Archives: Actualités solaire

Bientôt des centrales équipées de laser pour fabriquer de l’énergie nucléaire ?

Un comité officiel des Etats-Unis est sur le point d’approuver la construction d’une centrale équipée de technologie laser pour fabriquer de l’énergie nucléaire et notamment pour enrichir l’uranium.



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L’avion solaire – Solar Impulse – a atterri à Madrid

L'avion solaire - Solar Impulse - a atterri à MadridAprès un vol tactiquement difficile, l’avion Solar Impulse a bouclé son étape reliant l’Afrique à l’Europe, en atterrissant à l’aéroport international de Madrid-Barajas samedi 7 juillet.

Piloté par Bertrand Piccard, l’avion Solar Impulse a décollé hier matin à 06:17 de l’aéroport international de Rabat-Salé (Maroc). Il s’est dirigé vers Tanger, avant de franchir le détroit de Gibraltar et de mettre le cap sur Séville. En raison des forts vents latéraux soufflant au-dessus de la péninsule ibérique, le pilote a attendu dans une région située à l’ouest de Séville le moment propice pour poursuivre son périple en direction de Tolède. Après un vol d’une durée totale de 17 heures, Bertrand Piccard a posé le prototype sans incident à 01:19, à Madrid, la capitale espagnole.

«Magnifique vol de Bertrand, où la technologie a démontré une fois de plus sa fiabilité et son efficacité en terme d’économie d’énergie. Ce vol nous a apporté pleins d’enseignements nous permettant de voler avec des vents supérieures à la vitesse de l’avion » a confié André Borschberg, cofondateur et directeur général de Solar Impulse.

Si Solar Impulse a choisi le Royaume du Maroc comme destination des vols de mission Crossing Frontiers 2012, c’est pour soutenir son engagement en faveur de l’énergie solaire et autres énergies renouvelables, notamment à travers l’Agence marocaine pour l’énergie solaire (MASEN). L’Espagne possède un profil énergétique semblable à celui de sa voisine d’outre-Méditerranée. Tout comme le Maroc, l’Espagne témoigne d’un esprit pionnier en matière de sources d’énergie renouvelables, en phase avec le message de Solar Impulse.

« J’espère que l’Europe comprendra la leçon que nous donne le Maroc. C’est justement en période de crise mondiale qu’il faut investir dans les énergies renouvelables et les économies d’énergie qui nous donneront de quoi soutenir les emplois, le pouvoir d’achat et la balance commerciale. Merci au Maroc de nous donner l’exemple en construisant la plus grande centrale solaire monde », a déclaré Bertrand Piccard, initiateur du programme Solar Impulse, tandis que l’équipe au sol ouvrait la verrière.

Pendant quelques jours, des événements officiels seront organisés par les autorités espagnoles, ainsi que par des partenaires tels qu’Omega, Schindler, Altran et Bayer MaterialScience, en l’honneur de la dernière escale de Solar Impulse avant son retour en Suisse.

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Une proposition de loi pour donner un nouveau souffle a l’éolien ?

Une proposition de loi pour donner un nouveau souffle a l'éolien ?Le Sénateur Roland Courteau a préparé et déposé le 5 juillet une proposition de loi visant à simplifier le cadre administratif de l’éolien terrestre, après que le Syndicat des énergies renouvelables lui a présenté son Livre blanc.

Selon les orientations retenues au niveau européen, la puissance éolienne terrestre en France devrait être de 19.000 mégawatts à l’horizon 2020, complétée par une puissance de production offshore de 6.000 mégawatts. À la fin de l’année 2011, la capacité de production de l’éolien terrestre était estimée à 6 800 mégawatts, plaçant la France au troisième rang européen, loin derrière l’Allemagne (plus de 29 000 mégawatts) et l’Espagne (21 674 mégawatts).

“Compte tenu de ce chiffre, nous ne sommes pas actuellement assurés d’atteindre l’objectif fixé pour 2020″ assure t-il. “On n’y parviendra pas sans une amélioration des procédures qui, au gré de l’empilement des textes, sont devenues excessivement lourdes et redondantes sans pour autant garantir un véritable respect du principe de participation, un développement de l’éolien suffisamment concerté au niveau régional et une instruction solide des projets.

Roland Courteau propose deux mesures de simplification administrative et explique que “La présente proposition de loi a (…) pour objet de proposer quelques aménagements destinés à rationaliser ces procédures, à prévenir les contentieux et à faciliter le développement d’installations de dimensions modestes, adaptées à la topographie et aux paysages de nombreuses régions rurales, en métropole et outre-mer.

Cette proposition vise, d’une part, à atténuer les redondances entre les schémas régionaux éoliens et les Zones de Développement de l’Eolien, d’autre part à réduire de 5 à 3 le nombre minimal d’éoliennes pour l’installation d’un parc. Cette dernière mesure a pour objectif de débloquer un grand nombre de projets, notamment dans les régions du Grand Ouest : Pays de la Loire, Bretagne, Basse-Normandie.

« Cette initiative va incontestablement dans le bon sens mais nous serons attentifs à la nouvelle articulation proposée et serons peut-être amenés à faire des propositions complémentaires à Monsieur le Sénateur » a expliqué Jean-Louis BAL, président du Syndicat des Energies Renouvelables (SER).

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Fourniture de gaz : Gazprom concède un gros rabais à E.ON

E.ON renégocie à la baisse ses contrats de fourniture de gaz avec GazpromE.ON AG et OAO Gazprom sont parvenus à un compromis concernant leurs contrats de fourniture de gaz à long terme et ont signéà cet effet, les accords correspondants le 5 juillet dernier.

Ce compromis qui comprend une adaptation rétroactive des conditions tarifaires pour la période de révision des prix depuis le dernier trimestre de 2010, devrait selon les prévisions d’E.ON avoir un effet positif de près de 1 milliard d’euros sur les résultats semestriels du Groupe.

Gazprom fournit du gaz naturel au groupe E.ON depuis 1973. Les contrats de fourniture de gaz actuels courent jusqu’en 2036 et couvrent au total jusqu’à 600 milliards de mètres cubes. Ils représentent donc une pierre angulaire de la sécurité de l’approvisionnement pour l’Allemagne et l’Europe.

Le gazoduc Nord Stream, qui traverse la Baltique et dont E.ON détient une part, contribue à cet objectif. Le Nord Stream crée en effet une liaison directe entre les champs de gaz de Russie et les marchés de vente d’’Europe occidentale, fournissant une capacité de transmission répondant à une grande partie des besoins additionnels en importations de gaz prévus par l’Union Européenne. Depuis 2011, une capacité de transport de près de 27,5 milliards de mètres cubes de gaz est disponible chaque année. Une fois le second gazoduc parallèle terminé, il portera cette capacitéà 55 milliards de mètres cubes par an. E.ON possède aussi une part de 25% dans le champ de gaz de Yuzhno Russkoye en Sibérie, situéà 3.500 km au nord-est de Moscou et qui, avec des réserves de plus de 600 milliards de mètres cubes, est l’un des plus grands champs de gaz au monde.

« Nous sommes heureux de l’achèvement de nos négociations et des bons résultats qu’elles ont données pour les deux côtés. Gazprom et E.ON ont montré une fois de plus que, partenaires stratégiques de longue date, ils étaient capables de trouver ensemble des solutions viables. « La signature des accords consolide encore davantage notre partenariat fructueux de longue date avec Gazprom, » a indiqué Johannes Teyssen, PDG d’E.ON AG.

E.ON a ainsi réussi à renégocier la totalité des conditions tarifaires de ses volumes actuellement indexés sur le pétrole de ses contrats de fourniture de gaz à long terme. D’après le géant énergétique allemand, cela constitue une étape majeure vers la restauration de la compétitivité des contrats de fourniture de gaz à long terme : “le risque du portefeuille d’approvisionnement en gaz du groupe décroît substantiellement.”

En rapport avec l’accord conclu avec Gazprom, E.ON a également revu à la hausse ses perspectives pour 2012. La société a aussi pris en compte les effets contraires de la cession de sa société de transmission de gaz Open Grid Europe, ainsi que la baisse des volumes de production de son activité E&P en raison de retards de mise en service ou de pannes de plateformes gazières.

Pour l’exercice 2012, E.ON prévoit désormais un revenu net situé entre 4,1 et 4,5 milliards d’euros (contre 2,3 à 2,7 milliards euros jusqu’à présent).

Depuis l’acquisition en 2007 de la société russe de production d’électricité, OGK-4, E.ON est non seulement l’un des plus grands acheteurs de gaz russe mais aussi le plus gros investisseur étranger sur le marchéénergétique russe.

** Cet accord de négociation met également un terme aux procédures arbitrales en cours.

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GDF Suez a démarré un nouveau projet solaire au Canada

GDF Suez a démarré un nouveau projet solaire au CanadaGDF suez, a annoncé la semaine dernière le démarrage de la construction d’un projet solaire en Ontario au Canada, à travers sa filiale à 100% International Power.

Le projet de Brockville aura une capacité installée de 10 MW, soit suffisamment pour desservir près de 1.700 foyers. Un contrat d’achat d’électricité de 20 ans a été signé avec l’Office de l’électricité de l’Ontario pour toute la durée de la production.

Le projet, d’une valeur de 50 millions $CAD (40 millions d’euros) doit être développé dans le cadre du programme de subvention des énergies renouvelables de l’Ontario (tarifs de rachat garantis) et devrait être opérationnel début 2013. Les modules solaires photovoltaïques seront fournis par Suntech, le plus grand producteur mondial de modules solaires.

En outre, le Groupe indique avoir finalisé son premier projet solaire d’envergure aux Etats Unis, une installation de 2 MW sur le site de sa station de pompage hydroélectrique de Northfield Mountain dans le Massachusetts. La centrale qui a commencéà produire de l’électricité pour le réseau régional fin mars est une des plus vastes installations solaires de Nouvelle-Angleterre, avec plus de 18.000 panneaux photovoltaïques.

En Amérique du Nord, le Groupe exploite actuellement 27 centrales d’énergie renouvelable alimentées par le solaire, l’éolien, la biomasse et l’hydroélectricité, pour une capacité totale de 667 MW au 30 juin 2012. Deux stations de pompage hydroélectriques apportent une capacité supplémentaire de 1124 MW* à ce portefeuille d’énergies vertes.

L’énergie solaire représente actuellement 1 % de la capacité de production électrique globale de GDF Suez. En 2011, GDF Suez a mis en service près de 38 MW de capacités solaires photovoltaïques en France : les centrales de Bollène (4 MW) et de Beaucaire-Tarascon (3 MW) développées par CN’AIR, ainsi que les trois installations de Curbans (totalisant 26 MW), ainsi que le parc de Porette de Nérone (3,8 MW) en Corse.

** taux de change 1 €/1,254 $CAD.

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Le Bangladesh se tourne vers l’énergie solaire pour ses éclairages publics

Le Bangladesh se tourne vers l’énergie solaire pour ses éclairages publics en lançant deux projets pilotes concernant une rue de sa capitale et 100 feux routiers.



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Inauguration de la serre photovoltaïque de Caissargues

Inauguration de la serre photovoltaïque de CaissarguesLa serre photovoltaïque de Caissargues située dans le Gard a été inaugurée le 3 juillet dernier par Solairedirect, un opérateur français dédiéà la production d’électricité solaire.

La société a ainsi construit une serre de plus de 17.000 m2 recouverte en partie de panneaux photovoltaïques destinée à une production agricole bonifiée, car protégée des aléas climatiques.

Alain Yang, propriétaire des terres agricoles, va pouvoir au final, profiter d’un abri pour ses cultures (tomates, fraises, asperges, blettes, etc.) et recevoir un loyer de l’opérateur d’électricité solaire. “Ça leur permet de vendre de l’électricité et moi de faire pousser des légumes et de conforter l’activité de mes employés“, a expliqué l’agriculteur – maraîcher. Cet outil ultra moderne a déjà permis la production des premiers fruits et légumes.

Le chantier démarré en août 2011, après une étude d’impact environnemental approfondie, a duré 7 mois. Les travaux ont commencé avec le terrassement et la construction d’un bassin de rétention d’eau de pluie .

L’ultime étape a été le montage de la serre avec la pose des panneaux photovoltaïques. Afin d’optimiser la production agricole, 30 centimètres de terres agricoles décapées en début de chantier ont été reposées. Avec ses 6.270 panneaux solaires installés et sa puissance de 1,2 MW, la serre agricole de Caissargues dont le raccordement au réseau électrique a été effectué en avril 2012, produira chaque année l’équivalent de la consommation électrique de 1.500 personnes, soit quasiment la moitié des habitants de la commune de Caissargues, ainsi que 742,6 tonnes de CO2 é conomisées.

Cette réalisation a été financée grâce aux banques Natixis Energeco et Oséo, ainsi que par des fonds d’investissement de proximité gérés par 123Venture. Ce projet représente un investissement total de plus de 5M € et s’ajoute aux nombreuses initiatives encouragées par le département du Gard en matière d’énergies renouvelables.

Cette expérience d’installation de panneaux photovoltaïques sur le toit d’une serre agricole montre le potentiel de la combinaison entre production d’électricité solaire et culture maraichère. L’innovation de cette construction réside en effet dans cette double activité déjà prospère” s’est félicité Thierry Lepercq, président de Solairedirect.

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Le boom de l’huile de palme inquiète les écologistes

Le boom de l’huile de palme inquiète les écologistes : ce biocarburant qui est aussi un ingrédient pour la cuisine connaît une croissance de production fulgurante mais ne serait cependant pas si durable que cela.



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Japon : “plus de 100 projets de parcs photovoltaïques”

Japon : Les compagnies d’électricité japonaises sont désormais tenues d’acheter toute l’électricité produite à partir de sources d’énergie renouvelable (éolien, solaire, biomasse, géothermie) à des prix plus élevés et déterminés par l’Etat.

Ainsi, pour l’électricité solaire, le tarif de rachat a été fixéà 42 yens (ou 0,42 euros) le kilowattheure, soit l’un des tarifs de rachat (Feed-in Tariff) les plus élevés au monde. Par comparaison, en France, le tarif de rachat de l’électricité solaire photovoltaïque produite à partir de panneaux solaires s’élèvait au 1er avril 2012, à 37,06 centimes/kWh pour les particuliers, concernant une installation intégrée au bâti inférieure à 9 kW. Au dessus de cette puissance, le prix de rachat est passéà 32,42 centimes/kWh.

Cette mesure en vigueur depuis le 1er juillet 2012, a aussi pour objectif de faire entrer de nombreuses entreprises sur le marché nippon de la production d’électricité ‘renouvelable‘.

Dans l’archipel, il y aurait en construction ou en projet plus de 100 parcs photovoltaïques d’une puissance unitaire de plus d’1 mégawatt, d’après les données recueillies par le groupe d’information économique Nikkei.

Nippon Crucible
, un fabricant de céramiques réfractaires a annoncé le 28 juin dernier, qu’il allait se lancer dans la production d’électricité photovoltaïque en utilisant des terrains basés dans la ville de Toyota (Préfecture d’Aichi). La production d’énergie annuelle est estimée à 2,2 millions de kWh pour 750 tonnes de CO2 non rejetés dans l’atmosphère. La superficie utilisée sera approxivement de 36.000 m2, et le montant de l’investissement initial d’environ ¥ 650.000.000 (soit 6,48 millions d’euros).

Autres annonces évoquées par la presse locale :

Mori Holdings – un promoteur immobilier et Japan Wool Textile – un fabricant de fibres, ont annoncé qu’ils entreront également sur le marché nippon en installant des panneaux photovoltaïques sur des terrains de golf.

Mitsui Matsushima, un exploitant de mines de charbon et vendeur de matériaux de construction, a indiqué vouloir installer des panneaux photovoltaïques d’une puissance de 2 MW sur ses propres terrains dans la ville de Fukutsu, (Préfecture de Fukushima).

La société spécialisée dans les centres de données, Bit-isle prévoit pour sa part de placer des panneaux photovoltaïques dans la ville de Takehara, (Préfecture de Hiroshima). La superficie de panneaux photovoltaïques couvrira environ 72.700 m2, divisés en trois zones, pour une production annuelle d’énergie unitaire avoisinant les 2 millions de kWh.

Nippon Telegraph and Telephone (NTT) a indiqué de son côté avoir créé une société de production d’énergie photovoltaïque, afin d’exploiter au mieux 60 MW de systèmes photovoltaïques répartis sur 30 sites au Japon.

Le conglomérat industriel Toshiba s’apprête à construire un parc solaire capable d’alimenter 30.000 foyers à Minamisoma, une localité située à moins de 30 kilomètres du complexe atomique de Fukushima.

La firme Kyocera a annoncé la construction d’une centrale solaire de 70 mégawatts permettant d’approvisionner quelque 22.000 habitations dans la préfecture de Kagoshima (sud-ouest).

Enfin, le groupe de télécommunications mobile Softbank prévoit la mise en place de la plus grande centrale solaire du Japon dans l’île septentrionale de Hokkaido, après avoir inauguré un petit parc photovoltaïque dimanche à Kyoto (centre-ouest).

La part des énergies renouvelables dans le bouquet énergétique japonais reste relativement faible, moins de 2%, hors production hydraulique. Le parc nucléaire nippon étant quasiment à l’arrêt depuis la catastrophe de Fukushima le 11 mars 2011, la production électrique a été largement compensée par des centrales thermiques, fonctionnant au gaz, au charbon ou au pétrole.

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Schott Solar se retire de la production photovoltaïque cristalline

Schott Solar se retire de la production photovoltaïque cristallineSuite à des conditions de marché fortement dégradées ces derniers mois, la compagnie Schott Solar a annoncé qu’elle se retirera de la production photovoltaïque cristalline dans le courant de l’année.

Cette décision qui concerne environ 870 employés dans le monde a pour objectif d’éviter “le recours à des licenciements” a prévenu l’industriel allemand.

La fabrication de modules à couches minces en Allemagne à Jena n’est pas concernée et l’activité du solaire thermique à concentration (CSP) qui connait un certain succès va également se poursuivre a indiqué Schott Solar qui prévoit de belles perspectives de croissance sur ce marché.

Le marché du photovoltaïque se caractérise aujourd’hui par d’importantes surcapacités et de sévères baisses de prix. Ce phénomène peut être largement attribuéà la concurrence asiatique.

Schott Solar explique avoir mis tous ses efforts, ces deux dernières années, pour réduire ses coûts de production de 50%. Par ailleurs, sa R & D a apporté des avancées technologiques majeures qui ont été transposées en un temps record sur des séries industrielles. En parallèle les ventes du fabricant allemand ont augmenté de trimestre en trimestre.

Cependant l’instabilité des politiques de soutien au photovoltaïque ont mis la branche sous pression. Schott Solar indique avoir exploré de nombreuses pistes pour être à même de poursuivre la production de modules cristallins photovoltaïques mais “les conditions du marché n’ont malheureusement pas permis de les suivre.”

Schott Solar explique enfin s’être rapproché des partenaires sociaux afin de trouver des solutions socialement acceptables pour ses collaborateurs comme des reclassements au sein d’autres activités du Groupe Schott.

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