Le blog sur l’energie solaire, la location de toitures en panneaux photovoltaiques, l’investissement solaire

La start-up Dualsun, spécialiste du solaire pour les bâtiments, est devenue la première sociétéà passer avec succès la nouvelle série de tests spécifiques à la technologie solaire hybride ; une avancée majeure pour l’industrie solaire.

Après seulement 3 ans et demi de développement, le panneau Dualsun est le 1er panneau solaire hybride au monde à prouver sa solidité et sa conformité aux nouvelles normes en vigueur sur cette technologie. une première dont se félicite l’entreprise qui amorce ainsi un tournant stratégique dans la commercialisation de son produit innovant.

Depuis mars 2013, tous les panneaux solaires hybrides (photovoltaïques et thermiques) doivent se conformer à la fois aux normes IEC (dédiées aux panneaux photovoltaïques) et à des normes Solar Keymark renforcées (dédiées aux panneaux thermiques).

Ces tests rigoureux effectués sur le DualSun par le laboratoire TÜV Rheinland (Cologne, Allemagne) prouvent ainsi sa résistance aux températures extrêmes, aux cycles de vieillissements accélérés, aux projections violentes, au feu, etc. Désormais approuvé et éligible aux subventions et assurances, il se place en produit phare de la transition énergétique pour les bâtiments.

Gage de haute qualité et de fiabilité, l’obtention des certifications IEC et Solar Keymark en un temps record offre à la jeune société française DualSun une belle longueur d’avance. Un cap supplémentaire a été franchi ce qui permet à la start-up de passer à l’étape supérieure : le déploiement commercial du DualSun en France, avant de se lancer sur le marché international.

“Avec le nouveau chapitre 13.7 des Solar Keymark Scheme Rules, chaque panneau solaire hybride doit passer de nouveaux tests spécifiques, qu’on développe depuis plusieurs années. DualSun est le premier fabricant à suivre cette nouvelle réglementation dans nos laboratoires. Nous croyons fort dans le potentiel des technologies hybrides… sinon nous ne passerions pas autant de temps à développer ces tests spécifiques !” a déclaré Ulrich Fritzsche, Chef de projet systèmes solaire hybride au laboratoire TÜV Rheinland .

DualSun a mis au point un panneau solaire innovant parfaitement adapté pour les bâtiments, qui produit à la fois de l’électricité (photovoltaïque) et de l’eau chaude solaire (thermique). Son rendement inédit lui fait produire de 2 à 4 fois plus d’énergie par rapport à un panneau photovoltaïque standard de même surface.

La start-up industrielle est en train de construire des offres autour de sa technologie innovante et se positionne comme une solution énergétique pour les bâtiments du monde.

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Alors que les chiffres de 2013 indiquent que le marché européen de l’éolien se consolide, les analyses de Dii, l’initiative industrielle pour l’électricité des déserts, montrent que les conditions météorologiques au sud de la Méditerranée sont particulièrement propices au développement de l’éolien terrestre.

Sur de très bons sites, comme par exemple dans l’Ouest marocain, au centre de l’Algérie ou de l’Égypte, le vent atteint des vitesses de plus de 8 m/s à 10 m/s à une hauteur de 50 m. La vitesse du vent est également élevée sur d’autres bons sites facilement rattachables au réseau électrique au Maroc, en Algérie, en Libye, en Égypte et en Arabie Saoudite. Les coûts de l’énergie éolienne concurrencent ceux des centrales électriques servant à satisfaire la charge de base et intermédiaire.

L’électricité d’origine éolienne coûte entre 50 €/MWh et 70 €/MWh sur de bons sites de la région. Les pays MENA se sont fixés des objectifs très ambitieux de développement de l’énergie éolienne, soit 20 GW d’installations prévues au total d’ici 2020 par les huit pays suivants : Maroc (2 GW), Algérie (0,5 GW), Tunisie (0,6 GW), Libye (1,5 GW), Égypte (7,2 GW), Jordanie (1,2 GW) et Arabie Saoudite (5 GW).

2,7 GW d’éolien terrestre d’ici 2015

La croissance du marché est visible. 1,4 GW d’éoliennes sont déjà en opération dont 22 % ont été installées en 2013. Des projets d’un volume total de 1,3 GW sont aujourd’hui en construction ou sur le point d’être construits. L’éolien terrestre couvre actuellement moins d’1 % de la demande d’électricité dans la région. Dans son dernier rapport « Desert Power : Getting Started », Dii démontre que l’éolien pourrait satisfaire 50 % des besoins en énergie de la région, grâce à la compétitivité de ses coûts et l’abondance des sites propices à l’installation d’éoliennes.

Rapport détaillé sur l’Algérie – Les parcs éoliens peuvent être compétitifs

Dii et le fournisseur d’électricité algérien Sonelgaz ont évalué le potentiel éolien de l’Algérie. Étant donné ses excellentes conditions de vent sur des sites sélectionnés et supposant des conditions de financement locales favorables, il est possible d’obtenir un coût moyen actualisé du kWh (LCOE) éolien en Algérie se situant entre 6,5 ct€/kWh et 8,5 ct€/kWh. En incluant les coûts de transport pour une exportation de l’électricité de l’Algérie vers l’Italie via une ligne CCHT, on obtient un coût se situant entre 9 ct€/kWh et 10 ct€/kWh. Les parcs éoliens algériens pourraient ainsi être compétitifs par rapport aux prix du marché de gros italien en 2015.

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Des barrières non économiques

Cependant, plusieurs obstacles de nature non économique doivent être surmontés. Un marché autonome nécessite un cadre réglementaire adéquat, et ce pas seulement pour le secteur privé. Les principales mesures incluent : la garantie de l’accès aux terrains, au réseau et à des clients solvables, la mise en place d’un système d’octroi des permis transparent et la mesure de données météorologiques de haute qualité. La priorité devrait être de définir des régimes de soutien et des contrats de rachat appropriés. Un paramètre essentiel est de sécuriser l’accès à long terme au réseau. Les populations locales devraient bénéficier du projet et être impliquées dans ses différentes étapes. Des processus d’octroi des permis devraient être transparents et standardisés. Enfin, des données d’irradiation fiables garantiront le retour sur investissement.

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L’Australie a annoncé son intention de réviser ses objectifs actuels en matière d’énergies renouvelables, ce qui inquiète les militants écologistes qui craignent un retour du charbon et de la pollution.

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JA Solar Holdings, une des plus importants fabricants mondiaux de produits d’énergie solaire a annoncé mardi que le rendement de conversion de ses cellules solaires en silicium polycristallin avait dépassé le cap du 19 %.

Cette dernière amélioration en matière d’efficacité, réalisée à l’aide d’une technologie cellulaire avancée récemment mise au point par l’équipe de recherche et développement de JA Solar, fait suite à l’annonce en août 2013 d’un rendement de conversion de 18,3 % obtenu par les cellules multi-Si de la société, ce qui constituait alors un record de l’industrie.

“En brisant la barrière du 19 % d’efficacité pour ses cellules multi-Si, JA Solar vient de franchir une autre étape quant à sa capacité de fabriquer des produits solaires performants de manière rentable” a expliqué M. Yong Liu, directeur de l’exploitation de JA Solar. “Ces nouvelles cellules témoignent une fois de plus des efforts inégalés qui sont déployés par JA Solar afin de repousser les limites de la technologie photovoltaïque. Leur production d’électricité supérieure par unité de surface et leurs coûts d’installation inférieurs par watt procureront beaucoup d’avantages à nos clients.”

JA Solar prévoit lancer la production en série de ses nouvelles cellules multi-Si et les intégrer dans les chaînes de montage de ses modules à des fins d’utilisations commerciales au cours du deuxième semestre de 2014.

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L’impact potentiel d’un projet de développement d’un parc éolien au large de la Grande-Bretagne sur les oiseaux a incité le constructeur à renoncer au projet, une tendance de plus en plus fréquente dans le pays.

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La filiale énergies renouvelables du producteur d’électricité UEM, baséà Metz, a choisi Juwi EnR pour son premier investissement dans un parc éolien en Lorraine.

Doté de 5 éoliennes, le parc est situé dans la commune d’Allondrelle-la-Malmaison, en Meurthe-et-Moselle. Ce dernier aura la capacité d’alimenter l’équivalent de plus de 11.000 habitants en électricité renouvelable, soit l’équivalent de 10% des besoins domestiques de la ville de Metz. De plus, il devrait éviter le rejet de plus de 150.000 tonnes de CO2 sur 20 ans.

“Cet investissement dans un parc éolien proche de Metz s’intègre dans les engagements environnementaux d’UEM en faveur de la transition énergétique. C’est une démarche complémentaire de nos centrales hydro-électriques et biomasse ainsi que de nos actions en faveur des économies d’énergies” a expliqué Michel Wannenmacher, directeur du développement et des énergies renouvelables d’UEM.

Le parc éolien d’Allondrelle-la-Malmaison représente un investissement d’environ 15 millions d’euros.

“Ce partenariat avec un fournisseur et producteur local d’électricité constitue pour juwi EnR une première que nous souhaitons réitérer partout en France. C’est un investissement local qui va générer des retombées économiques locales avec, en prime, une production d’électricité renouvelable qui sera consommée localement. De plus, ce projet éolien a bénéficié d’un fort soutien des acteurs du territoire, notamment du Maire d’Allondrelle-la-Malmaison, ce qui en fait avant tout une réussite locale“, a souligné Jean Pellet, directeur général adjoint de juwi EnR.

Le chantier de construction du parc éolien d’Allondrelle-la-Malmaison démarrera au printemps pour s’achever fin 2014.

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Soitec a annoncé lundi dernier une nouvelle version de son produit de la gamme de systèmes photovoltaïques à concentration (CPV) pour les sites isolés « off grid », qui se distingue par une puissance accrue.

En effet, le nouveau Plug&Sun+ peut être couplé avec des batteries et / ou un générateur diesel pour fournir de l’électricité 24 heures sur 24. Il a été conçu pour permettre, sur des sites isolés avec un accès limité ou nul au réseau électrique, une production d’énergie d’origine solaire grâce à des installations de taille intermédiaire.

Lancé en 2011, le Plug&Sun est un système robuste, fiable et facile à installer, avec un système de tracking CPV conçu pour répondre aux besoins énergétiques de sites isolés grâce à des installations de petite taille.

Chaque système CPV utilise trois des modules de dernière génération de Soitec – avec une surface totale de 26,3 m2 – et est reliéà un dispositif de gestion de l’énergie. Le système peut ainsi atteindre 7,3 kWc en puissance de sortie, tout en produisant plusieurs dizaines de kilowatts heure d’énergie tout au long du jour et de la nuit. Chaque équipement Plug &Sun+ est modulable et peut comporter un seul ou plusieurs trackers. En outre, lorsque Plug&Sun+ est utilisé dans le cadre d’installations hybrides, il fournit une source d’énergie renouvelable qui vient compléter celle des générateurs électriques existants. D’où des avantages techniques et économiques importants, tels que la réduction de consommation de diesel et des coûts d’entretien.

Le dispositif Plug&Sun+ peut être configuré pour répondre aux besoins de différentes utilisations, incluant le logement (gîtes, habitations, camps, etc.), les sites industriels, l’éclairage extérieur, le traitement de l’eau (pompage, désalinisation, etc.) et des stations de télécommunications. Un leader européen de l’énergie et des technologies de l’information a déjà passé commande à Soitec de ce nouveau système Plug&Sun+ avec une configuration à deux trackers, pour fournir de l’électricitéà une ville française.

“La demande de la clientèle pour notre nouveau système CPV modulable et configurable selon les besoins démontre la valeur du portefeuille de produits Plug&Sun comme le générateur d’énergie solaire le plus efficace pour produire de l’électricité propre sans être raccordé au réseau“, a déclaré José Bériot, vice-président du développement des projets solaire de Soitec Division. “Notre nouveau système s’inscrit également dans notre stratégie d’être un leader dans le marché de l’énergie du ‘off grid’ en nous appuyant sur la technologie CPV très robuste et efficace et parfaitement adaptée aux régions isolées où le rayonnement solaire est élevé.”

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Un vaste plan de soutien au développement de la méthanisation sur l’Ile de France a été adopté ce jeudi 13 février, par le Conseil régional d’Île-de-France.

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Plusieurs acteurs français de la filière photovoltaïque se sont unis pour créer PV CYCLE France SAS, une entitée qui assurera la collecte et le recyclage des panneaux photovoltaïques usagés dans le cadre de la transposition en cours de la directive DEEE.

A travers la création de cet organisme, les fondateurs – EDF ENR, EDF ENR PWT (anciennement Photowatt), Urbasolar, Sillia Energie, le Syndicat des Energies Renouvelables (SER) et l’association PV CYCLE – ont décidé de travailler ensemble à la gestion d’un système collectif de collecte et de recyclage dédié au marché photovoltaïque français et conforme à la directive DEEE.

Dans cette configuration, PV CYCLE France sera prête à répondre aux futures obligations liées à la réglementation DEEE française.

Par ailleurs, dans le cadre du partage organisationnel des tâches de PV CYCLE France, l’association mère, PV CYCLE, a été mandatée pour exécuter les missions opérationnelles de collecte et de recyclage des panneaux photovoltaïques usagés, ainsi que pour garantir la conformité DEEE des membres français.

Dès l’entrée en vigueur de la Directive, les entreprises ou les personnes mettant des panneaux photovoltaïques sur le marché français pour la première fois devront remplir certaines obligations administratives et financières ayant trait à la gestion de leurs produits auprès de PV CYCLE France.

La France est le cinquième pays dans lequel PV CYCLE dispose d’une représentation nationale après l’Allemagne, l’Italie, le Royaume-Uni et l’Espagne.

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L’énergéticien suisse BKW a annoncé hier avoir cèdé la totalité de ses actions Swiss Solar Invest AG, société créée en vue de la réalisation de projets photovoltaïques, à UBS Clean Energy Infrastructure Switzerland.

Swiss Solar Invest AG acquiert quant à elle auprès de BKW un portefeuille d’installations photovoltaïques d’une puissance installée totale allant jusqu’à 4,67 MW. BKW a par ailleurs décidé de collaborer à long terme avec Fontavis AG pour promouvoir les énergies renouvelables et financer le développement, la réalisation et l’exploitation d’infrastructures énergétiques en Suisse.

Swiss Solar Invest AG est une société spécialisée dans la production de courant solaire. Après l’acquisition, elle disposera d’un portefeuille de 23 installations photovoltaïques de tailles diverses situées principalement dans le canton de Berne ainsi que dans trois autres cantons. Ces installations, qui représentent une puissance installée de 4,67 MWp, permettent de produire chaque année quelque 4,6 GWh d’électricité. BKW a construit ces installations au cours des dernières années en tant qu’entrepreneur général et continuera de les exploiter sur la base d’un contrat d’exploitation et de maintenance à long terme.

Le montant de la transaction n’a pas été divulgué.

“Avec cet investissement, nous avons complété notre portefeuille d’infrastructures par cinq nouvelles sociétés, que nous continuerons de développer ces prochaines années sur les marchés de l’électricité, de la chaleur et de la mobilité pour le compte de nos clients institutionnels (caisses de pension et sociétés d’assurances suisses)“, a expliqué Stefano Tritella, CEO de UBS Clean Energy Infrastructure Switzerland AG. “Nous avons trouvé en BKW un entrepreneur général et un exploitant compétent pour les installations, qui propose de plus des prestations de conseil et de service spécifiques.“

“BKW souhaite être un partenaire énergétique global pour les entreprises privées –les PME comme les grandes entreprises – ainsi que pour les communes et les cantons, ” a souligné Suzanne Thoma, CEO de BKW.

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