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Vestas conserve sa place de no 1 mondial de l’industrie éolienne

Vestas conserve sa place de no 1 mondial de l'industrie éolienne Les 2 principaux groupes de recherche spécialisés dans l’industrie éolienne, BTM Consult et MAKE, confirment dans leur dernière étude de marché que le danois Vestas conserve sa place de leader mondial de l’industrie éolienne pour l’année 2011.

Quelques semaines auparavant, IHS Emerging Energy Research (EER) avait également indiqué que Vestas conservait cette place de numéro 1.

BTM et MAKE ont annoncé pour Vestas une part de marché mondiale de 12,9 %, calculée sur la base des installations 2011. Ce chiffre s’accorde aux 12,7 % calculés par EER, et montre que Vestas a accru sa part de marché globale sur ses concurrents.

Ces trois organismes d’études placent ainsi le fabricant d’éoliennes danois parmi les trois premiers acteurs dans au moins la moitié des 10 marchés éoliens majeurs en 2011. EER positionne même Vestas parmi les 3 meilleurs acteurs sur 9 des 10 principaux marchés éoliens. Trois pays : la France, l’Italie et l’Espagne figurent parmi ces marchés, dans lesquels Vestas se classe dans les 3 premiers.

La publication des analyses des différents organismes nous montre qu’en dépit d’une conjoncture économique défavorable et d’un marché particulièrement difficile pour les professionnels de l’éolien, Vestas maintient sa position de numéro un” a indiqué Juan Araluce, Vice-Président Exécutif des Ventes de Vestas, et Président de Vestas Méditerranée.

Et de conclure : “l’année 2012 sera encore une année de défis pour Vestas et l’industrie éolienne. Elle a toutefois bien commencé, avec une commande record de 396 MW de Mareña Renovables au Mexique. La qualité de nos produits, notre attention continuelle au coût de l’énergie, ainsi que notre capacitéà fournir un offre diversifiée, me rendent confiant sur le fait que Vestas pourra garder sa position de leader dans l’industrie éolienne“.

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Eolien : l’espagnol Gamesa va construire une usine en Ecosse

Eolien : l'espagnol Gamesa va construire une usine en EcosseLe fabricant espagnol d’éoliennes Gamesa a annoncé mercredi que sa nouvelle usine britannique serait implantée au port de Leith, à Edimbourg en Ecosse.

Je suis très heureux que Gamesa ait choisi l’Ecosse et le très dynamique port de Leith pour la fabrication de son nouveau modèle d’éoliennes offshore” a aussitôt souligné le Premier Ministre écossais, Alex Salmond, informé de cette décision par le président International de Gamesa, Jorge Calvet, lors d’une conversation téléphonique.

Cette nouvelle est de très bon augure car ce choix représente la création d’environ 800 postes et un investissement de 150 millions d’euros en Ecosse” a également estimé A. Salmond. “La décision de Gamesa, intervenant moins d’un an après l’ouverture de son centre de technologie éolienne offshore près de Glasgow, fait suite à de nombreuses discussions détaillées avec le gouvernement écossais, le Scottish Development International et le Scottish Enterprise, et à la réalisation d’une étude par Gamesa portant sur la recherche du site offrant les meilleures conditions pour ses produits.”

J’espère que les différentes parties concluront rapidement le protocole d’entente, car cette annonce est un coup de pouce bienvenu pour le port de Leith et l’économie écossaise en général,- grâce à la création de centaines d’emplois techniques qualifiés dans la capitale écossaise” a t-il ajouté.

Et de conclure : “La décision de Gamesa est la dernière d’une série d’annonces d’investissements de multinationales en Ecosse témoignant de la position dominante de l’Ecosse dans la révolution des énergies renouvelables en Europe et dans le reste du monde.”

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Ecolia : une gamme d’éoliennes de 6 à 100 kW inspirées des grandes

France : une gamme d'éoliennes de 6 à 100 kW inspirées des grandesLa société Ecolia** a annoncé mercredi la poursuite de son développement et lance une gamme d’éoliennes d’origine irlandaise, C&F Green Energy, d’une puissance de 6 kW à 100 kW et inspirées des grands modèles terrestres.

D’après Ecolia, les produits C&F présentent de bonnes performances pour des puissances identiques. Avec une large gamme de 6 à 100 kW, C&F Green Energy propose des éoliennes adaptées aux besoins des exploitants agricoles, collectivités locales et entreprises, qui n’avaient jusqu’à présent aucune alternative convenable pour exploiter leur potentiel éolien.

Créé en 2006 par C&F Group, C&F Green Energy compte aujourd’hui près de 1 400 personnes sur 7 sites répartis dans le monde.

L’éolienne C&F est le résultat de plus de 14 millions d’euros d’investissements en R&D et de travaux d’une équipe d’experts en innovation et ingénierie. A ce jour, près de 200 éoliennes C&F ont été installées dans le monde et 900 sont en commande.

En tant que distributeur France des éoliennes C&F, Ecolia prévoit une forte croissance dans les prochains mois.

Quelques données fournies par l’installateur :

- Des produits de 6 à 100 kW

- Démarrage de production dès 1,2 m/s : génératrice avec bobine sans entrefer (faible couple de démarrage) et pales à pas variable

- Surveillance au QG de C&F 24h/24 et 7j/7 (arrêt à distance des éoliennes si besoin)

- Génératrice garantie 10 ans

- Surveillance à distance par téléphone portable et Internet

- Mâts basculants hydrauliques de 11 à 20 m et fixes jusqu’à 35 m

- Fabrication des pales en un seul élément

- Certifié MCS

** Ecolia importe, commercialise et installe des éoliennes de qualité, sélectionnées en fonction de critères de fiabilité, robustesse, longévité et rentabilité.

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EDF EN acquiert un projet éolien de 150 MW au Texas

EDF EN acquiert un projet éolien de 150 MW au TexasLa filiale américaine d’EDF Energies Nouvelles, enXco, a annoncé la finalisation d’un accord portant sur l’acquisition du projet éolien de Bobcat Bluff, d’une puissance de 150 MW, en développement dans l’Etat du Texas aux Etats-Unis.

La construction du projet éolien de Bobcat Bluff, situé dans le comté d’Archer au Texas, au sud de Wichita Falls, devrait démarrer au Printemps. D’une puissance maximum de 150 MW, il sera équipé de turbines General Electric d’une capacité unitaire de 1,5 MW. La mise en service du parc devrait intervenir en décembre 2012.

L’incertitude sur le renouvellement du crédit d’impôt accordé aux projets éoliens (Production Tax Credit) après 2012 crée des opportunités pour le groupe EDF Energies Nouvelles pour prendre position dans des régions où il n’était pas encore présent. Cet accord avec Element Power, développeur et exploitant de projets d’énergie renouvelable, fait suite aux récentes acquisitions des projets de Spinning Spur (Texas, 161 MW), en janvier 2012, et de celui de Chestnut Flats (Pennsylvanie, 38 MW) en décembre 2011 et permet au Groupe de renforcer ses capacités de production aux Etats-Unis.

Avec les projets de Shiloh IV, de Pacific Wind, et de Spearville 3, enXco va construire et mettre en service plus de 650 MW d’éolien aux Etats-Unis en 2012.

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E.ON : feu vert pour la tranche 2 du parc éolien de Wysoka (55 MW)

E.ON : feu vert pour la tranche 2 du parc éolien de Wysoka (55 MW)L’énergéticien allemand E.ON a décidé de renforcer ses activités dans le secteur éolien en Pologne, puisque la direction du Groupe a donné son aval pour la construction des 2 tranches du parc éolien terrestre de Wysoka.

D’un budget de 80 millions d’euros, ce projet constitue le plus vaste jamais réalisé dans ce secteur par E.ON en Pologne. Le futur parc éolien verra donc le jour à près de 100 km au sud de Szczecin, proche de la frontière allemande.

Après leur mise en service fin 2013, les 22 turbines éoliennes Nordex, d’une capacité de 2,5 MW chacune, devraient générer plus de 125 GWh d’électricité par an, soit suffisamment d’énergie pour alimenter près de 40.000 foyers. L’installation permettra d’éviter le rejet dans l’atmosphère l’émission de 120.000 tonnes de CO2.

«Avec Wysoka, nous consolidons nos activités de production d’énergie éolienne en Pologne. Après la mise en exploitation de Wielkopolska en 2010, l’un des parcs éoliens les plus importants du pays, la construction de Wysoka s’inscrit aujourd’hui dans la continuité de notre plan de croissance » a déclaré Rüdiger Rittner, responsable du développement de l’activité en Pologne au sein de l’entité E.ON Climate & Renewables.

Le parc éolien comprend deux sites (Wysoka 1 et 2). Alors que la construction a déjà commencé sur le site de Wysoka 1, les premières turbines seront mises en exploitation d’ici la fin de l’année.

La Pologne reste un marché stratégique pour E.ON. L’entreprise y exploite 4 parcs éoliens terestres d’une puissance installée de près de 100 MW et dispose d’un portefeuille de projets, d’une capacité cumulée de plus de 1 000 MW.

La Pologne, qui offre un potentiel considérable pour l’énergie éolienne, a instauré un système incitatif visant à encourager l’investissement dans cette énergie. Ainsi depuis 2005, la capacité installée de l’énergie éolienne du pays a été multipliée par 20, passant de près de 80 MW à presque 1 600 MW. L’objectif est de générer jusqu’à 13 GW à partir de l’éolien d’ici 2020

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La rareté des ressources ralentit la croissance des énergies renouvelables

La rareté des ressources a pour effet de ralentir le développement et la croissance des énergies renouvelables au niveau mondial.



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“Majoration photovoltaïque : une nouvelle déception pour la filière”

La Direction Générale de l’Energie et du Climat (DGEC) vient de déclarer le report « sine die » de la majoration tarifaire de l’électricité solaire « made in France/Europe », annoncée par Nicolas Sarkozy.

L’association des professionnels de l’énergie solaire (Enerplan), Enerplan, déplore que cet engagement du Président de la République ne soit pas mis en oeuvre par le gouvernement. “C’est une nouvelle déception pour la filière.

Nicolas Sarkozy avait annoncé la mise en place d’une majoration tarifaire visant à inciter les producteurs d’énergie solaire à installer des panneaux français, le 14 février 2012 lors de sa visite de l’usine Photowatt de Bourgoin-Jallieu. Le gouvernement avait par la suite précisé que le tarif d’achat de l’électricité produite à partir de panneaux fabriqués en Europe serait majoré de 10% (à partir de 60 % de valeur ajoutée des composants de l’installation produite en Europe).

Cette information avait été bien accueillie par les industriels français, malmenés par une régulation qui favorise le moins-disant sans tenir compte de la qualité environnementale et sociale.

Après une consultation avec les professionnels de l’énergie solaire, qui ont fait part de leurs recommandations pour la mise en oeuvre de cette bonification, le gouvernement a pourtant décidé de sursoir cette décision et d’ajourner «sine die» la publication d’un arrêté prévu avant la fin mars. Selon la Direction Générale de l’Energie et du Climat du fait de « difficultés juridiques et techniques importantes, aucun calendrier n’est prévu pour la mise en oeuvre de cette mesure. »

L’industrie solaire française pâtit de nouveau de l’inconstance du Gouvernement. Il prend des décisions, puis les juge trop compliquées donc les annule. L’annonce d’une bonification des installations photovoltaïques à fort contenu européen allait dans le bon sens, même si le texte proposé par l’administration appelait des amendements. Passé le temps de l’annonce, les professionnels doivent maintenant expliquer à leurs clients que ce qui a été annoncé publiquement ne verra pas le jour et devront en plus subir une prochaine baisse du tarif au 1er avril” a déploré Thierry Mueth, Président d’Enerplan.

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Eolien en mer : le consortium GDF Suez promet 6.000 emplois

Eolien en mer : le consortium GDF Suez promet 6.000 emploisDans le cadre de l’appel d’offres qui prévoit l’implantation au large des côtes françaises de 3 000 MW éoliens à partir de 2015, le consortium GDF Suez / Vinci / CDC et Areva ont présenté lundi en Normandie, leur projet énergétique, économique et social.

A cette occasion, Areva a détaillé son plan industriel et a présenté avec Gilles Fournier, Président du Conseil de Surveillance du Grand Port Maritime du Havre, le site de 50 hectares sélectionné dans la zone portuaire pour l’implantation des usines de fabrication des futures éoliennes en mer.

L’obtention des trois zones normandes (Dieppe-Le Tréport, Fécamp et Courseulles-sur-Mer), permettrait ainsi au Groupement et à son partenaire industriel de mobiliser jusqu’à 6 000 emplois. Pendant les 20 années d’exploitation, plus de 400 emplois qualifiés pourront également être créés sur les ports de Fécamp, Dieppe, Le Tréport et Ouistreham.

Par son projet, le Groupement entend créer une filière industrielle pérenne et créatrice d’emplois en Normandie. Il a ainsi déjà rencontré plus de 80 entreprises locales parmi les 300 identifiées, notamment sur les zones littorales concernées de Normandie et de Picardie.

« En tant que leader de l’éolien en France, nous souhaitons, avec nos partenaires, développer cet ambitieux projet d’éolien en mer en Normandie et contribuer à l’émergence d’une filière industrielle française. GDF SUEZ tient à rappeler son engagement pour le développement industriel de cette région où il est un acteur incontournable, partenaire de plus de 1 500 PME et PMI» a déclaré Gérard Mestrallet, Président-directeur général de GDF Suez.

«Pour répondre à la nouvelle aventure énergétique et industrielle qui démarre pour la France, VINCI met la performance de son modèle au service de ce projet complexe. Nous apportons au Groupement nos savoir-faire en matière de financement, de conception, de construction des fondations et d’installation en mer des éléments du parc et d’exploitation-maintenance avec un engagement et une contribution avec les territoires inscrits dans le temps. C’est un atout majeur qui rend notre offre particulièrement solide économiquement et socialement, et aboutie techniquement» a ajouté Xavier Huillard, PDG de VINCI.

Enfin, pour Luc Oursel, Président du Directoire d’Areva : « 8 ans après avoir installé notre premier prototype à terre, notre éolienne en mer est aujourd’hui produite en série pour équiper plusieurs grands projets européens. Fort de ce succès et alliéà des partenaires de premier ordre, Areva est prêt à déployer son ambitieux plan industriel faisant de la Normandie la tête de pont du développement de la filière française de l’éolien en mer. »

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Tepco ferme son dernier réacteur nucléaire en activité au Japon

La compagnie électrique Tepco a arrêté son dernier réacteur nucléaire encore en activité au Japon, le pays ne comptant plus désormais qu’un réacteur actif.



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Appel d’offres photovoltaïque en toiture : 218 lauréats connus

Appel d'offres photovoltaïque en toiture : 218 lauréats connusLe gouvernement a annoncé jeudi dernier la désignation des lauréats de la première tranche de l’appel d’offres portant sur la construction d’installations photovoltaïques de puissance comprise entre 100 et 250kWc (soit des surfaces de d’environ 1 000 à 2 500 m2).

La première tranche de cet appel d’offres avait été publiée le 1er août 2011 sur le site de la Commission de régulation de l’énergie (CRE).

Le Gouvernement a donc décidé de retenir l’ensemble des 218 projets pré-instruits par la CRE pour une puissance totale de 45 MW.

La CRE a indiqué que les lauréats de cet appel d’offres avaient été sélectionnés sur la base d’exigences industrielles et environnementales renforcées. En effet, le cahier des charges exige entre autres un engagement de recyclage des panneaux en fin de vie ainsi que la fourniture d’une évaluation carbone simplifiée.

Cet appel d’offres s’inscrit dans le cadre plus global du nouveau dispositif de soutien au solaire en France mis en place début mars 2011. Dans l’optique de la poursuite d’une baisse des coûts du solaire photovoltaïque, Eric Besson a indiqué que le prix moyen des projets lauréats était de 229 €/MWh. Avant la révision du cadre de soutien au solaire photovoltaïque, le tarif d’achat de ces installations aurait été de 370 €/MWh.

Ainsi selon le gouvernement, cette nouvelle procédure permet “de poursuivre le déploiement du photovoltaïque selon les orientations du Grenelle environnement tout en maîtrisant son impact sur la facture du consommateur d’électricité.

Dans le cadre du nouveau dispositif de soutien, un appel d’offres portant sur 450 MW d’installations de puissance supérieure à 250 kWc (grandes toitures et fermes au sol) a été lancé par le gouvernement en septembre 2011. Plus de 2 400 MW de projets ont été déposés et sont en cours d’instruction par la CRE. Les lots de cet appel d’offres réservés aux technologies innovantes visent en particulier à soutenir le développement d’une filière d’excellence, performante à l’export et capable de répondre aux enjeux énergétiques de demain. Une sous-famille porte spécifiquement sur le développement de solutions de stockage innovantes en Corse et en Outre-mer.

S’agissant des installations développées dans le cadre des tarifs de rachat en place depuis mars 2011, plus de 500 MW sont entrées en file d’attente de raccordement entre mars et décembre 2011, pour une cible annuelle fixée à 150 MW. Selon les prévisions de la CRE, le soutien à la filière s’établira en 2012 à 1,5 milliard d’euros pour ce qui concerne la contribution au service public de l’électricité (CSPE).

Depuis 2007, la puissance solaire photovoltaïque a été multipliée par plus de 200
. Plus de 1 600 MW ont été installés l’an dernier portant la puissance totale installée en France à plus de 2 600 MW à la fin de l’année 2011 dont 12 % en Outre-mer et en Corse.

Enfin, l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME), en charge de l’action « Energies décarbonées » dans le cadre du programme des Investissements d’Avenir, a engagé la semaine dernière 173 ME sur 18 projets novateurs. Ces projets font l’objet d’un investissement global de l’ensemble des partenaires de plus de 400 ME.

Par ailleurs, une initiative issue de l’appel à projet « Instituts d’excellence sur les énergies décarbonées» a été labellisée. Le projet IPVF à Saclay (Ile-de-France), dans le domaine du photovoltaïque de deuxième génération, bénéficiera d’une dotation de 18 millions d’euros. Il a également été décidé d’apporter un financement au projet INES2 au Bourget-du-Lac (Rhône-Alpes), dans le domaine de l’énergie solaire photovoltaïque et thermodynamique. Plusieurs partenaires du projet Themisol bénéficient d’un soutien de l’État dans le cadre du programme des Investissements d’Avenir.

«Nous mettons en œuvre le dispositif de soutien au solaire photovoltaïque que nous avons défini en 2011. La désignation des lauréats de l’appel d’offre simplifié en est une des composantes, tout comme le renforcement du soutien à la R&D dans le solaire, ce que nous faisons aujourd’hui en mobilisant 173 ME supplémentaires. Nous souhaitons le développement soutenable d’une filière industrielle d’excellence, porteuse d’emplois et compétitive à terme» a déclaré Eric Besson.

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