à l’aménagement qui sont plus précises à ce stade (organisation du parcellaire, surfaces et performances visées pour les bâtiments, etc.).

Un guide pour les études de potentiel EnR

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Areva livre les 20 premières éoliennes M5000 du champ Borkum

Areva livre les 20 premières éoliennes M5000 du champ BorkumLe groupe français du nucléaire Areva a annoncé mercredi la livraison de 20 éoliennes M5000 sur un total de 40 destinées au champ de Borkum, en mer du Nord allemande.

Ce parc est situéà 45 km au large de la côte nord de l’île de Borkum, non loin du champ d’Alpha Ventus où sont exploitées des éoliennes M5000 d’Areva depuis 2009. Le consortium DOTI – constitué par EWE, E.on et Vattenfall a annoncé récemment une production d’électricité en 2011 dépassant de 15% les résultats escomptés pour ce parc.

Les nacelles et les pales pour le champ Borkum proviennent des deux usines Areva de Bremerhaven et de Stade, situées au Nord de l’Allemagne. Les 20 nacelles ont été testées à pleine puissance sur le banc d’essai unique au monde d’Areva Wind, comme le sont toutes les M5000, établissant ainsi un nouveau standard qualité pour la production de série. Dans le cadre du contrat, Areva assurera également la mise en service des éoliennes ainsi que les prestations de maintenance.

Trianel, la plus importante régie municipale d’électricité en Europe, prévoit la mise en service du parc éolien Borkum en 2012-2013, après une installation courant 2012.

Dotée d’une puissance nominale de 5 MW, l’éolienne M5000 d’Areva a trouvé sa place sur le marché allemand : “à fin 2014, plus de 120 éoliennes M5000 auront été installées au large des côtes allemandes“.

A la veille des installations des champs français, où le groupe est candidat sur chacune des 5 zones retenues dans la première tranche de l’appel d’offre, Areva indique qu’il disposera “d’un retour d’expérience unique pour permettre le déploiement de la filière française dans les meilleures conditions.”

Un produit éprouvé, la confiance des clients, la culture de la qualité : Areva a tous les atouts pour prendre la tête d’une filière industrielle française d’excellence dans l’éolien en mer. Aujourd’hui en Allemagne, demain en France et au Royaume-Uni, Areva est engagé dans d’importants projets dans l’éolien en mer à même de renforcer sa position au sein du trio de tête européen” a déclaré Louis-François Durret, Directeur Areva Renouvelables.

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Suntech : la technologie Pluto atteint un rendement de 20,3%

Suntech : la technologie Pluto atteint un rendement de 20,3%Le 1er fabricant mondial de cellules solaires chinois, Suntech Power, a annoncé lundi que sa technologie Pluto, avait atteint un nouveau record, avec un niveau de rendement de 20,3 % pour les cellules produites avec des wafers en silicium standards.

La technologie Pluto a été développée par les équipes de recherche et développement de Suntech, en collaboration avec l’Université de Nouvelle-Galles du Sud.

Cette percée technologique est une nouvelle étape cruciale dans notre quête d’amélioration constante du niveau de rendement de nos cellules. Ce niveau de rendement doit permettre à terme de proposer une véritable alternative aux énergies fossiles” a déclaré Dr Stuart Wenham, Directeur de la technologie chez Suntech, et Directeur de la School of Photovoltaic and Renewable Energy Engineering (SPREE) à l’Université de Nouvelle-Galles du Sud.

De son côté, l’Institut de Recherche de l’Energie Solaire de Singapour a confirmé le rendement de 20,3% des cellules Pluto. Il s’agit là d’une avancée significative par rapport aux premières générations de cellules, qui atteignaient un rendement de 19,6%. Avec une optimisation plus poussée, le rendement de la cellule de technologie Pluto devrait atteindre 21 % dans les 6 à 12 mois prochains.

L’une des améliorations clé de la technologie Pluto repose sur l’intégration, dans le procédé de fabrication classique des cellules, des caractéristiques des cellules PERL à haut rendement. La fabrication des cellules Pluto implique une étape dite «de passivation» qui a pour finalité d’optimiser les contacts en face arrière de la cellule. La méthode de fabrication des cellules a également été modifiée, de façon à diminuer le recours aux hautes températures, rendant ainsi possible l’application de ce processus, visant à augmenter le rendement des cellules, aux wafers les plus communément utilisés.

Suntech : la technologie Pluto atteint un rendement de 20,3%

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Fort du succès de la technologie améliorée des cellules Pluto en laboratoire, Suntech indique se concentrer maintenant sur sa commercialisation. Il apparaît donc que cette technologie sera bientôt intégrée dans de nouveaux modèles de panneaux solaires.

Ce nouveau record pour des cellules solaires en silicium cristallin suit l’annonce récente d’une équipe de chercheurs de l’Université de Technologie de Swinburne (Australie) et de Suntech, à propos du développement de cellules solaires nanoplasmoniques ayant le plus haut niveau de rendement.

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Energie solaire : naissance d’un Institut d’excellence français !

Energie solaire : naissance d'un Institut d'excellence français !C’est officiel, l’Institut Photovoltaïque d’Ile-de-France (IPVF), projet sélectionné par la Commission des Investissements d’Avenir au titre des Instituts d’Excellence en Énergie Décarbonée (IEED) a été créé.

L’annonce a été faîte conjointement mardi par EDF et Total, le CNRS et l’Ecole polytechnique, associés à Air Liquide, Horiba Jobin Yvon et Riber.

L’IPVF deviendra l’un des cinq plus grands centres de recherche mondiaux sur les dispositifs solaires photovoltaïques de nouvelle génération. Il sera basé sur le campus de Paris Saclay, pôle d’excellence français de la recherche scientifique et regroupera à terme près de 180 chercheurs, enseignants et étudiants. Il sera également un élément moteur dans le cadre des politiques nationale et européenne de développement des énergies renouvelables.

Au sein de cette structure, les partenaires mèneront en commun des activités de recherche et développement en vue d’améliorer les performances et la compétitivité des cellules et des modules photovoltaïques existants et de développer de nouvelles technologies couches minces et concepts avancés.

L’IPVF mettra à la fois l’accent sur l’enseignement et la formation de spécialistes de haut niveau et le développement de nombreux partenariats avec les autres pôles de recherche du plateau de Saclay, les grands industriels mondiaux du secteur solaire et les PME-PMI d’Ile-de-France.

Des entreprises –équipementiers, fournisseurs ou acteurs intégrés de l’industrie photovoltaïque – ont déjà annoncé leur intention de s’associer à l’IPVF en apportant un soutien technique et humain aux activités de recherche ou d’enseignement de l’Institut.

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