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Cape Wind sera le premier parc éolien en mer des États-Unis

Cape Wind sera le premier parc éolien en mer des États-UnisLa compagnie allemande Siemens a annoncé la signature d’un contrat avec Cape Wind pour la fourniture de turbines éoliennes offshore en vue de la construction du parc éolien du même nom qui entrera en vigueur au cours de la prochaine année civile.

Cape Wind, premier parc éolien offshore des États-Unis prévu pour une exploitation commerciale, fournira à terme une puissance de 468 MW. Le site se trouve sur la côté nord-est du Massachusetts, à 20 km de l’île de Nantucket. L’installation et la mise en service sont prévues pour 2016.

L’éolien offshore constitue une source d’énergie potentielle importante aux États-Unis, pour approvisionner notamment les zones côtières du pays en électricité renouvelable.

Cape Wind sera le premier parc éolien en mer des États-Unis

Les sites les plus adaptés à la production éolienne offshore se trouvent le long de la côte atlantique Nord et Sud, ainsi que dans le golfe du Mexique. D’après une récente étude menée par le cabinet Navigant à la demande du ministère américain de l’Énergie, la capacité offshore installée aux États-Unis devrait augmenter dans les cinq prochaines années pour s’établir à 3,5 GW.

Les États-Unis constituent un marché clé pour Siemens. Nous sommes fiers de pouvoir annoncer la signature de ce contrat, qui est le troisième grand projet remporté par le Secteur Energy aux États-Unis en l’espace d’une semaine seulement. Après avoir remporté la plus importante commande passée à ce jour dans l’éolien onshore à l’échelle mondiale et la commande portant sur une centrale à cycle combiné gaz-vapeur à haut rendement en Pennsylvanie, nous nous apprêtons désormais à fournir les éoliennes et les services dédiés au premier parc éolien offshore des États-Unis prévu pour une exploitation commerciale. Cela démontre bien que l’éolien et le gaz naturel ne sont pas antinomiques, mais se complètent parfaitement pour offrir un système énergétique durable“, a déclaré Michael Süß, membre du Directoire de Siemens AG et CEO du Secteur Energy.

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China Sunergy céde son 1er projet de ferme solaire dans les Cornouailles

China Sunergy céde son 1er projet de ferme solaire dans les CornouaillesLe fabricant chinois de modules solaires, China Sunergy, a annoncé récemment avoir conclu la cession d’un projet de ferme solaire à l’un des plus grands producteurs d’énergie solaire du Royaume-Uni, Lightsource Renewable Energy.

Située dans le sud-ouest des Cornouailles au Royaume-Uni, la ferme solaire a été implantée sur des terres qui étaient utilisées traditionnellement pour du bétail ou des récoltes. Bien que la zone utilisée couvre 10 % de la superficie agricole, les revenus électro-solaires procureront aux propriétaires de la ferme les fonds nécessaires pour la rendre plus productives, avec notamment l’amélioration des machines, des clôtures et des haies.

Au final, la production agricole de l’ensemble de la ferme restera comparable à celle qui prévalait avant l’implantation de l’installation solaire.

La centrale solaire a été connectée au réseau à la fin du mois de mars 2013 et produit actuellement suffisamment d’électricité pour alimenter plus 1.500 ménages.

China Sunergy a annoncé, fin 2012, un investissement dans 2 fermes solaires au Royaume-Uni, d’une puissance installée de 5 mégawatts-crête (MWc) chacune. Ces 2 fermes ont été réalisées en l’espace de 3 mois seulement.

Nous sommes heureux d’avoir passé cet accord avec China Sunergy, et nous pensons que ce projet, à l’instar de tant d’autres que nous menons, viendra renforcer encore davantage l’économie rurale dans cette région et favoriser la biodiversité” a déclaré Nick Boyle, PDG de Lightsource.

La vente du Projet met en évidence l’esprit pionnier de China Sunergy, dans la mesure où nous sommes le premier promoteur chinois à réaliser un cycle de vie intégral de projets en aval, maintenant que nous avons investi et développé, construit, exploité et aujourd’hui vendu un projet photovoltaïque au sol au Royaume-Uni” a expliqué pour finir M. Stephen Cai, PDG de China Sunergy.

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Turquie : un projet éolien de 100 MW en vue à Konya

Turquie : un projet éolien de 100 MW en vue à KonyaLa filiale turque d’Akuo Energy a annoncé fin décembre avoir sélectionné General Electric comme partenaire exclusif pour la fourniture de 31 turbines qui équiperont son projet éolien Baglar de 100 MW situé en Turquie (Konya).

Cet accord entre Akuo Energy et General Electric est le second du genre, puisque le premier a déjà sélectionné le second comme fournisseur de turbines pour son projet éolien Krnovo de 72 MW au Monténégro.

Selon la compagnie française, ce nouvel accord de partenariat pourrait comporter 50 MW additionnels si les barrières administratives gelant pour le moment la poursuite du développement du projet éolien de 50 MW d’Ardichli en Turquie (Konya) étaient levées. Cela porterait alors la totalité de la capacité installée par Akuo Energy en partenariat avec General Electric à 222 MW, dont 150 MW seraient basés en Turquie.

Au regard de l’importance de ses ressources, nous sommes convaincus que la Turquie est l’un des pays les plus prometteurs en termes d’énergie éolienne. General Electric est le partenaire idéal avec lequel travailler sur ce territoire pour des projets d’aussi grande envergure. Nous sommes très heureux de la perspective de signer ce nouvel accord de fourniture de turbines en Turquie avec General Electric et nous espérons que les barrières administratives sur le projet d’Ardichli seront rapidement levées afin de renforcer encore notre partenariat” a déclaré Eric Scotto, Président d’Akuo Energy.

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Akuo Energy lance son premier projet éolien aux Etats-Unis (200 MW)

Akuo Energy lance son premier projet éolien aux Etats-Unis (200 MW)Le producteur d’énergie renouvelable, Akuo Energy, a annoncé le 24 décembre le lancement par sa filiale américaine de la construction de son projet éolien Rocksprings basé aux Etats-Unis.

Avec une capacité installée à terme de 200 MW, Rocksprings est le premier projet éolien d’Akuo Energy à entrer en construction aux Etats-Unis. Basé au Texas, dans le comté de Val Verde, Rocksprings présente des caractéristiques privilégiées, dont des régimes de vents très favorables et des contrats de bail de très longue durée.

Akuo Energy précise par ailleurs que des discussions concernant les turbines qui équiperont le parc sont en cours de finalisation.

Conformément à la législation américaine, la société française a décidé de lancer la construction du projet Rocksprings afin de sécuriser l’obtention des «Production Tax Credits » indispensables au financement du projet. Le stade de développement avancé du projet permet ainsi d’anticiper une mise en service dès juin 2015.

Akuo Energy lance son premier projet éolien aux Etats-Unis (200 MW)

Rocksprings fait partie d’un portefeuille de projets en développement d’Akuo Energy qui s’élève à plus de 1.000 MW aux Etats-Unis, principalement dans l’éolien mais également dans le solaire.

Rocksprings est un excellent projet et nous sommes fiers qu’il soit le premier dont nous lancions la construction aux Etats-Unis. Il est aussi emblématique de notre stratégie de diversification vers l’international. La progression rapide de notre courbe d’expérience nous permet de nous tourner vers des projets de taille importante et d’accélérer encore davantage notre croissance” a indiqué Eric Scotto, Président d’Akuo Energy.

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Solaire photovoltaïque : L’Autorité de la concurrence sanctionne EDF

Solaire photovoltaïque : L'Autorité de la concurrence sanctionne EDFL’Autorité de la concurrence vient de désavouer EDF concernant le marché des panneaux solaires pour les particuliers, en l’accusant d’avoir favorisé sa filiale spécialisée dans les énergies renouvelables (EDF ENR) entre 2007 et 2010.

Saisie par la société Solaire Direct de pratiques mises en œuvre par EDF, l’Autorité de la concurrence a rendu le 17 décembre dernier une décision par laquelle elle sanctionne EDF à hauteur de 13,5 millions d’euros pour avoir abusé de sa position dominante en mettant en œuvre des pratiques anticoncurrentielles sur le marché”émergent” des offres de services photovoltaïques aux particuliers.

Ces offres portent sur l’installation de panneaux solaires sur le toit d’un logement individuel, en vue de revendre l’énergie produite à EDF, auquel la loi impose une obligation d’achat de l’électricité issue de l’énergie solaire photovoltaïque.

EDF semble avoir créé”une confusion dans l’esprit des consommateurs” entre son activité de service public de fourniture d’électricité et l’activité de sa filiale photovoltaïque. Trois arguments ont été mis en avant pour justifier cette accusation.

1- EDF ENR a mis à profit la « force de frappe » de la marque Bleu Ciel d’EDF

La marque Bleu Ciel d’EDF est la marque sous laquelle le groupe EDF vend ses services aux particuliers, notamment l’offre réglementée de fourniture d’électricité. Durant novembre 2007 à avril 2009, EDF s’est servie de cette marque parfaitement identifiée à l’offre historique de l’ex monopole, en mobilisant “l’intégralité de ses outils de communication“, pour orienter les particuliers susceptibles d’être intéressés par le photovoltaïque vers le Conseil Energie Solaire, dans un processus systématique.

2- EDF a joué sur la similitude des logos et des marques pour favoriser sa filiale

EDF a mis fin à la promotion et à la commercialisation des offres d’EDF ENR par le biais de la marque Bleu Ciel d’EDF et du Conseil Energie Solaire prodigué au numéro de téléphone 3929. Les offres photovoltaïques d’EDF ENR ont alors cessé d’être principalement commercialisées sous la marque Bleu Ciel d’EDF pour l’être sous la marque EDF ENR, cette marque et son logo présentant des similitudes importantes avec ceux de l’opérateur historique EDF.”

Solaire photovoltaïque : L'Autorité de la concurrence sanctionne EDF

L’usage de la marque et du logo EDF ENR, à partir d’avril 2009, a également donnéà cette filiale un avantage non reproductible de nature à restreindre la concurrence, compte tenu des caractéristiques du marché, et notamment du besoin des clients, légitimement inquiets en raison de l’importance de l’investissement nécessaire et des risques de malfaçons, d’être « rassurés » par la marque EDF, en qui ils avaient confiance comme fournisseur historique d’électricité.”

L’usage de la marque n’a toutefois plus constitué un avantage à partir de mi-2010, lorsque le marché a basculé en faveur des acteurs de proximité.

3- EDF a également abusé de sa position dominante en utilisant son fichier clients

De novembre 2007 à avril 2009, EDF a utilisé sa base de données clients de fournisseur d’électricité pour favoriser la commercialisation des offres de services de sa filiale EDF ENR. Cette base de données clients a été utilisée pour diffuser la Lettre Bleu Ciel jointe aux factures EDF et les factures elles-mêmes, ces deux supports renvoyant vers la plateforme téléphonique 39 29 et le Conseil Energie Solaire.”

Or, comme l’Autorité l’a déjà rappelé dans de précédents avis, “l’utilisation, par une entreprise disposant ou ayant disposé d’un monopole légal sur un marché, des informations détenues sur ce marché, pour développer son activité sur un second marché, ouvert à la concurrence, par exemple en promouvant cette activité auprès de ses clients issus du monopole légal, constitue en principe une pratique anticoncurrentielle.”

L’utilisation des informations privilégiées détenues de manière exclusive par EDF au titre de son ancien monopole (plus de 20 millions de noms et d’adresses, dont les données sont régulièrement mises à jour par les usagers) a donc constitué un avantage significatif pour EDF ENR en lui permettant d’assurer la promotion de ses offres auprès d’un nombre élevé de prospects, dans des conditions qui ne pouvaient être répliquées par les concurrents.

Ces concurrents, constitués de PME aux marques inconnues, ont été durablement affectées par l’ensemble de ces pratiques, qui ont perturbé, dès le départ, toute réelle possibilité de concurrence. Les entreprises présentes sur ce marché, ainsi affaiblies, ont ensuite disparu dans leur quasi intégralité, quand les incertitudes sur le prix de rachat de l’électricité photovoltaïque ont entrainé un ralentissement de la demande et une explosion du coût d’acquisition des clients.

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L’avenir de l’éolien en France en sursis à cause des tarifs d’achat

L'avenir de l'éolien en France en sursis à cause des tarifs d'achatLa Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) a indiqué jeudi que le tarif d’obligation d’achat de l’éolien constituait une aide d’Etat, relançant de fait la procédure en cours du Conseil d’Etat en France.

En effet, le Conseil d’Etat n’attendait plus que cette réponse pour se prononcer sur le devenir du tarif de l’éolien, il en avait déjà validé le fond, restait maintenant la forme.

La Fédération nationale, l’association Vent De Colère et 11 autres requérants ont saisi le Conseil d’État, considérant que le mécanisme de financement de l’achat de l’électricité produite par éolienne, mis en place par la législation française modifiée, constitue une aide d’État au sens du droit de l’Union Européenne. Ils demandent par conséquent, devant la juridiction nationale, l’annulation de la réglementation ministérielle de 2008 fixant les conditions d’achat de l’électricitééolienne.

Selon le droit de l’Union, tel qu’interprété par la Cour de justice, une mesure constitue une «aide d’État » si 4 conditions cumulatives sont réunies :

1- Il doit s’agir d’une intervention de l’État ou au moyen de ressources d’État,
2- Cette intervention doit être susceptible d’affecter les échanges entre les États membres,
3- Elle doit accorder un avantage à son bénéficiaire,
4- Elle doit fausser ou menacer de fausser la concurrence.

Selon le Conseil d’État français, l’achat de l’électricité produite par les installations utilisant l’énergie du vent à un prix supérieur à sa valeur de marché constitue un avantage susceptible d’affecter les échanges entre États membres et d’avoir une incidence sur la concurrence. Il demande à la Cour de justice si le nouveau mécanisme de financement mis en place par la législation française doit être considéré comme une intervention de l’État ou au moyen de ressources d’État.

Dans son arrêt rendu jeudi, la Cour répond que le nouveau mécanisme de compensation intégrale des surcoûts imposés à des entreprises en raison d’une obligation d’achat de l’électricité d’origine éolienne à un prix supérieur à celui du marché, dont le financement est supporté par tous les consommateurs finals de l’électricité constitue une intervention au moyen de ressources d’État. La qualification définitive de cette mesure en tant qu’ «aide d’État » incombera au Conseil d’État.

La Cour rappelle que, des avantages sont qualifiés d’aides au sens du traité, si d’une part, ils ont été accordés directement ou indirectement au moyen de ressources d’État, et d’autre part, s’ils sont imputables à l’État.

Par ailleurs, le montant de la contribution pesant sur chaque consommateur final d’électricité est fixé annuellement par arrêté ministériel. Or, ainsi que la Cour de justice l’a déjà jugé, des fonds alimentés par des contributions obligatoires imposées par la législation nationale, gérés et répartis conformément à cette législation, peuvent être considérés comme ressources d’État.

Enfin, la Cour de justice rejette la demande de la France de limiter dans le temps (au futur) les effets de son arrêt rendu jeudi.

Les professionnels de la filière réaffirment quant à eux l’urgence de la décision.

France Energie Eolienne demande au Gouvernement français et à la Commission Européenne à agir sans attendre, sous peine de paralyser à nouveau la filière éolienne.

Une question de pure forme car le niveau même du tarif d’achat n’est pas remis en question” a précisé la FEE. “Au contraire, il est réputé juste par nombre d’observateurs. Mais cette question de forme est pourtant dangereuse pour la profession si elle n’est pas réglée car elle pourrait entraîner l’annulation de l’arrêté tarifaire et donc la disparition momentanée du tarif d’achat.”

La décision de la Cour de Justice de l’Union européenne déclenche le compte à rebours. La décision du Conseil d’Etat ne devrait pas arriver avant deux ou trois mois, la Commission européenne et le Gouvernement doivent utiliser ce délai pour sécuriser la filière“, a expliqué Frédéric Lanoë, Président de France Energie Eolienne. “Les 11.000 employés de l’éolien français retiennent leur souffle.”

Pour le Syndicat des Energies Renouvelables (SER), si l’annulation de l’arrêté tarifaire éolien – avec un caractère rétroactif, était confirmée, elle générerait de très graves conséquences économiques pour la filière. Le SER demande au Conseil d’Etat à prendre en compte ces conséquences dans son jugement pour permettre la publication d’un nouvel arrêté tarifaire et assurer la continuité du soutien à la filière.

Le Syndicat des énergies renouvelables rappelle par ailleurs que le Conseil d’Etat a le pouvoir de différer les effets de l’annulation, si elle devait avoir lieu, empêchant ainsi qu’elle ait un caractère rétroactif. “Cette annulation différée éviterait de mettre en péril près de 4.000 MW éoliens, représentant 6 milliards d’euros d’investissements et plusieurs milliers d’emplois. Elle permettrait, également, à l’Administration de prendre un nouvel arrêté avec l’accord de la Commission européenne pour ne pas générer de discontinuité dans le dispositif de soutien à la filière” a ajouté le Syndicat du secteur.

Alors que la filière vit une période extrêmement difficile qui se traduit par un net décrochage par rapport à la trajectoire de développement nécessaire à la transition énergétique, cette décision est de nature à générer un chaos économique si le Conseil d’Etat devait annuler rétroactivement l’arrêté attaqué” ont indiqué pour conclure Jean-Louis BAL et Jean-Baptiste Séjourne, respectivement Président et vice-Président du SER.

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Fukushima : L’Etat japonais va presque doubler son soutien financier à Tepco

Le gouvernement du Japon a annoncé qu’il doublerait son soutien financier accordé à l’exploitant électrique Tepco en charge du démantèlement de la centrale nucléaire de Fukushima.



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Algérie : un consortium chinois remporte 233 MW de modules photovoltaïques

Algérie : un consortium chinois remporte 233 MW de modules photovoltaïquesUn consortium comprenant le fabriquant chinois de panneaux photovoltaïques, Yingli Green Energy, a annoncé avoir remporté un contrat de 233 MW crête de modules photovoltaïques en Algérie.

Le maître d’ouvrage des projets sera ‘Shariket el Kahraba wa el Taket el Moutadiadida’ (SKTM), une filiale de Sonelgaz (Société Algérienne de l’Électricité et du Gaz), responsable de la distribution de l’électricité et du gaz naturel en Algérie.

Le deuxième membre du consortium, Sinohydro Corporation est une filiale de Sinohydro Group, multinationale basée en Chine, diversifiée dans des activités de la protection des ressources hydrauliques à la construction d’hydroliennes. Le dernier, Hydrochina, constitue la seule grande entreprise à dispenser des services techniques complets en valorisation de l’hydroélectricité, des ressources hydrauliques et de l’énergie éolienne en Chine.

En octobre 2013, Yingli China a constitué ce Consortium tripartite en vue de participer à l’appel d’offre lancé par SKTM pour la réalisation de projets de modules photovoltaïques en Algérie, soit 4 installations distinctes représentant 318 MWc au total. Le Consortium a reçu l’avis d’attribution de marché ce mois-ci, pour un total de 233 MWc. Il sera chargé de l’étude et de la construction des projets. Cette dernière débutera en janvier 2014 et devrait s’achever en 8 mois.

Compte tenu de son atout concurrentiel et de la fiabilité de sa solution, ce Consortium a remporté la plus grande part de notre programme. Une fois en exploitation, ces projets nous aideront à résoudre quelque peu le problème de l’alimentation en électricité en Algérie. Nous comptons bien renforcer notre coopération avec Yingli à l’avenir” a commenté Chahar Boulakhras, Président de SKTM.

Nous sommes extrêmement satisfaits de remporter ce marché et remercions nos partenaires du Consortium pour leur formidable investissement dans ces projets” a conclu Liansheng Miao, Président et PDG de Yingli Green Energy. “La collaboration avec Sinohydro et Hydrochina marque une nouvelle approche de l’exploitation de projets photovoltaïques en Chine, et nous sommes ravis d’être à l’origine de cette initiative. Il nous tarde d’élargir cette collaboration afin de découvrir de nouvelles méthodes de développement commercial.

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Centrales photovoltaïques : Neoen fait appel à l’excellence française

Centrales photovoltaïques : Neoen fait appel à l'excellence françaiseLe spécialiste français des trackers solaires à destination des grandes centrales photovoltaïques au sol, Exosun, a annoncé avoir signé un accord avec le producteur d’énergie Neoen pour la fourniture de sa technologie sur 3 centrales photovoltaïques d’une puissance totale de 25 MW.

Les centrales de Garein Solarphoton (10,12 MW), Luxey Solarphoton (8,57 MW) et Claouziquet Centrale Solaire (6,72 MW) seront implantées dans les Landes, dans le sud-ouest de la France, et devraient produire 33 GWh/an, soit l’équivalent de la consommation électrique de près de 10.000 foyers.

Le démarrage des travaux est prévu courant décembre 2013 avec une livraison en août 2014.

Neoen, propriétaire des centrales, a mandaté trois entreprises françaises pour leur mise en œuvre.

Exosun équipera les trois centrales de 163 trackers solaires horizontaux à un axe avant d’en assurer également leur mise en service. Les trackers Exotrack HZ auront pour fonction d’orienter les modules photovoltaïques face au soleil afin d’augmenter leur performance au cours de l’année. Selon la société, ces performances peuvent atteindre jusqu’à 25% de plus par rapport à des structures fixes inclinées.

Bouygues Energies & Services sera quant à lui responsable du pilotage du projet. Il sera chargé aussi de la conception, du déploiement et de l’exploitation des centrales.

Enfin, Schneider Electric, spécialiste de la gestion d’énergie, fournira pour ces centrales la chaîne de conversion électrique incluant les onduleurs photovoltaïques (Conext Core XC), les postes de transformation (PVBox) et de raccordement au réseau, les systèmes de supervision et de contrôle (Conext Control), ainsi que les services de maintenance de ces solutions dans la durée.

Nous nous engageons à fournir des systèmes hautement performants et résistants. Nos trackers solaires Exotrack HZ sont optimisés pour les grandes centrales au sol et nous sommes convaincus que notre technologie va répondre à toutes les exigences de notre client et nouveau partenaire, Neoen” a commente Frédéric Conchy, président et fondateur d’Exosun. “Nous sommes d’ailleurs ravis de ce partenariat qui inclut aussi deux autres entreprises françaises, leaders dans leur domaine. Nous espérons que ces projets marquent le début d’une longue collaboration autour d’autres projets en France, ainsi qu’à l’international.

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Gaz : Vers un nouveau code minier

Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, et à celui de l’Écologie Philippe Martin, viennent de recevoir un tout nouveau projet de Code minier, censé encadrer davantage les activités de forage, mieux prendre en compte leur impact écologique et accroître la transparence auprès des citoyens.



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